Bergson Le Rêve

Alain, en ce qu'elles sont expression métaphorique de la vérité. La vérité religieuse n'est pas du même ordre que la vérité scientifique. Bien qu’Alain ait été athée, il critique «le Dieu des philosophes» et défend le «le Dieu sensible au coeur». Bergson aussi favorise l’exaltation, le mysticisme est la flamme ardente de la religion, son dynamisme, lequel a tendance à se fossiliser dans la religion instituée. 3) Les critiques athées de la religion comme illusion Trois philosophes considèrent la

policier interne. Les rêves Selon Freud, son travail sur les rêves est le plus important de tous, celui qui devrait survivre à tout. Il écrivait que le rêve est la voie royale de l'inconscient. Il s'est ouvert à Wilhelm Fliess d'un vœu, celui d'une plaque posée sur sa maison et qui dise: C'est dans cette maison que le 24 juillet 1895 le mystère du rêve fut révélé au Dr Sigmund Freud. Cette plaque figure actuellement devant le 19 Berggasse à Vienne. La date correspond à l'un de ses rêves, celui de l'injection

prise. Sudation, accélération du rythme cardiaque, vertiges sont les signes de son action et la suite du trip se caractérise par une succession de vagues qui provoquent des variations de moral chez l'usager. Le consommateur vit alors dans un monde de rêve au sein duquel il est en profonde symbiose avec son environnement, et dans lequel il expérimente une profonde introspection (voyage intérieur). Les psychédéliques induisent une modification de la perception remarquable appelée synesthésie. Il s'agit

arrivé, doit plus ou moins être impossible. On considère donc que le passé a déjà épuisé les possibilités du possible: «Rien de nouveau sous le soleil». Désirer le probable c’est donc échanger l’aspiration illusoire à une satisfaction garantie et le rêve d’une liberté illimitée, contre une liberté restreinte mais qui, parce qu’elle a conscience de ses limites est réelle et efficace, et nous protège ainsi autant que possible de l’insatisfaction (Voir texte de Descartes). (3)Problème: ne désirer que

formes religieuses autrement puissantes que les rites : L’Orient du XVIII c’est à dire le proche Orient d’aujourd’hui devient le berceau de trois grandes religions monothéistes et Jérusalem apparait comme un triple lieu saint. L’orient génère alors le rêve puisqu’il a une dimension divine et que c’est bien là que sont les lieux décrits par la Bible. Le philosophe qui est souvent le personnage principal du conte, de la nouvelle, ou de la pièce est transcendé par les lieux saints tout comme Nathan qui

d'artillerie et envoyé à Pontivy, dans l’artillerie, pour faire ses classes dans ce qu'il devrait plus tard décrire comme « un cloaque de sang, de sottise et de boue6. » La lecture d'articles d'intellectuels renommés comme Maurice Barrès ou Henri Bergson, le conforte dans son dégoût du nationalisme ambiant. Début juillet 1915, il est versé dans le service de santé comme infirmier et affecté à l'hôpital bénévole de Nantes7. À la fin de l'année, il écrit sa première lettre à Guillaume Apollinaire à

passifs de mes représentations concrètes déposées par la perception dans ma conscience. Comment préciser davantage ? 2°/ Théorie biologiste L’activité d’abstraction ne correspondrait-elle pas à un besoin vital, à une tendance biologique ? Bergson pense que si nous pensons abstraitement, c’est paradoxalement pour satisfaire un besoin physique. Ex : le concept de boisson est lié à la soif et non pas à la couleur du liquide qu’on va me présenter. C’est ma soif qui fait découvrir ce qu’il y a

dans l'expérience quotidienne, l'espace est homogène, isotrope, continu et illimité. L’espace est ce par quoi nous nous représentons quelque objet que ce soit comme composé de parties simultanées, homogènes, discontinues et divisibles à l’infini. Bergson va encore plus loin en mettant en avant l’idée que l’espace renvoie à la déformation pratique du réel. Ainsi l’espace serait la représentation que notre esprit forge par un acte spécifique pour les besoins de notre action ; et dont il peut imposer

savoir s'ils se trompent, mais plutôt de montrer qu'on ne les trompe pas. Comme la sentinelle dont le sens de la discipline et de sa mission prévaut sur l'usage du jugement, et qui tire sur tout ce qui bouge. "L'animal est sûr de lui-même", a dit Bergson[16]. Une telle "sûreté" est inversement proportionnelle à la conscience de soi; elle n'est jamais plus forte ni plus entière que là où le sujet ne se voit plus agir, comme dans le somnambulisme et dans la plupart des actions que nous faisons sans

certaine de celui-ci. E. Zola ne partage pas les orientations idéologiques de Taine, qu’il admire pourtant, jusqu’à ce que justement il lui reproche d’avoir été influencé par ses « craintes de bourgeois ». Zola s’inscrit plutôt comme un défenseur du rêve républicain, ce qui le situe à l’opposé de Taine, mais comme lui, il va s’intéresser à la psychologie des foules. Il veut d’abord comprendre les problèmes et les préoccupations de la foule. Cette foule se trouve justement au centre de Germinal ; une