Ce 18 Décembre 1936 Prade

aux agents de l’Etat selon les règles variables dans chaque branche des services publics ; 2° sur l’interdiction pour les tribunaux ordinaires de connaître des demandes tendant à constituer l’Etat débiteur, ainsi qu’il résulte des lois des 22 décembre 1789, 18 juillet, 8 août 1790, du décret du 26 septembre 1793 et de l’arrêté du Directoire du 2 germinal an 5 ; Vu le jugement du tribunal civil de Bordeaux, en date du 24 juillet 1872, qui surseoit à statuer sur la demande ; Vu les lois des 16-24 août

partir des années 1970 pour se multiplier depuis les années 1990. Ces directives règlementent la passation d’1 certain nombre de contrat public et prévoit des recours en cas de non respect de ces règles. On peut mentionner : * la directive 2004-18 relative à la coordination des procédures de passation des marchés publics de travaux, fournitures et services * La directive 2004-17 relative à la coordination de la procédure de passation des marchés dans le secteur de l’eau, de l’énergie, des

l’administration qui précède l’élaboration de l’AAU et qui a pour objet de le préparer comme les mesures indicatives (acte qui fournit une information à l’administré et qui permet à celui-ci de formuler une demande qui va provoquer une décision – CE 9 décembre 1988 Ville d’Amiens contre CCI d’Amiens qui dit qu’une mesure indicative n’a pas un caractère normatif), les mesures préparatoires (acte qui créé des conditions pour l’élaboration d’un AAU notamment la procédure consultative, pour le CE les avis

aux administres de connaitre à l’avance les autorités compétentes pour décider, les procédures que ces autorités devront respecter et aussi les différents possibilités d’action qui s’offrent à eux. Le conseil constitutionnel dans une décision du 16 décembre 1999 a découvert un objectif de valeur constitutionnel qui est celui de l’accessibilité et de l’intelligibilité de la loi afin de mieux respecter le principe de légalité. Il est possible d’envisager 2 étapes successives de soumission de l’administration

simple vœu qui émane d’une autorité administrative (vœu émanent du conseil général du département du Jerse) n’est pas une décision administrative susceptible de recours car il n’y a pas de décision dans cette manifestation de volonté. Arrêt du 16 décembre 2005 Société Friadent : le Conseil d'Etat a considéré comme susceptible de recours pour excès de pouvoir une simple réponse ministérielle à une question posée par un parlementaire. Cette réponse ministérielle interprétait la loi fiscale Conseil d'Etat

l'élection des conseils municipaux, la loi du 22 juin 1833 organise, de même, l'élection des conseils généraux. Dans un second temps le législateur se préoccupe des compétences des collectivités locales avec la loi du 18 juillet 1837 relative aux attributions des autorités communales et la loi du 18 mai 1838 relative aux attributions des conseils de département et d'arrondissement. La seconde République veut accroître la décentralisation, mais les espoirs sont rapidement déçus, et la disparition rapide

Constitutionnel déclare qu’ « aucune norme de valeur constitutionnelle ne garantie le principe de la liberté contractuelle ». A l’époque, aucune des conséquences de la liberté contractuelle ne bénéficie de cette protection constitutionnelle. CConst, 18 janvier 1985, loi Chevènement : admet que le législateur, puisse faire exception au principe selon lequel, le contrat est la loi des parties, et en conséquence ne peut être modifié sans le consentement des parties. La loi, autorisait l’une des parties

mépris de la norme juridique. Le raisonnement est bizarre lorsqu’on dit qu’elle peut être déféré au juge, cela veut dire que c’est un cas de recevabilité. Les directives De manière étonnante, la question des directives est réglé par un arrêt du 11 décembre 1970 Crédit foncier de France de la même manière que dans l’affaire Notre Dame de Kiesker en matière circulaire. La directive c’est une ligne de conduite à tenir. Une directive ne peut pas avoir de caractère réglementaire, elle ne peut avoir un caractère

évoluer le critère de distinction entre les circulaires réglementaires et les circulaires non réglementaires. Dans une décision importante de 2002, il a posé comme distinction celle des circulaires non impératives et des circulaires impératives. CE 18 déc. 2002, Mme Duvignères. Cette jurisprudence apporte une simplification : jusque-là, la circulaire qui n’était pas interprétative, mais qui n’avait pas de portée obligatoire, ne pouvait faire l’objet d’un recours. Les circulaires non impératives

Qui contient une règle générale et impérative nouvelle. Cepdt avec l’expérience de + de 20 ans, le juge admin a jugé indispensable de faire évoluer le critère de distinction entre circulaire réglementaire et circulaire non-réglementaire. CE arrêt 18 déc. 2002 Mme Duvignière, le CE a substitué à l’ancien critère un autre critère de distinction : circulaire non-impérative et c impérative. Cette jurisprudence apporte une simplification, car jusque-là la circulaire qui n’était pas interprétative mais