Cass Crim 11 Mars 1993

................... 10 1.2.1 L’autorité de tutelle et de régulation du marché financier ........................................ 11 1.2.2 Les structures de gestion du marché ........................................................................ 11 1.2.3 Les intervenants commerciaux ................................................................................ 11 1.2.4 Les pouvoirs de sanction des acteurs du marché ...................................................... 13 2. 2.1 DEUXIEME PARTIE

applicable » 10 L’information du consommateur - L’information sur les prix - Pour les produits - Pour les prestations de services - L’obligation de remise de note («facture ») 10 10 10 10 11 La protection du consommateur contre les pratiques commerciales trompeuses - Interdire et sanctionner 11 11 Présentation d’un litige porté devant les tribunaux concernant un cas de publicité trompeuse 12 Conclusion 12 3 Source : Challenge.fr La protection du consommateur - Delphine Brisson

aperçu que ces théories étaient insuffisantes et qu’il fallait les compléter. Lombroso crée l’école positiviste italienne. Il va rajouter au déterminisme génétique une sorte de déterminisme extérieur. Ferri considère que « l’homme ne commet pas les crimes par un libre choix de sa volonté mais par la tyrannie fatale de son organisme anormal et du milieu extérieur ». Ce sont les deux plus grands représentants de l’école positiviste italienne. Il y en a un 3e qui est l’auteur du mot « criminologie » :

nouveau code pénal (1992, entré en vigueur le 1er mars 1994) une infraction pénale (délit) jugé par les tribunaux correctionnels qui cherchent à sanctionner par des peines d’emprisonnement et des amendes les débiteurs qui, de mauvaise foi, cherchent à nuire à leurs créanciers. NB : expliquer la différence entre « débiteur » (emprunteur, locataire) et « créancier » (prêteur, bailleur). Code pénal Première partie (Législative) Livre III - Des crimes et délits contre les biens Titre Ier - Des appropriations

question, majeure, de la compatibilité de la procédure de la question préjudicielle de constitutionnalité avec l'article 6 § 1 de la CEDH et le droit à un procès équitable. Selon une jurisprudence bien établie, fixée par l'arrêt de principe du 23 juin 1993, Ruiz Mateos c/ Espagne (7) , les procédures de contrôle de constitutionnalité ne sont que partiellement assujetties à l'emprise de l'article 6 § 1 de la Convention. La ligne de partage est claire. L'article 6 est totalement inapplicable aux procédures

financiers. Ses craintes se sont depuis lors révélées fondées. De même, comment expliquer le fulgurant succès boursier connu par la société américaine Enron, dont il a été établi qu’elle réalisait des pertes colossales( Voir L’Express, semaine du 7 au 13 mars 2002, p. 105et s., enquête « L’effet Enron : Comment les entreprises manipulent leurs comptes »)? Mais face à ces apparentes incohérences, une question doit être soulevée : les investisseurs ont-ils les moyens d’agir de manière rationnelle? Encore

leur abornement. Ainsi, bien que la Constitution de la République Arabe d’Egypte ait déclaré dans son article 40 l’égalité des citoyens devant la loi sans distinction de race, d’origine, de langue, de religion ou de croyance, elle avait dans l’article 11, affirmé que l’Etat assure à la femme (et ceci à cause d’une absence de déclaration d’égalité entre les sexes), les moyens de concilier ses devoirs envers sa famille avec son travail dans la société, ainsi que son égalité avec l’homme dans le domaine

et alii, Les clauses applicables en cas d'inexécution des obligations contractuelles, La Charte, 2001; Wéry, P., L'exécution forcée en nature des obligations contractuelles non pécuniaires, Collection scientifique de la Faculté de Droit de Liège, 1993; Wéry, P. et alii, Droit de la responsabilité, Formation permanente CUP, 1996; Wéry, P. et alii, La fin du contrat, Formation permanente CUP, 2001; htttp://www.barreaudeliege.be LES ACTUALITES DU BARREAU de LIEGE 8 • Wéry, P. et

Professor Norbert FOULQUIER Summary Editorial ................................................................................................................... p. 7 Presentation of the seventh issue on The decision, by Norbert FOULQUIER............ p. 11 ARTICLES Research on the plural authored unilateral legal acts, by Éléonore GIGON et Lucie SPONCHIADO .......................................................... p. 17 The “ time effect ” of the administrative decision in Cameroun positive law, by Robert

blanchiment SECTION II- Les autres obstacles à la conduite de lutte contre le blanchiment CONCLUSION Abréviations Al. : Alinéa Art. : Article BCEAO : Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest Bull. Crim : Bulletin Criminel CENTIF : Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières D : Dalloz FMI : Fonds Monétaire International GAFI : Groupe d’Action Financière GIABA : Groupe d’Action Intergouvernemental contre le Blanchiment en Afrique