Biais cognitif

la démarche Ce contenu doit être élaboré à partir de ce que les gens maîtrisent et connaissent déjà. Méthodes et moyens pédagogiques Il faut choisir les méthodes pédagogiques les plus appropriées aux personnes et à la situation selon le domaine : Cognitif : exposés, discussions, fournir des écrits, convier des gens à des cours, programmes. Affectif : exposés, témoignages, jeux de rôles, visualisations de films ou d’émissions, discussions et stimulations, forums, internet. Psychomoteur : activités

des pôles d’intérêts (pauvreté du jeu et de l’imagination dans les activités du jeu qui sont stéréotypées, ritualisées) : 2 éléments au moins parmi la liste du DSM On retrouve aussi les perturbations sensorielles Le retard mental et les déficits cognitifs sont aussi associés à l’autisme dans la majorité des cas. Mais pour certains des ilots de compétences supra normales dans des domaines électifs (les asperger) : dans 1 domaine de la liste Des troubles du comportement (crises, colères, agressivité)

Festinger. Selon celle-ci, l’individu est en présence de cognitions incompatibles ou opposées. Quand une personne est en dissonance cognitive, il éprouve une tension désagréable. Un effort considérable et inconscient afin de restaurer son équilibre cognitif sera exercé par l’individu. Une personne peut facilement éprouver un conflit entre ses valeurs et ses désirs dans son milieu de travail. Par exemple, un individu qui travaille dans une banque qui a des problèmes financiers dans sa vie personnelle

interview pour le Telegraph. Alors que sa carrière n'a duré que trois ans, elle a mis huit longues années à se soigner. Manger en suivant un régime amaigrissant, ou un « programme d’alimentation équilibrée », consiste à exercer un contrôle d’ordre cognitif sur son comportement alimentaire en vue de maigrir ou de ne pas grossir. Le comportement alimentaire devient réflexif et non plus intuitif, et a été décrit sous le terme de restriction cognitive. On peut distinguer 4 phases de restriction cognitive

lacunes terminologiques (Black 1962; 1979 ; Gotti,1991). Black et Boyd, analysant les métaphores sous l’angle de la philosophie de la science, vont audelà du rôle de ce trope dans la constitution des terminologies. Ils mettent en évidence le rôle cognitif (la valeur heuristique) des métaphores dans l’élaboration et la formulation des théories scientifiques. Nous avons retenu ici les contributions de Black et Boyd seulement comme argument pour l’utilité de la métaphore au niveau terminologique. Black

(ambigus). En fonction ce qu'il se passe dans l'environnement mon systeme cognitif va decider de ma reaction. ​​Stimulus > Activation > Cognition > Emotion Mais que se passe t'il avant l'activation ressentie ? Quel est le lien entre emotion et action ? ​En 1960/1966: Magda Arnold / Richard Lazarus mettent en avant le role des evaluations cognitives et la theorie de l'estimation. Peser le pour et le contre avant que le systeme cognitif decide de ce qu'il y a a faire. Nous évaluons des differences entre

conférence internationale Cem07 (Cognition, Émotion et Motivation 2007) que nous avons, mon collègue Slim Masmoudi et moi-même, organisée et présidée. Ces ébauches ont été rédigées dans un chapitre intitulé « Peut-on comprendre le fonctionnement cognitif sans comprendre ce qui l’oriente ? » (Naceur et Masmoudi, 2008b) et représentent en quelque sorte un des précurseurs d’une question qui nous a pendant longtemps préoccupés en tant que psychologues de la cognition : penser autrement le traitement

luimême, de sa totale liberté et de ses aptitudes, à la fois intrinsèques et extrinsèques, à agir. La quatrième est la double nature de la motivation. D’après Nuttin (1985, p. 170), la motivation humaine d’un individu émane d’un processus dynamique et cognitif, de ce qu’il appelle, l’autodéveloppement et qui doit lui révéler ses propres projets et ses propres buts. La cinquième et dernière, découle des apports en neuropsychologie, c’est-à-dire en psychologie cognitive, qui a conforté, notamment, l’idée

s’installe peu à peu à partir des années 60, avec T. Beck. Travaillant originellement sur la dépression, il relève l’existence de blocages cognitifs au changement : pensées automatiques, dialogue intérieur… Loin de la psychanalyse, ces processus de pensées portent sur des sujets bien « concrets ». A partir de ce constat va se mettre en place un modèle cognitif, adaptable notamment aux troubles anxieux. L’approche cognitivo-comportementale (pour parler plus simplement, l’analyse des pensées, croyances

l’engagement. Les effets sont d’autant plus forts si l’engagement est grand. On peut s’engager dans deux types d’actes : -Acte non problématique : Ils n’heurtent pas nos convictions. -Acte problématique : Contraire à nos convictions. Au niveau cognitif, les actes problématiques entraîneraient un ajustement de l’attitude à cet acte (la rationalisation) ; les actes non problématiques entraînent une consolidation des attitudes et même une véritable extremisation en cas d’agression. Au niveau comportementale :