Cass Com 4 Mai 1993

jurisprudence constante depuis. De plus, la commercialité des cessions de contrôle gagne du terrain : il suffit que la cession de part permette au cessionnaire de recueillir une majorité de droits sociaux dans la société. Donc c’est le cas s’il achète 4% alors qu’il avait déjà 48%. Il franchit le seuil de contrôle. De la même façon est une cession de contrôle l’achat par un même cessionnaire de trois fois 20% des droits sociaux. Là encore les cessions portent sur des parts minoritaires, mais si les

la famille. Il résulte d’un arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation du 25 mai 1982 qu’il n’est pas exigé que le patrimoine familial soit en péril pour justifier le changement de régime matrimonial. Civ.1re, 25 mai 1982 Sur le premier moyen, pris en ses deux branches, et le second moyen réunis : Attendu que l’arrêt confirmatif attaqué a refusé d’homologuer l’acte notarié du 8 mai 1980 par lequel les époux Z, qui s’étaient mariés en 1938 sans avoir fait de contrat de mariage

-L. Aubert et E. Savaux, 2005, par J. Flour, J.-L. Auber, Y. Flour et E. Savaux, Le rapport d’obligation, Sirey 2006. J. François, Les obligations, régime général, Economica, 2000. J. Ghestin, Traité de droit civil, La formation du contrat, 3ème éd.1993. J. Ghestin, Ch. Jamin et M. Billiau, Traité de droit civil, Les effets du contrat, 3ème éd. 2001. J. Ghestin, M. Billiau et G. Loiseau, Traité de droit civil, Le régime des créances et des dettes, LGDJ, 2005 Ch. Larroumet, Droit civil, t.3, Les obligations

première condition de licéité de la publicité comparative. La publicité comparative ne doit pas être trompeuse au sens de la directive de 1984 mais aussi au sens des articles 6 et 7 de la directive 2005/29/CE du Parlement européen et du Conseil du 11 mai 2005 relative aux pratiques commerciales déloyales des entreprises vis-à-vis des consommateurs dans le marché intérieur ("directive sur les pratiques commerciales déloyales"). Ces articles visent les actions trompeuses et les omissions trompeuses.

réunions des actionnaires. Bibliographie : code des sociétés, droit des sociétés Maurice causian, mémento Lefèvre (et en ligne sur ent). Partie 1 : droit commun des sociétés Titre 1 : Constitution de la société Elles peuvent être décomposées en 4 chapitres : condition de fond, forme du contrat qui sont sanctionné et la personnalité morale de la société. Chap 1 : le contrat de société Condition propre à tous contrats, et ces règles spécifiques. Section 1 : règles communes : Consentement,

sont placés dans des pays non coopératifs (les paradis fiscaux). Depuis le 1er janvier 2010, sont taxés d’office les revenus illégaux à la valeur vénale des produits. On intègre les produits de trafics de stupéfiants à la valeur vénale. Le décret du 4 novembre 2010 portant création d’une brigade nationale de répression de la délinquance fiscale. C’est une entité juridique qui réunit des agents du ministère des finances et qui s’occupe de lutter contre la fraude fiscale. Les agents qui font partie

LES ERREURS NON SANCTIONNÉES _____________________________________ 3 LES ERREURS INDIFFÉRENTES ________________________________________ 3 Civ. 1ère, 13 février 2001 : erreur sur les motifs ......................................................... 4 Com., 18 février 1997 : erreur sur la valeur ................................................................ 5 2. L'ERREUR INEXCUSABLE _____________________________________________ 6 Civ.1ère, 16 décembre 1964 : l’erreur grossière est inexcusable....

prétention opposant les parties sur l’existence d’un droit ou sur sa portée ; - la mission confiée à un tiers : l’évaluateur Arr cass, 16.02.2010 : faits : une cession d’action et les parties avaient prévu une réévaluation du prix par un tiers en cas de désaccord. La CA avait considéré que c était une clause d’arbitrage et donc recours en annulation et la cass casse l’arrêt car le tiers , l’évaluateur, avait pour mission simplement de constater un fait , «  le tiers désigné par les parties avaient

le délai de la prescription extinctive au-delà de vingt ans à compter du jour de la naissance du droit ». Quoi qu’il en soit, les délais de prescription en matière civile et commerciale étaient et restent différents. En effet, selon l’article L. 110-4 du Code de commerce, « les obligations nées à l’occasion de leur commerce entre commerçants ou entre commerçants et non- commerçants se prescrivent par dix ans si elles ne sont pas soumises à des prescriptions spéciales plus courtes ». Ce délai s’applique

quand elles sont indemnisées par leurs sociétés d’assurance pour une perte financière dûe à la sentence. On peut penser qu’elles craignent une mauvaise publicité dans un secteur où la concurrence est rude. La sentence arbitrale est res judicata[4], cependant si elle n’est pas exécutée volontairement la partie qui a obtenu gain de cause est obligée de s’adresser au juge étatique pour obtenir l’exequatur[5] de la sentence. Il est important que la sentence soit susceptible d’exécution forcée, à