Cas Pratique Gestion De Patrimoine Situation Fiscale

.……….........................................12 1. Définition et objectifs…………………………………………………………..……………12 2. Démarche du contrôleur……………………………………………….…………………...15 2.1. Les travaux préliminaires……………………………………………………..15 2.1.1. Examen du dossier fiscal :………………………………………….……...15 2.1.2. Etablissement des états comparatifs des bilans …………………...…..15 2.1.3. Collecte des renseignements sur l'entreprise……………………………16 2.2. Exécution de l’examen…………………………………………………...........16 2.2.1. La première intervention

temporaire de propriété à un tiers, le fiduciaire. Charge à lui de conserver (fiducie de sûreté) ou de gérer (fiducie de gestion) au mieux les actifs confiés, bien à l'abri d'autres créanciers, pour ensuite les rendre à une date donnée à un bénéficiaire. Les banques de l'Hexagone sont plus à même de transformer en capital la dette d'entreprises en difficulté et d'en confier la gestion à des fonds de retournement spécialisés. Un pas que de nombreux obstacles empêchent encore de franchir en France, malgré

Données fiscales et sociales Au partiel : pas de question de cours, seulement un cas pratique d’application de situation professionnelle Objectifs : • Clarifier la situation de l’entreprise au regard de la fiscalité française. ← Les différentes formes juridiques de l’entreprise ← Les différents régimes d’imposition auxquels seront soumises les entreprises • Traiter les différents impôts dont sont redevables les entreprises ← Impôt sur le revenu des personnes physiques

de productivité. Du point de vue juridique, l’entreprise individuelle présente de très sérieux inconvénients car elle se caractérise au Maroc par l’absence de patrimoine d’affectation, d’où une responsabilité indéfinie et exclusive de l’entrepreneur sur tous ses biens par suite de la confusion de son patrimoine commercial avec sont patrimoine civil. La dénomination d'entreprise recouvre une grande diversité, tant en ce qui concerne la taille, l'activité, le mode de fonctionnement que la forme

indépendante, c'est-à-dire en son nom personnel et pour son compte personnel. Il supporte lui-même les risques de son activité. III. Les conditions liées au commerçant. A) Commerçant et incapacité : Le code de commerce réglemente spécialement la situation des mineurs en raison du danger qu’il court en exerçant une profession commerciale. En conséquence, le mineur même émancipé ne peut pas être commerçant. Le code de commerce ne prévoit aucune disposition propre aux incapables majeurs. Nous examinerons

  Société d’accueil : FACOGEM LAARIBI S.A.R.L Expertise comptable-Audit-Consulting 192, Bd. Zerktouni – Casablanca Maroc 3ème année AES option Administration et Gestion des Entreprises Stage d’observation Rapport de stage : La vie professionnelle dans un cabinet d’expertise comptable et de commissariat aux comptes   Fait par : Lembarki Najlaa Encadrée par : Mme Delphine Vallade Maitre de stage : Professeur Mohammed Laaribi Période de stage : Du 3-03-2014 au 18-03-2014 NAJLAA  LEMBARKI

commerce 3 2. Les techniques d'évaluation 5 3. La mise en pratique 6 B. Evaluation des parts sociales 7 1. Définition des parts sociales 8 2. Les techniques d'évaluation 8 3. La mise en pratique 10 II. LES TECHNIQUES DE TRANSMISSION 13 A. Cession du fonds de commerce 13 1. D'un point de vue juridique 13 2. D'un point de vue fiscal 14 B. Cession des parts sociales 17 1. D'un point de vue juridique 17 2. D'un point de vue fiscal 18 CONCLUSION 21 BIBLIOGRAPHIE 23 TABLE DES ANNEXES

OPTIMISER L’IMMOBILIER DANS UNE SCI SCI support de l’immobilier d’entreprise 4 §§ §§ – extinction de l’usufruit .............. 97 – abus de bien social, acte anormal de gestion : non .......................... 98 • Intérêt du démembrement des parts : – situation envisagée ..................... 99 – usufruit économique .................. 100 – répartition des bénéfices – Notion de bénéfice distribuable .................................. 101 – conséquences pour la SCI ........ 102 – conséquences

de la même façon sur le plan fiscal. Certaines relèvent de l’IR alors que d’autres relèvent de l’IS. Cette distinction est très importante. Quand l’Ese relève de l’IR le régime est proche de celui de l’Ese individuelle. Concrètement le résultat est calculé au niveau de l’Ese à partir de sa comptabilité ms c’est l’associés qui est le débiteur de l’I sur les bénéfices. C’est différent dans une Ese soumise à l’IS car la Sté détient la pleine et entière personnalité fiscale. C’est donc un contribuable

crédits de cette taxe soient remboursés aux entreprises concernées dans les meilleurs délais. C’est pour satisfaire à cette exigence qu’une régie de remboursement a été créée par l’article 7 de l’annexe fiscale à l’ordonnance n° 2006-234 du 2 août 2006 portant budget de l’Etat pour la gestion 2006. Cette régie est alimentée par une quote-part des recettes de TVA qui lui est affectée et dont le niveau est fixé annuellement par arrêté du Ministre de l’Economie et des Finances. Diverses contraintes