Centre culturel international de Cerisy-la-Salle

MEURSAULT » par VÉRONIQUE LECLERC Résumé de l’article présenté à PIERRE HÉBERT Dans le cadre du cours LIT 720 Albert Camus – Littérature et philosophie Sherbrooke Le 22 septembre 2004 Dans le cadre du colloque du Centre Culturel International de Cerisy-la-Salle tenu en juin 1982, plusieurs camusiens se sont réunis afin de mettre en lumière leurs interprétations de différents éléments de l’œuvre d’Albert Camus. L’ensemble des conférences se retrouve dans les Cahiers Albert Camus 5 (Albert

Littératures d’expression française – [84/4 CAMU 5 CA 4] Essai de création collective. Révolte dans les Asturies, pièce en 4 actes. Alger : Pour les amis du Théâtre du travail, [s.d.] Salle G – Littératures étrangères – [microfiche S95-/9699] L’Etat de siège : spectacle en 3 parties. Paris : Gallimard, 1948. 211 p. Salle G – Littératures étrangères – [microfiche S95/9003] La Mort heureuse / introd. et notes de Jean Sarocchi. Paris : Gallimard, 1995. 237 p. (Cahiers Albert Camus ; 1) Salles H et V –

ou recueil d’études sur Georges Méliès Méliès et la naissance du spectacle cinématographique, Centre Culturel International de Cerisy-la-Salle ; dir. Madeleine Malthête-Méliès, Klincksieck, 1984 Georges Méliès, l'illusionniste fin de siècle ?actes du colloque de Cerisy-la-Salle, 13-22 août 1996, sous la direction de Jacques Malthête et Michel Marie, Presses de la Sorbonne Nouvelle : Colloque de Cerisy,1997 Méliès, magie et cinéma, sous la dir. de Jacques Malthête et Laurent Mannoni, Paris Musées

il est membre du conseil de CCIC (Centre Culturel International de Cerisy-la-Salle) où il prit par à plusieurs conférences. Toutes digirées sur le thème d’étude suivant auxquel il s’est consacré pendant 15 années : L’actualité des recherches, des initiatives et des débats sur le développement durable. Plusieurs publications sont parues sur ce sujet en collaboration avec les magazines « Alternatives économiques », « Alternatives Internationales » et la « Revue de l’urbanisme »

l’identité profondément universaliste et égalitariste. Mais en se référant à Herder, Taylor isole un deuxième « tournant », qualifié par lui de « révolution expressiviste ». L’idéal romantique d’authenticité nous enjoint de cultiver nos différences culturelles comme autant de façons particulières de réaliser notre humanité. Conjugués l’un à l’autre, ces deux changements aboutissent à faire de la reconnaissance le pivot de la quête identitaire, ainsi que la direction vers laquelle tend toute activité humaine

au soir de sa vie (Lettres d’hivernage, Elégies majeures), ou encore la dénonciation de l’Occident (Hosties noires). Porte-parole d’une culture qui depuis des siècles n’a que le droit de se taire, il a combattu toute sa vie pour le métissage culturel, non pas dans l’oubli des identités de chaque peuple, mais au contraire dans leur confrontation féconde et leur enrichissement mutuel. Passeur entre deux cultures, il espérait un monde de paix porté par le dialogue. Mal aimé des intellectuels africains

central de Bucarest. Il est détaché au Ministère de l'Education nationale où il dirige le service des relations avec l'étranger. De 1937 à 1938, il assure la rubrique critique de la revue Facla. Ecrit aussi dans Universul Literar, le quotidien culturel Rampa (La Scène), Parerile Libere (Opinions libres). 1939 Il rencontre Henri Thomas et le groupe de la revue Esprit. Voyage à Marseille (rapports avec les Cahiers du Sud et Léon-Gabriel Gros). Envoie de Paris des correspondances à la prestigieuse

vogue au XIXème siècle, comme la lanterne magique (fantasmagorie de Philidor et Robertson3) ou la photographie spirite (Mumler et Buguet4), et dont le public, souvent d’origine populaire, était friand. 1 2 MELIES Georges, Annuaire général et international de la Photographie, 1907 MORIN Edgar, Le Cinéma ou L’Homme imaginaire, les Editions de Minuit, Paris, 1956 3 Robertson, de son véritable patronyme Etienne-Gaspard Robert, va largement s’inspirer des représentations de Philidor (qui faisaient «

d’un homme qui marche dans la ville sans d’autre horizon que le spectacle, sans d’autre pouvoir que celui-là même de ses yeux. ». Très vite les médias s’emparent de ce nouveau mouvement, l’intérêt de créer un gros événement, de nommer un objet culturel et de vendre à gros tirages ainsi que d’être dans une position reconnue pour les écrivains participent à l’essor et à l’identification du NR. Une table ronde est organisée par Le Figaro Littéraire autour de la question « Une révolution dans le roman

central de Bucarest. Il est détaché au Ministère de l'Education nationale où il dirige le service des relations avec l'étranger. De 1937 à 1938, il assure la rubrique critique de la revue Facla. Ecrit aussi dans Universul Literar, le quotidien culturel Rampa (La Scène), Parerile Libere (Opinions libres). A propos de son père: "la dernière fois que je l'ai vu, j'avais terminé mes études... j'étais marié... Il respectait l'Etat, je détestais l'Etat. Il m'avait traité d'enjuivé - il vaut mieux