Cass Soc 11 Juillet 1989

pénale [8]et de la minorité politique (Loi n° 2000-514 du 1er Août 2000). En l’état actuel du droit positif ivoirien, l’on peut déduire de la notion de mineur celle d’enfant. Selon la convention des Nations Unies relative aux droits des enfants de 1989, l’enfant est tout individu de l’un ou l’autre sexe âgé de moins de 18 ans. Au plan international la notion d’enfant se confond à celle de mineur en ce sens que l’une ou l’autre de ces deux notions correspond à un individu de moins de 18 ans. Aussi

contractante, PUAM, 1995G. Kostic, L’intuitus personae dans les contrats, Th. Paris V, 1997, D. Krajeski, L’intuitus personae dans les contrats, Th. Toulouse, 1998, D. Mainguy, Cession de contrôle et sort des contrats de la société cédée, Rev. Soc. 1996, p. 17, « Contribution à l’étude de l’intuitus personae », RTDciv. 2003, p. 3 C. Théorie des contrats 1. Sur la doctrine de l’autonomie de la volonté D. Houtcieff, La question demeure classique comme en témoignent des ouvrages récents :

MERLE, La distinction entre le droit de se constituer partie civile et le droit d’obtenir réparation du dommage causé par l’infraction, Mélanges Vitu, 1989, Cujas, p. 397 ; La constitution de partie civile en matière d’infractions au permis de construire, Mélanges Larguier, 1993, PUF, p. 219. – A. NORMANDEAU, Droits et libertés des victimes, Dév. et soc. 1981.283. – N. PIGNOUX, La place de la victime dans le procès pénal, RI crim. et pol. techn. 2002.165. – X. PIN, Les victimes d’infractions sexuelles

Fascicule 1 Théorie générale des obligations et du contrat LECTURES I. Notion  d’obligation  – Sources des obligations > Document 1: N. MOLFESSIS, « L’obligation naturelle devant la Cour de cassation: > remarques sur Cass. 1re civ. 10 oct. 1995 » (D. 1997, 85) Document 2: Cass. Com., 23 janvier 2007 (RDC 2007, 697, obs. Y.-M. Laithier). Définition du contrat - Classification des contrats II. > Document 3 : Art. 1101 du Code civil (définition du contrat) > Document 4 : J. GHESTIN, « La notion

fournissseurs de l'ensembles de sociétés non financières représente 501 milliards d'euros vs emprunts et dettes assimilés 1641 milliards d'euros. Diversification des instruments financiers : soc et entreprises peuvent de plus en plus recourir au crédit par émission d'instruments financier. Distinction entre actions (soc emet des titres d'associés, risque sociétaire) et obligations (titre de dettes et prêts permet à société d'emprunter auprès des personnes qui vont acheter des obligations). Financement

juridique en ce qu’il a de commun avec les statuts existants et en ce qu’il entraîne de nécessaires adaptations. I - La notion de télétravail A - Définition La définition est donnée par l’article 1 de l’Accord national interprofessionnel du 19 juillet 2005 sur le télétravail. Le télétravail est une forme d’organisation et/ou de réalisation du travail, utilisant les technologies de l’information dans le cadre d’un contrat de travail et dans laquelle un travail, qui aurait également pu être réalisé

tudier le statut juridique en ce quil a de commun avec les statuts existants et en ce quil entrane de ncessaires adaptations. I - La notion de tltravail A - Dfinition La dfinition est donne par larticle 1 de lAccord national interprofessionnel du 19 juillet 2005 sur le tltravail. Le tltravail est une forme dorganisation et/ou de ralisation du travail, utilisant les technologies de linformation dans le cadre dun contrat de travail et dans laquelle un travail, qui aurait galement pu tre ralis dans les

développement de l'assurance est la pierre angulaire des systèmes d'indemnisation des sociétés modernes, laquelle a donné lieu à des assurances obligatoires dans les domaines de risques les plus importants, parmi lesquels : r LaLoi Badinter du 5 juillet 1985 (http://www.legifrance.gouv.fr/textes/html/ fic198507050677.htm) qui organise l'indemnisation automatique des victimes d'accidents de la route directement par les assureurs. La loi Spinetta, de 1978 (http://www.architectes-idf.org/Spinetta.htm)

directive –position du problème. 9 Sous-section 1 : Le manque d’uniformité des législations des Etats Membres en matière de fusion. 9 Sous-section 2 : Obstacles procéduraux. 11 Section 2 Les évolution jurisprudentielles et législatives. 11 Sous-section 1 : l’Arrêt « Sévic » 11 Sous section 2 : Evolutions légales. 11 Section 3 : la Directive 2005/ 56 CE. 12 Sous-section 2 : L’existence de règles matérielles. 12 Sous-section 3 : Le renvoi au droit national. 12 Section 4 : Problèmes non

PROFESSIONNELLES OU CONVENTIONNELLES…………8 IV - LES ORGANES DE CONTROLE……………………………………………………….9 A- L'INSPECTION DU TRAVAIL ET DES LOIS SOCIALES……………………9 B- LE TRIBUNAL DU TRAVAIL……………………………………………………………….10 PREMIERE PARTIE : LE CONTRAT DE TRAVAIL………………………………….11 CHAPITRE 1 : LA NOTION DE CONTRAT DE TRAVAIL…………………………...12 SECTION 1 : LES ELEMENTS CONSTITUTIFS…………………………………………..12 Paragraphe 1 : La prestation de travail………………………………………………..12 Paragraphe 2 : La rémunération………………………………………………………12 Paragraphe 3 :