Cas Pratiques De Successions Et Libéralités La Représentation Successorale

et potentiel et des obligations d'une même personne. Il a pour intérêt ce patrimoine de traduire le lien qui unie en la personne de son titulaire tous les biens et toutes les dettes. Le patrimoine est un tout , comme une universalité* c'est la représentation pécuniaire de la personne. Sa caractéristique est d'absorbée les mouvements de valeurs les plus divers c'est-à-dire qu'il est impossible de le concevoir stable ou inerte. Au delà de biens et de dettes déterminés, le patrimoine est la relation

(sanction en cas de non-respect). Si l’obligation n’est pas tenue, on peut aller vers les tribunaux. Elle peut être exécutée de force par la force publique. À la différence, les obligations qui ne sont pas de droits (morales, politiques, religieuses). Pas de justice ou force publique en cas de non-respect. C’est aussi un lien entre deux ou plusieurs personnes. On distingue l’obligation des autres rapports juridiques, dont le rapport entre une personne et une chose, pas d’obligation dans ce cas. Un lien

trouver une assimilation du service au bien ; ce qui est bien entendu erroné d’un point de vue juridique. De plus, cette entité doit être porteuse d’utilité. L’utilité est un avantage que l’entité est susceptible de procurer à l’homme. Dans le cas contraire, l’entité ne saurait être un objet de convoitise. Le droit est la réponse au problème du partage, qui ne se pose que s’il y a un intérêt envers l’entité. Certaines choses sont dépourvues de toute utilité, elles demeurent donc à l’état de choses

servir une rente à une tierce personne elle doit être temporaire, elle ne peut pas être perpétuelle pour celui qui la subit. Elle peut durer aussi longtemps que vit le disposant (mais pas l’inverse) Ces conditions ne sont pas exigées pour des libéralités consenties à des personnes morales ou physiques chargées de constituer une personne morale favoriser les fondations à laquelle sont affectées une mission et des biens, le législateur n’a pas voulu entraver la constitution de fondation. Il bénéficie

son exigibilité. Parmi les termes on distingue les termes certains et les termes incertains. Qualifié de certain ou incertain, un terme est toujours de réalisation certaine. Parfois on ne sait pas quand cet évènement certain va survenir. Dans ce cas on parle de terme incertain. Reprise de l’exemple 1 : terme certain car date Reprise de l’exemple 2 : terme incertain car on ne sait pas quand il va survenir. Section 1 : L’origine du terme Un terme peut avoir une origine conventionnelle, légale ou

domaine incompétent lors de la Loi Veil (Conseil Co 15 janvier 1575, Dalloz 1975 p. 529) sur l'IVG à la suite de cette décision, le conseil CO s'étant déclaré incompétent, on s'est demandé si les juridictions de l'ordre interne été compétentes. 2 cas: -Si le traité est postérieur à la loi interne, application selon laquelle le traité postérieure prime sur la loi interne - à l'inverse, si la loi est postérieur au traité, 2 hypothèses soit ils peuvent coexister c-a-d se compléter (la loi nouvelle

tout la place qu'elle a aujourd'hui. D'ailleurs, on pourrait dire la même chose des quasi-contrats (répétition de l'indu, enrichissement sans cause..). Certains auteurs observent que finalement cela ne présente pas d'inconvénients majeurs pour la pratique : tous les juristes savent que les règles régissant les obligations en général doivent être chercher dans les dispositions relatives aux contrats. C'est simplement une vue plus scientifique de la matière qui distingue la source de l'obligation de

l'abstraction de la règle de droit En générale le législateur utilise des termes abstraits susceptibles d'englober diverses situations. La règle est rédigée de telle façon qu'elle soit applicable à tous. Art 182 cc La jurisprudence va définir les cas applicables correspondant à une règle. §2. La règle est obligatoire est sanctionnable. La règle s'impose à toutes les personnes. « nul n'est censé ignorer la loi » il existe plusieurs types de règle de drt. règles impératives, prohibitives

1999 : Le PACS qui a subit quelques modifications par un texte du 23 juin 2006. - Loi du 3 décembre 2001& 23 juin 2006 sur le droit de succession qui a amélioré la situation du conjoint survivant et surtout a supprimé le statut successoral de l’enfant naturel adultérin. - Loi du 22 janvier 2002 sur l’accès aux origines et qui a facilité l’accès à l’information en cas d’accouchement sous X. - Deux lois du 4 mars 2002 : l’une relative au nom de famille & l’autre relative à l’autorité parentale et

vivant et viable (c’est la capacité physiologique à survivre, la difformité n’est pas une non viabilité). Critères : + de 22 semaines d’aménorrhée et + de 500g (poids). Article 725 « Pour succéder, il faut exister à l’instant de l’ouverture de la succession ou, ayant déjà été conçu, naitre viable ». Si l’enfant n’est jamais né, il ne sera pas en mesure de recevoir une donation qui lui aura été faite. Arrêt du 18 novembre 2003 rendue par la cour d’appel de Lyon : les restes de l’enfant mort-né avaient