Bergson Et La Liberté

"absurde", dénuée de sens, puisqu’aucune transcendance ne la justifie. De plus, la liberté à laquelle je suis "condamné" s’accompagne d’une immense responsabilité puisqu’à travers chacun de mes choix, je manifeste une conception de l’humanité en général. Dès lors peuvent surgir incompréhensions, conflits ou accusations (de la part des autres, tentés de figer dans une définition mon "pour soi", qui désigne au contraire ma liberté toujours ouverte. ■ Ce versant tragique de la pensée existentielle est toutefois

"L’enfer, c’est les autres" Jean-Paul Sartre (1905-1980) Par cette phrase tirée de sa pièce Huis clos, Sartre signifie que je suis prisonnier du regard des autres. L’enfer signifie que ma liberté est aliénée en ce qu’elle dépend des autres, de leurs opinions et sentiments. Je crois être libre, alors que "les autres", mon entourage, la société, m’enferment dans une image toute faite. L’enfant, déjà, est prisonnier du regard de ses parents qui choisissent son prénom et projettent sur lui leurs

poids, le fardeau est quelque chose dont il est légitime de chercher à se débarrasser. -         connotation négative du fardeau par opposition à la connotation positive de la liberté. Plus encore, la liberté c’est justement la possibilité de faire ce que je veux donc paraît être opposé au fardeau. -         la liberté implique ainsi des responsabilités – rendre des comptes de nos actes devant diverses instances : ne peut-elle pas en ce sens être un fardeau. -         il fallait ne pas oublier

l'intérieur du monde afin d'en changer l'ordre et le sens ? 2. La matière est la condition de possibilité de l'action Sartre, L'être et le néant. Il est absurde de faire de la matière un obstacle puisque la liberté exige par définition l'existence du donné. Il n'y a pas de liberté sans matière à façonner et transformer. Être libre, c'est se rapporter à l'en-soi et lui donner du sens par son projet: la matière peut être alors obstacle ou auxiliaire. Exemple du rocher. En elle-même elle est neutre

éprouveront la même satisfaction d'exercer leur liberté. J'en appelle donc à l'humanité - 3) L'art ne reproduit pas le visible, il rend visible.   Pour la première partie de votre sujet, cette  page sur l'art, en particulier ce qui concerne: l'art n'imite pas la nature. Pour la deuxième partie utiliser l'aide N°39 L'oeuvre d'art a-t-elle quelque chose à nous dire? et surtout l'aide apparence et réalité, dans le N°59 ce qui concerne: Hegel, Schopenhauer, Bergson). L'art est-il le règne de l'apparence

déterminés ? La conscience rend-elle l’homme libre, et pourtant ne dit-on pas aussi que la conscience nous pèse ? La morale ne conciste-telle pas a en sentir le poid et la force contraignante ? Pour cela, il faudra définir ce que l’on entend par liberté : la possibilité de choisir, rapporté au libre arbitre, propriété de la conscience du pouvoir choisir, de vouloir une chose ou une autre ? Ou bien comme le pense Spinoza, la faculté de se déterminer par une action rationnelle et éclairée. Et qu’est-ce

exclu la fatalité. Puissance et confiance de l’action dans la dynamique dramatique. Temps dramatique au sens où il dessine des possibles, nous ouvre sur un avenir qui est indéterminé. Le plaisir se vit intensément moins quand ce qui a été revient (Bergson -> l’irréversible -> lie au fait de vivre intensément) la nouveauté de l’avenir est proportionnelle à l’irréversibilité. Le temps dramatique n’est pas le temps tragique. Il n’y a pas de raison de se projeter sur des possibles quand je vis le plaisir

La création artistique n’est nullement réductible à la fabrication technique. (Sens strict = production à partir de rien. Large = Production de nouveauté). L’art et le jeu témoignent d’un esprit de liberté . Ils sont un moyend’évasion . L’artiste est un adulte qui doit gagner sa vie. L’art sans être un jeu s’apparente à l’esprit de jeu, d’enfance.L’art est une quête éternelle du Beau et l’artiste

nationalité, il est universel. Il ne se commande pas, il est un espace de liberté, de distance à soi, un "lâcher-prise". Il est communicatif, expression, rapport à l'autre, parfois contagieux. Il est toujours l'objet d'une interaction, c'est un "geste" social. Il ne s'achète pas, même si pour Pierre DESPROGES "Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer mais prête à rire." Dans son analyse sur le rire, Henri BERGSON souligne qu'il provient d'une rupture ou d'une surprise lorsque le mouvement

en democratie ou république basé sur les libertés individuelles, d’expression et de pensé; le citoyen est libre de penser ce qu’il veut ssetre limite et de exprimer se qu’il pense sur tout les sujets possible. De plus, le rire n’atteint pas la liberté de autrui, donc ne nuit pas aux regles et normes sociétales. b. Le rire est en qq sorte un outil ns permettant de tout critiqué. En effet, en