Cass Com 16 Juin 1992

première fois qu'une activité de service public peut être gérée par un organisme privé. Le Conseil d’État introduit dans le droit administratif français la notion d'organisme privé, assurant la gestion d'un service public. Arrêt du CE Section du 4 juin 1954 « Affortit et Vingtain » → cette affaire portait sur la qualification d'agent public : la participation direct de cet agent au service public Arrêt CE Section 20 avril 1956, « Epoux Bertin, et Ministre de l’agriculture c/ Grimouard » → Le

d’interaction a tendance à s’accentuer avec la multiplication contemporaine des grands arrêts. Pour s’en tenir uniquement aux 20 dernières années, il n’est pas douteux que les arrêts rendus, par exemple en matière de prix (Cass., ass. 1er décembre 1995), de cause (depuis Cass. 3 juillet 1996, elle s’apprécie par rapport à économie voulue), d’effet relatif du contrat (arrêt Besse 1991) ou encore d’exonération de responsabilité par la force majeure, ont profondément affecté la pratique contractuelle

doit être effectué par un professionnel ; 3-Ce professionnel doit être indépendant. 1- Le déplacement des marchandises ou de personnes Le contrat de transport doit avoir pour objet principal le déplacement de la marchandise ou de la personne (V. Cass. com., 15 mai 2001, no 98-19.651, s’agissant de la marchandise). Peu importe le mode de transport utilisé par le transporteur (terrestre, aérien, fluvial), le moyen de transport (tgv, pousse-pousse, bus, airbus A380). Peu importe la distance parcourue

2004, Précis Dalloz. – P. THÉRY, Sûretés et publicité foncière, 2e éd., 1998, PUF. O. BARRET, Une garantie illusoire : l’hypothèque portant sur les constructions élevées par le preneur à bail rural, Defrénois 1995. 705. – M. CABRILLAC et P. PÉTEL, Juin 1994. Le printemps des sûretés réelles ?, D. 1994, chron. 243 ; Redressement et liquidation judiciaires des entreprises, JCP 1993. I. 3721, spéc. no 6. – P. FRÉMONT, Vente d’immeuble grevé d’inscriptions, JCP, éd. N, 1994. I. 45. – E. PUTMAN, Sur l’origine

atteinte autorisée dans cas IVG ou ITG. La loi sur L’IVG : la loi du 17 janvier 1975 garantit dans son art 1° « le respect de l’être humain dès le commencement de la vie ». Attention, l’lVG n’est pas un droit : voir à propos de l’Irlande : CEDH : 16 décembre 2010, D. 2011. 1360, dans cet arrêt la cour estime qu'il n'existe pas de consensus européen sur la définition scientifique et juridique des débuts de la vie, de sorte que le point de départ du droit à la vie relève de la marge d'appréciation

délai de 10ans).   Comme nous l’avons évoqué précédemment, le juge national s’il doit décliner sa compétence au profit des autorités communautaires s’agissant de l’appréciation de la compatibilité de l’aide (CJCE,19 juin 1973, Capolongo c/ Maya ; Steinike et Weinling précitée, CJCE, 16 mai 2000, Ladbnooke), il n’hésite en revanche pas à se reconnaître compétent pour qualifier l’aide. Il peut aussi se tourner vers le juge communautaire par la voie d’une question préjudicielle pour se prononcer sur

savoir-faire original. La Cour de Justice de la Communauté européenne a souligné « le droit pour le franchiseur de choisir librement les franchisés dont les qualifications professionnelles sont une condition pour établir et préserver la réputation du réseau »16. En effet, la collaboration qui s’instaure entre le franchiseur et le franchisé, pour la mise en œuvre du savoir-faire nécessité que le franchisé soit apte à exercer l’activité envisagée sous la marque commune, sans porter préjudice à l’ensemble du

Document 10 : Civ., 1ère, 11 juin 2009, Bull., civ. I, n° 124. Document 11 : Ass. Plén., 15 avril 2011, n° 10-17049. Document 12 : Olivier BACHELET, note sous CEDH, 12 juillet 2012, Del Rio Prada c/ Espagne, D. , actualité, 26 juillet 2012. B) La preuve des droits Document 13 : Cass. com., 23 octobre 1990, Bull., civ., IV, n° 251. Document 14 : Civ. 1ère, 6 novembre 1990, Bull., civ. I, n° 234. Document 15 : Civ. 1ère, 2 février 1994, Bull., civ. I, n° 41. Document 16 : Cass. com., 31 mai 1994, Bull.

quant à la réparation d'un dommage se rattachant à l'inexécution d'un engagement contractuel (dès lors que la victime subit un dommage en raison de l'inexécution du contrat, doit agir exclusivement sur le terrain de la responsabilité contractuelle (Cass, 2C, 12 mai 2005) Explications -si le contractant pouvait à sa guise agir sur le terrain de la responsabilité délictuelle, pourrait échapper aux clauses du contrat qui encadrent les conditions de son indemnisation (justification par la force obligatoire

septembre 2007, pourvoi n° 07-82713 : Les tribunaux avaient condamné une personne pour racolage public à trois mois d’emprisonnement avec sursis. Cette décision fût cassée dans la mesure où la loi prévoit une peine maximum de deux mois. Crim. 20 juin 2006, AJP 2006 p.405 : Depuis 1994, une personne morale peut être responsable pénalement. Ici une société avait été déclarée coupable d’homicide involontaire. En ce qui concerne la peine complémentaire, les tribunaux avaient condamné la société