Cass Com 20 Janvier 2010

en 1806, suite à une grave crise économique. Suite à cela, Napoléon exigea la discussion du projet, qui a été voté en 5 lois distinctes, qui furent ensuite réunies en 1 seul code par la loi du 15 septembre 1807, et qui est entré en vigueur le 1er janvier 1808. Ce code de commerce comprenait 4 divisions, et 648 articles, consacrés au commerce en général, au commerce maritime, à la faillite, et à la juridiction commerciale. Seulement ce code n’est pas comparable au code civil, c’est une œuvre médiocre

fait du commerce sa profession. Selon la juris, la profession s’analyse comme l’état d’une personne qui conduit l’activité caractérisée par la continuité suffisante pour lui permettre d’en retirer une partie des moyens nécessaires à son existence (Com, 1er oct 97). Cette activité passe par le truchement des actes de commerce. Le fait de se déclarer commerçant après inscription au registre du commerce et des sociétés, et de toutes les obligations imposées à un commerçant ne fait que présumée de la

Les conditions de formation des contrats 3 Le consentement 5 L’existence du consentement 6 La validité du consentement 13 La capacité à consentir 20 L’objet 23 L’objet doit exister 23 La licéité de l’objet 25 La cause au contrat 26 La notion de cause 26 La preuve de la cause 32 Les conditions générales de conformité au droit 33 La conformité à l’ordre public 33 L’absence de fraude 35 Les conséquences de l’abus 36 Titre 2 : Les sanctions de condition de formation des contrats 42 Chapitre

par reprographie de livres et de périodiques protégés contenues dans cet ouvrage sont effectuées par le Cned avec l’autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie (20 rue des Grands Augustins – 75006 PARIS). Imprimerie de l'Institut Cned de Lyon – Directeur de la publication : P. ABOU Dépôt légal 2010 - Numéro de publication : 9613-F1/2 2 S9613-F1/2 teurs, vos interlocu r l'un de Pour contacte à la fiche por tez-vous re er ? qui s'adress «À » tion. nscrip nfirmation

société une image infidèle, la norme ne devra pas être appliquée. - L 123-20 du code de commerce : principe de prudence. Ce principe se traduit par le fait de présenter les comptes de la façon la moins favorable possible en comptabilisant les profits que s’ils sont déjà réalisées et en comptabilisant les pertes si elles sont probables. On ne doit donc pas anticiper un profit et inscrire les pertes probables. - L 123-20 du code de commerce : Principe de continuité de l’exploitation qui vaut pour

des lois qui ne sont pas des droits réels, énoncer des valeurs auxquelles la société est attachée mais pas de normes crées : droit au travail dans la constitution de 1946 ; droit au loisir : droit d’aller en vacances ; le droit au bonheur, inscrit en 2010 dans la constitution au Brésil. Or ces règles ne veulent rien dire, elles sont inutiles et jettent un discrédit sur le droit. Mais elles peuvent devenir de réels règles de droit : droit au logement (loi de 1982 ; du 6 juillet 1989, droit fondamental

patrimoine et en cas de difficulté, la responsabilité de l’entrepreneur sera limitée. Seulement, en principe, la création d’une entreprise a perdu un peu de son intérêt de ce point de vue avec la loi du 4 aout 2008 et encore plus avec celle du 15 juin 2010 : cette loi permet à un entrepreneur individuel de créer un patrimoine professionnel séparé et ce par simple déclaration au RCS. Ce patrimoine séparé constitue le gage des titulaires de créances lié à l’activité professionnelle. A l’ouverture de crédits

foncier bâti ou non bâti. Un autre moyen est offert à l’entrepreneur pour protéger son patrimoine : La loi du 15 juin 2010 modifiée par la loi du 17 mai 2011 qui a instauré l’EIRL : Cette loi est codifiée à l’article L526-6 code commerce. L’EIRL est une révolution juridique car elle marque la fin de la théorie de l’unité du patrimoine. (théorie d’aubry et rau) Depuis la loi de 2010 instituant l’EIRL, on crée la théorie du patrimoine d’affectation. Aujourd’hui, une personne, un entrepreneur peut être

performante de renseignements, est entravée par la Commission Nationale Informatique et Libertés. La protection des données personnelles va de pair avec la CNIL, autorité administrative indépendante, créée par la Loi informatiques et libertés du 6 janvier 1978, ayant pour objectif de contrôler les transferts et les utilisations de renseignements d’ordre privé. Cet organisme veille au respect de la vie privée, au secret professionnel. La Commission est attentive à l’égard des particuliers et n’a pas

Bureau de Développement de Télécommunication BIAC : Banque Internationale Africaine pour le Congo BVP : Bureau de Vérification de Publicité C. civ. : Code civil C.C.F. : Code civil français C.C.Q. : Code civil Québécois Cass. : Cassation CCCL3 : Code civil congolais livre troisième CDMA : Code Division Multiple Access, en français Accès Multiple par Répartition en Code (AMRC) 8 CEDEAO : Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest