Cass Com 22 Octobre 2002

être présentes ou futures. En outre, les choses futures peuvent être l'objet d'une obligation : art. 1130 Cciv. La cause de l'obligation de la caution se trouve dans les rapports du débiteur avec le créancier : le maintien des crédits accordés.( Cass. Com. 8 nov. 1972 arrêt Lempereur ). La capacité de la caution est certaine :art 2295 Cciv. Aussi, M.P est marié sous le régime de la communauté légale mais on ignore si son épouse a contracté avec son consentement exprès. Selon l'article 1415 Cciv

l’obligation (art. 1131 du Code civil) permet dans tout contrat de remédier aux déséquilibres les plus criants mais seule l’absence totale de contrepartie permettait d’annuler le contrat ou tout au moins l’absence de cause réelle et sérieuse (Cass. Com. 14 octobre 1997). Le droit positif refuse donc traditionnellement de sanctionner tout déséquilibre contractuel : l’équivalence dans les prestations n’est pas de l’essence du contrat et le législateur s’en remet à ce qui a été décidé par les parties

Ayroud, Antoine Brulé, Antoinette Alaba Séance 1 L’IDENTIFICATION DU CONTRAT DE VENTE EXERCICE En vous appuyant notamment sur les documents ci-dessous, vous effectuerez un commentaire de l’arrêt du 12 octobre 1967. La séance n° 1 ne sera pas relevée au hasard DOCUMENTS - Cass. civ. 1ère, 12 oct. 1967, Bull. civ. I, n° 292 : SUR LE PREMIER MOYEN PRIS EN SES TROIS BRANCHES : ATTENDU QUE DES ENONCIATIONS DE L'ARRET CONFIRMATIF ATTAQUE, IL RESULTE QUE, PAR ACTE NOTARIE DU 12 JUILLET

supplémentaire. La question a été portée devant la Cass (Cass. Com. 20 mai 1987) : tout créancier doit déclarer aux organes de la procédure, en cas de procédure collective contre le débiteur, la créance dont il est titulaire mais aussi les privilèges et suretés dont il dispose. Or, le créancier n’avait pas mentionné l’existence du droit de rétention. Les organes de la procédure considèrent que le créancier ne pouvait plus utiliser ce droit. La Cass considère que le texte du Code de commerce ne prévoit

transports (devenu BTL depuis 1992) BTL. Bulletin des transports et de la logistique Bull. civ. Bulletin des arrêts de la Cour de cassation (Chambres civiles) CA Cour d’appel CAMP Chambre Arbitrale Maritime de Paris Cass. Cour de cassation Cass. Civ. Cour de cassation, ch. Civile Cass. Com. Cour de cassation, ch. Commerciale CNUCED Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement CNUDCI Commission des Nations Unies pour le Droit Commercial International UNCITRAL United Nations Commission

exemple la prohibition de tout contrat à titre onéreux ou à titre gratuit en matière de convention de « maternité assistée». Ce type de contrat dit de « mère porteuse », a d’abord été annulé pour illicéité par l’Assemblée plénière de la cour de cassation Cass. Ass. Plén, 31 mai 1991 ANNEXE 1, avant d’être explicitement prohibé par les dispositions de l’article 16-7 du Code civil. L’intérêt de l’enfant conduit toutefois la jurisprudence à maintenir le lien de filiation établi, alors même que les parents

Brésil   7 juin 2002 (c) 5 septembre 2002 Brunéi Darussalam (a)   25 juillet 1996  (c) 23 octobre 1996 Bulgarie (a), (e) 17 décembre 1958 10 octobre 1961 8 janvier 1962 Burkina Faso   23 mars 1987 (c) 21 juin 1987 Cambodge   5 janvier 1960  (c) 4 avril 1960 Cameroun   19 février 1988 (c) 19 mai 1988 Canada (i)   12 mai 1986 (c) 10  août 1986 Chili   4 septembre 1975 (c) 3 décembre 1975 Chine (a), (b), (o) 22 janvier 1987 (c) 22 avril 1987 Chypre

général à la suite de scandales. Par exemple, Le trafic d’influence est une infraction qui a été introduite dans le code pénal de 1810, anciennement appelé « délit d’ingérence », adopté à la suite des scandales dits « des décorations ». Le 7 octobre 1887 la presse dévoile un trafic de décorations mis en place par Daniel Wilson (1840-1919), gendre du président de la République Jules Grévy et député d'Indre-et-Loire : Wilson a revendu depuis un bureau de l'Élysée des milliers de décorations, dont

civil un contrat doit contenir une cause, moins pour définir de façon simple cette notion, il est admis que c’est l’objectif recherché par celui qui s’engage ou pour reprendre l’expression de la jurisprudence : « le motif déterminant » Civ 1ere 6 octobre 1959 Dalloz 1960, 515 ou encore « le mobile déterminant, c’est-à-dire celui en l’absence duquel l’acheteur ne se serait pas engagé » Cassation civile 12 juillet 1989 Bull Civ I n° 293. Le débat a pris une grande ampleur en France avec la jurisprudence

unanime des associés d’exclure l’un d’eux, n’entraîne pas la perte de la qualité d’associé, tant qu’un arrêté de retrait n’a pas été publié. La Cour de cassation a de nouveau rappelé, dans un arrêt récent rendu par la première chambre civile le 28 octobre 2010, ce principe pour les SCP d’huissiers de justice : le retrait ne peut résulter de la seule cession des parts sociales, il est fixé à la date de publication de l’arrêté le prononçant. La solution vaut également pour les SCP notariales : quand