Canon esthétique

résultent d'une intention morale ou politique d'agir sur la société. Cette catégorie de textes ne relève pas de la littérature populaire, il ne s'agit pas d'une littérature populaire au sens où elle est produite «spontanément» par le «peuple» hors des canons de l'«institution» lettrée, mais plutôt d'une littérature souvent qualifiée de populaire par l'action qu'elle prétend entreprendre[pour la libération des classes, des cultures, des sociétés asservies pour la libération du «peuple», l'émancipation

graphisme de celui-ci est assez simplifier et l’interprétation géométrique des proportions peut être très subtile et rappeler les modèles Grecs. Quant au plan de Francesco di Giorgio martini, il travaille le trait de manière réaliste, basé sur les canons de beauté de son époque. Après description des différences et points communs de ces deux représentations anthropomorphiques. Qu’est-ce que ces observations nous permettent à présent de supposer quant à la position de ces deux représentations au

On peut supposer qu'à travers ce texte, V critique guerre de 7ans (1756). • Pamphlet dirigé contre guerre, protagonistes et conséquences [/size1) Une peinture ironique de la bataille ]a. Un spectacle de défilé militaire : [size=12]• Caractère esthétique paradoxal, énumération adjectifs laudatifs renforcés par si • Description structurée, ponctuée : 'd'abord, ensuite, enfin' : montre ordre du déroulement bataille. • Qualitatifs et superlatifs 'si bien ordonnée, telle qu'il n'y en eu jamais' :

fondée sur l’apparence. Voilà une mesure encore bien difficile à mettre en oeuvre, comment prouver que l’on est victime d’une ségrégation lors d’un entretien d’embauche, ou si une promotion qui nous semble légitime ne vient jamais. Dans le passé les canons de la beauté existaient déjà mais ils étaient différents, la femme se devait d’avoir la peau blanche et elle était plutôt ronde, l’homme ventripotent déclinait ainsi sa prospérité. L’apparence avait moins d’importance et était essentiellement réservée

beauté. Le fait que l'activité artistique ait été assujettie à la beauté jusqu'au 19è siècle n'illustre-t-il pas le lien nécessaire, c'est-à-dire qui ne peut pas être autre, l'art et la beauté ? Mais cela n'a-t-il pas enfermé l'art dans les canons esthétiques, déterminant un idéal qui devient un modèle pour tout artiste ? D'où le problème : cela ne va-t-il pas à l'encontre de la créativité artistique ? L'art ne devrait-il pas s'affranchir de tout déterminisme ? Le but est donc la définition de l'art

notre apparence conditionnera nos relations aux autres. Poussant son analyse, le sociologue démontre combien la beauté est un formidable outil de discrimination sociale que les élites imposent aux classes les plus basses. Dans le monde entier, les canons de la beauté ne sont-ils pas ceux des Blancs américains diffusés par la télévision et le cinéma : blondeur, minceur, jeunesse. Que l’on s’y résolve ou que l’on se révolte, nous n’en sommes pas moins, dès la naissance, soumis à la première des injustices

terme renvoie à la langue grecque désignant ainsi la tekhnè de l’artisan. Sens 3 : Au sens aujourd’hui le plus courant du terme, l’art désigne « les Beaux-Arts », c’est-à-dire la production spécifique d’objets dont on (qui ?) reconnaît la valeur esthétique, ou encore la beauté. En ce sens, l’art semble s’opposer à nouveau radicalement à la technique : alors que cette dernière vise l’utilité et obéit à des critères d’efficacité, l’art ne semble préoccupé que de la beauté de l’œuvre, beauté toutefois

Partie III – Évolution des canons de beauté De l'Antiquité au XIXe siècle Par « Canon de beauté » on désigne les normes ayant cours à une certaine époque concernant ce qui est considéré comme beau et ce qui ne l'est pas. Ces normes évoluent et ce qui est considéré beau autrefois ne le sera pas forcément aujourd'hui. Ces canons de beauté suivent l'évolution de la mode et sont dépendants de l'évolution des techniques, comme par exemple le maquillage et le coiffage. Depuis l'Antiquité

(France/ Autriche, contre la Prusse). * Guerre ne repose sur aucun fondement. Elle est arbitrale. Ce sont les rois qui décident des guerres. LA thématique : 1. Le caractère esthétique et apparemment appréciatif de la guerre 2. La critique de la guerre 1. Guerre présentée de façon inattendue. L’accent est mis sur son aspect esthétique. Au début du passage : insistance sur l’harmonie visuelle et auditive. * Parallélisme du « si » d’intensité : met en valeur les adjectifs : brillant (armure), leste (organisation

esprit,… ». L’auteur montre ici l’esthétique d’un paysage qui ne sois pas une copie conforme de la nature mais qui s’en inspirer pour produire une œuvre meilleur. Pour d’autre historien de l’art tel que Johanne Joachim Winckelmann, la réussite esthétique n’est pas en relation avec la nature. Dans son ouvrage Réflexion sur l’imitation des œuvres grecques en peinture et en sculpture, Winckelman explique que les artistes se doivent d’imiter les anciens en particulier les grecques (« Rien ne saurait