Cass Civ 3 6 Octobre 2004

français des contrats de droit d’auteur ? Le formalisme des contrats de cession de droits de propriété littéraire et artistique (CPI L. 131-3) peut s’appliquer aux licences ou autorisations d’utilisation (3). Celles-ci doivent décrire de manière précise le domaine d'exploitation, soit l’étendue, la destination, le lieu et la durée des droits concédés. L’article 3 des licences Creative Commons énumère l’étendue des droits proposés : « la reproduction de l’œuvre seule ou incorporée dans une œuvre dite

du tribunal départemental du Sénégal, abis éditions, 2011. Philippe MALAURIE et Laurent AYNES, Les personnes – La protection des mineurs et des majeurs, Defrénois, 5e éd. 2010. Philippe MALAURIE et Laurent AYNES, Droit civil. La famille. Paris: EJA, 2004. Youssoupha NDIAYE, Le divorce et la séparation de corps, Dakar, NEA, 1979 François TERRE et Dominique FENOUILLET, Droit civil, Les personnes, la famille, les incapacités, Dalloz, 7e éd. 2005. Bernard TEYSSIE, Droit civil, Les personnes, Litec, coll

procédure, une loi de chicane […], nous avons considéré d’abord l’intérêt du 2 LABETOULLE (D.), « L’avenir du dualisme juridictionnel, point de vue d’un juge administratif », A.J.D.A. 26 septembre 2005, pp. 1770-1777 3 4 Loi sur les aliénés n°7743 du 30 juin 1838 Titre XI article 3 de la Loi des 16-24 août 1790 sur l’organisation judiciaire ; Livre IV Chapitre II Section II article R.30 du Code pénal du 12 février 1810. 2 malade, parce que c’est dans cet intérêt que la loi est faite »5

considérés comme des personnalités juridiques. Aristote « L’esclave est un objet animé » La naissance d’un individu doit être rendue publique en étant déclarée article 55 du code civil « la naissance d’un enfant doit être déclaré dans un délais de 3 jours suivant l’accouchement » Cette obligation concerne tous les enfants quelque soit leur origine. Elle concerne aussi tous les types de filiations, peu importe la situation des parents. Même en l’absence de lien de filiation. (ex : naissance sous

s’adresse à la personne et non lorsqu’on parle d’elle (voir ci-dessous : les usages de la correspondance). 3/ Le professeur X a peut-être écrit plusieurs ouvrages ! Il faut donc préciser le titre de celui auquel on fait référence. 4/ Accaparer implique déjà le fait de s’attribuer, de s’emparer de quelque chose : la forme pronominale est donc superflue. 5/ Préférer peu à peu à petit à petit. 6/ Foultitude n’existe pas. Dire multitude 7/ Ne pas confondre le verbe voir et l’adverbe voire !

d’intermédiaire entre le client et le tour-opérateur, organisateur effectif du voyage, appelle celui-ci en la cause afin de la relever et la garantir des condamnations qui seront prononcées contre elle du fait de cette responsabilité de « plein droit ». 3/ L’autre agence mise en cause dans la première instance du fait qu’elle était prestataire intermédiaire (ayant un statut juridique de mandataire) dans l’organisation du voyage est mise hors de cause car elle n’a commis aucune faute personnelle dans ses

lorsqu’il est missionné. Le juge peut se faire assister par l’expert au cours de ses opérations, sauf pour l’expertise médicale où l’expert le médecin peut examiner la personne mise en examen hors la présence du juge ou de ses conseils. Section 3 : recours contre les décisions prises par les organismes chargés de l’établissement des listes en cas de non-inscription. A : délai dans le quel doit être exercé le recours Le recours ne peut être exercé que pendant l’année qui suit la

Une personne physique qui poursuit l'intérêt général ne le fait que parce qu'elle est agent d'une entité morale. Les personnes morales de droit public ne sont ni des sociétés ni des associations, ce sont des formes spécifiques qui relèvent de 3 catégories: * 1) L'Etat L'Etat : principale personne publique puisque l'Etat est détenteur de la souveraineté, il est le seul à pouvoir se régir entièrement seul. Il a la compétence de sa compétence. L'Etat est nécessairement le créateur

l’autre »4. CORNU (G), Vocabulaire juridique, association Henri Capitant, PUF 2000 L’Etat garantit la liberté de pensée en créant les lieux de la pratique religieuse tels que les mosquées et les écoles coraniques qui sont sous le contrôle de l’Etat. 3 L’art. 5 de la Constitution « La république tunisienne garantit…… le libre exercice du culte ». Art. 161 du code pénal dispose que « Est puni d’un an d’emprisonnement et de cent vingt dinars d’amende, quiconque aura détruit, abattu, dégradé, mutilé ou

parents appartiennent à des populations: animales sélectionnées. »[3] Le fait que l'animal soit né en captivité ou ait été apprivoisé n'est pas un critère de domesticité selon le droit français. Le code pénal français distingue ainsi les animaux domestiques des animaux apprivoisés[4]. Cependant, on tend à un rapprochement de ces notions, notamment pour des raisons de simplification (ainsi qu'il ressort de la circulaire du 12 octobre 2004[5]). Particulièrement, le statut juridique de l'animal domestique