Cadbury

governance) s'est développée principalement sous la pression des investisseurs institutionnels et des associations de défense des intérêts des actionnaires (shareholders). Les régulateurs anglo-saxons ont privilégié - dans les rapports Treadway et Cadbury- les systèmes d'incitation des dirigeants à respecter les intérêts des actionnaires, et les règles formelles d'organisation et de fonctionnement des conseils d'administration, en préconisant notamment la nomination d'administrateurs indépendants,

marque dans l’acte d’achat. C’est ainsi que Nestlé, Mars, Kraft Food, Cadbury, Lindt et Ferrero détiennent à elles seules environ 85% des parts du marché de la confiserie chocolatée. Par ailleurs, il est important de souligner qu’une des clefs du marché est l’innovation ce qui explique pourquoi celui-ci s’est essentiellement construit par croissance interne de ces firmes jusqu’à très récemment où l’offre d’acquisition de Cadbury par Kraft Food cet hiver à obligé Ferrero à considérer l’hypothèse d’une

opérationnelle est de 11,7%. Celle-ci devrait continuer sa progression au cours des deux prochaines années pour atteindre 12,7% cette année et 13,2% en 2011. Le groupe WPP compte parmi ces clients Vodafone, HSBC, Ford, mais aussi l’Oréal, Coca-Cola, Cadbury, Danone, Ferrero, Nestlé… samedi 6 mars 2010 Islande: le “non” à l’accord financier Icesave paraît inévitable [pic] «C’est le premier référendum en Islande depuis l’indépendance du pays. Les 230.000 électeurs ont commencé

ne peut contrôler les informations dites. MENACES-Menace des chocolatiers et pâtissiers.-Les grandes entreprises spécialisées en chocolat et qui distribuent en grande surface (Nestlé, Lindt, Ferrero,Cemoi, cadbury etc…) détiennent plus de la moitié de la part de marché, du marché du chocolat.- La TVA française est de 5,5% pour les produits à base de chocolat noir. Or celle-ci va très bientôt passée à 7%. Leurs marges vont baisser | C) Politique générale

des ans par le New York Stock Exchange17 et le NASDAQ18, mais le concept évoluera peu. En Angleterre, la Bourse de Londres, des organisations comptables et la Banque d’Angleterre ont réagi en suggèrant la création d’un comité présidé par Sir Adrian Cadbury qui a publié le premier rapport sur le non-executive director le 1er décembre 1992. Il a proposé un Code of best practice qui précisait le but de l’institution des non-executive directors. On attendait alors d’eux qu’ils apportent un jugement indépendant

années 1950 par le petit Rodolphe. Si, depuis, Dop a singulièrement élargi son territoire, la marque n’en aura pas moins un moment fabriqué son futur grâce à des attributs de son passé. A la fin des années 1980, Poulain, alors aux mains du groupe Cadbury-Schweppes, n’a plus l’aura des années passées, au point que sa disparition semble programmée. La marque trouve en la personne de Marc Baraban, son directeur de marketing nommé en 1994, l’électro choc salutaire. Il signe le retour au statut de la marque

les entreprises qui se situent à la « moyenne » (80 % des entreprises se situent dans la moyenne). Encadré 2 – Les 68 entreprises européennes étudiées s Secteur agroalimentaire Nestlé, Danone, Pasquier, Lindt & Sprungli, Kraft Jacobs Suchard, Cadbury Schweppes, Bonduelle, Fleury Michon, Harrys Group, Labeyrie, Eridania-Béghin-Say, Ricard, Heineken, Diageo, Remy Cointreau, Allied Domecq, Carlsberg, Scottish & Newcastle plc, Interbrew SA, United Biscuit, Saveur de France, Bahlsen Gmbh, Haribo, Chupa

utilisés à grande échelle. La première fabrique de France est fondée par le chocolatier Jules Pares, en 1814, dans les Pyrénées-Orientales. En 1815, le Hollandais Coenraad Johannes van Houten créa une première usine. En 1821, l’Anglais Cadbury produit le premier chocolat noir à croquer. Pour répondre aux besoins de l'industrie, les cacaoyers sont introduits en Afrique et les premières plantations créées. Apparaissent alors les chocolateries industrielles, principalement en France, en Suisse

les différentes parties prenantes de l’entreprise et notamment les actionnaires, les administrateurs et les dirigeants un certain nombre de chartes, code éthiques et rapports de bonnes pratiques en matière de gouvernance ont vu le jour (Rapports Cadbury, Vienot 1 et 2, Bouton, AMF). Concernant les sociétés dont les titres sont admis à la négociation sur un marché réglementé le poids et l’importance de cette « soft law » a été marqué par la loi du 3 juillet 2008 transposant la directive 2006/46/CE

tablettes chez Klaus et représente 60 % de la production de la petite usine. Auparavant, Ethiquable sous-traitait son chocolat de couverture à un chocolatier italien, Icam. Spécialisé dans le bio, celui-ci travaille notamment pour le britannique Cadbury. Klaus se contentait de mouler ses tablettes. « Icam achetait pour notre compte les fèves dans des coopératives certifiées par Max Havelaar, raconte Christophe Eberhart, cofondateur d'Ethiquable. Il fabriquait le chocolat liquide qu'il livrait à Klaus