Cass Civ 2e 10 Juin 2004

personne, une situation précise. -La règle de droit est abstraite en principe, en effet techniquement elle comporte deux éléments, une hypothèse et une solution. Si par hypothèse, tel événement advient, il faudra appliquer telle solution. Art 1382, C. civ « Tout fait quelconque de l’homme qui cause dommage à autrui oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer. » Cela signifie qui si on provoque un accident, il faut appliquer la solution. Au moment où l’on a rédigé cette règle, on ne

doctorale n° 74 LA PROTECTION DE L’ENFANT EN DROIT INTERNATIONAL PENAL : ETAT DES LIEUX Mémoire de Master recherche Mention Droit international présenté par Aurélie LA ROSA Sous la direction de Monsieur le Professeur LAVENUE Année universitaire 2003-2004 Mémoire publié après autorisation du jury sur http://edoctorale74.univ-lille2.fr « L’humanité se doit de donner à l’enfant le meilleur d’elle-même… » Déclaration de 1924 sur les droits de l’enfant. 2 SOMMAIRE SOMMAIRE……………………………………………………………………………………

hiérarchie et la complémentarité des sources 7 La preuve des actes 103 115 II. L’activité économique et les mécanismes II. juridiques fondamentaux et des faits juridiques 8 Les contrats 129 9 La notion de responsabilité 147 10 La mise en œuvre et les conséquences de la responsabilité 165 11 L’approche juridique de la notion d’entreprise III. L’entreprise et l’activité commerciale 183 12 L’entreprise commerciale (le commerçant) 199 217 14 Le choix

profession voir l'obligation d'acheter une charge etc. C'était l'assurance que les fils de demeuraient fils de et ceux qui ne l'étaient pas n'avaient pas de chance d'y accéder. Le décret a voulu mettre fin à cet état. Loi le Chapellier des 14 et 17 juin 1791 va expressément interdire les corporations. C'est à partir de 1791 que l'on fixe la naissance du principe de la liberté du commerce et de l'industrie. Les corporations et difficultés d'accès à la profession vont se maintenir et c'est essentiellement

la même sécurité juridique que la législation. C’est pour cela que la responsabilité sans faute, n’a été que banalisé que dans les années 1880 alors qu’elle avait débuté dans les années 1830. Donc, aujourd'hui, on procède à une recodification depuis 2004. Plusieurs projets ont été lancés. La seule difficulté est qu’aujourd'hui nous ne sommes pas dans un système aussi efficace qu’en 1804 (avec un pouvoir aussi fort que Napoléon Bonaparte). Aujourd'hui, le pouvoir politique est faible : il y a des groupes

projet de loi déposé devant l’Assemblée Nationale en 2004 est adopté par elle au mois de mai. Après dix-huit mois de débat, la loi est votée en juillet 2005 par la procédure d’urgence afin d’endiguer le flot déferlant des amendements[8]. La loi du 26 juillet 2005 est justifiée par deux constats. Le premier d’entre eux est un constat d’échec. Chaque année, 45 000 entreprises concernant environ 300 000 salariés, dont 90% emploient moins de 10 salariés, font l’objet d’une procédure collective. Dans

la complémentarité 5 21 47 61 83 103 115 129 147 165 Le droit et l’activité économique I. Le cadre juridique de l’activité économique des sources 7 La preuve des actes et des faits juridiques 8 Les contrats 9 La notion de responsabilité 10 La mise en œuvre et les conséquences II. L’activité économique et les mécanismes II. juridiques fondamentaux de la responsabilité 11 L’approche juridique de la notion III. L’entreprise et l’activité commerciale 183 199 217 237 d’entreprise

de consommateurs. 7 SOMMAIRE Première partie Thème Thème 1: 2: Deuxième partie Thème Thème Thème 3: 4: 5: Troisième partie Thème Thème Thème 6: 7: 8: Quatrième partie Thème Thème Thème Thème 9: 10 : 11 : 12 : 13 : ᮣ QUELLES SONT LES RELATIONS ENTRE LE DROIT ET L’ENTREPRISE AUJOURD’HUI ? L’entreprise : une notion complexe pour le droit Le droit : un cadre juridique pour l’entreprise ................................ ............

incertaine Chapitre II : Un contenu imprévisible Liste des principales abréviations AJ Pénal : Actualité Juridique Pénal Bull. crim : Bulletin criminel de la Cour de cassation CA : Cour d’Appel C. Cass : Cour de cassation Cass. Crim : Chambre criminelle de la Cour de cassation CCE : Communication commerce électronique CEDH : Cour Européenne des Droits de l’Homme Cons. Const. : Conseil Constitutionnel Convention EDH : Convention Européenne de sauvegarde

administratifs par détermination de la loi : les contrats de vente de biens immobiliers du domaine privé de l’Etat. On retrouve la même idée avec les contrats comportant occupation du domaine public. En application de l’article 1er du décret-loi du 17 juin 1938 (et de l’article L.84 du Code du domaine de l’Etat, devenu aujourd’hui l’article L.2331-1 du Code générale de la propriété des personnes publiques), le contentieux relatif à ces contrats relève de la compétence du juge administratif. Cette attribution