Blake Et Mouton

de décision aux subordonnés ou prend certaines décisions en accord avec eux). L’échelle de Likert apparaît comme insuffisante, les styles de directions ne peuvent pas se réduire à quatre approches aussi pertinentes soient elles. La grille de Blake et Mouton Style 1.1 ‘’laissez faire’’ : Situation où le management des hommes et de la production est très réduit. Système peu efficace et faible dynamisme Style 9.1 ‘’style directif’’ : L’accent est mis sur la production. L’homme n’est présent qu’à des

de décision aux subordonnés ou prend certaines décisions en accord avec eux). L’échelle de Likert apparaît comme insuffisante, les styles de directions ne peuvent pas se réduire à quatre approches aussi pertinentes soient elles. La grille de Blake et Mouton Style 1.1 ‘’laissez faire’’ : Situation où le management des hommes et de la production est très réduit. Système peu efficace et faible dynamisme Style 9.1 ‘’style directif’’ : L’accent est mis sur la production. L’homme n’est présent qu’à

des facteurs d’hygiène n’est pas source de motivation, par contre si les facteurs d’hygiène ne sont pas satisfaisants, il y a une démotivation. * Les facteurs de motivation sont essentiels et positifs. 4- Encore d’autres auteurs * Blake et Mouton: travaux sur les styles de leadership. * Argyris: notion d’organisation apprenante, l’élargissement des tâches, le travail en groupe, l’autoévaluation de chaque individu. * Leavitt: montre la nécessité de faire passer des tests psychologiques

décisions. - Style participatif : les individus sont constitués en équipes qui contribuent véritablement à la prise de décision ; la coopération est forte ; l’esprit d ’équipe développé ; l’information circule librement. • La grille managériale de BLAKE et MOUTON (1964) : croise l’intérêt porté par le dirigeant aux hommes et aux tâches. • L ’existence d ’un continuum des styles 113 3.2. Le contrôle du pouvoir des dirigeants • 3 facteurs principaux : - le cadre institutionnel : lois, règlements, dépend

organisations mandatrices à travers les attentes des organisations mandatrices (Adams, 1976), la représentativité d’un mandant (Benton, 1972 ; Klimoski, 1972 ; Klimoski & Ash, 1974 ; Bartunek, Benton & Keys, 1975), la loyauté et l’engagement d’un mandant (Blake & Mouton, 1961 ; Druckman, 1971), la fixation de contraintes de profit (Neale & Bazerman, 1985), les récompenses données aux négociateurs (McFillen, Reck & Benton, 1983) ; influence des interdépendances entre parties en termes de pouvoir (Thibaut & Kelley

le sens d’un mot est délimité par les mots voisins. Les mots « condescendance », « mépris », « dédain » et « hauteur » sont voisins, de sorte que le sens de chacun ne peut être précisément délimité que par opposition aux autres. Autre exemple : le mouton se dit sheep en anglais. Mais ces deux mots n’ont pas tout à fait la même valeur car l’anglais dispose du mot mutton pour désigner la pièce de viande apprêtée et servie à table. Saussure va jusqu’à dire que le sens des mots est entièrement donné par

|Editions BPI | |Sécurité et organisation du travail en restauration |Marc LOUBRY |Editions BPI | |Culture d’entreprise : La grille des équipes gagnantes|Robert. R. BLAKE, Jane Srygley MOUTON, Robert |Editions d’organisation | | |L. ALLEN | | |Le management d’une équipe

le sens d’un mot est délimité par les mots voisins. Les mots « condescendance », « mépris », « dédain » et « hauteur » sont voisins, de sorte que le sens de chacun ne peut être précisément délimité que par opposition aux autres. Autre exemple : le mouton se dit sheep en anglais. Mais ces deux mots n’ont pas tout à fait la même valeur car l’anglais dispose du mot mutton pour désigner la pièce de viande apprêtée et servie à table. Saussure va jusqu’à dire que le sens des mots est entièrement donné par

le sens d’un mot est délimité par les mots voisins. Les mots « condescendance », « mépris », « dédain » et « hauteur » sont voisins, de sorte que le sens de chacun ne peut être précisément délimité que par opposition aux autres. Autre exemple : le mouton se dit sheep en anglais. Mais ces deux mots n’ont pas tout à fait la même valeur car l’anglais dispose du mot mutton pour désigner la pièce de viande apprêtée et servie à table. Saussure va jusqu’à dire que le sens des mots est entièrement donné par

autres styles affichant des performances moyennes. ← Prolongement Dans la lignée de Likert et de Lewin, de nombreux auteurs se sont essayés aux typologies de styles de management. Parmi les plus célèbres, on distingue d'une part, celle de Blake et Mouton (1970) qui en croisant deux dimensions (l'intérêt porté sur l'homme et l'intérêt portant sur les tâches) identifie cinq styles (contrôleur, laissez-faire, compromis, social, intégrateur) : Identification de 5 styles de management en fonction