Champ Lexical De Justice

l’aigle vole haut : Esope est plus proche de la renarde que de l’aigle. La chèvre représente le clergé. ~ Les plus puissants lèsent les inférieurs. Les personnages sont symboliques de la société : Le bouc émissaire (la chèvre) sert à éviter la justice divine, par l’expiation des fautes (voir l’histoire du bouc émissaire). Voler les viscères de ce bouc correspond à un crime, car l’animal est entièrement donné à Dieu. De plus, on lisait dans les viscères du sacrifié l’avenir. Voler les viscères

« ta perte à tant d’autres victimes », v. 1688). Outre la répétition du mot « sang », l’hypotypose des vers 1683-1690 développe la thématique de la violence à l’aide de plusieurs champs lexicaux aux connotations inquiétantes : le champ lexical de la cruauté (« barbaries », v. 1684 ; « cruels », v. 1692), le champ lexical de la mort (« mort », v. 1679 ; « mourant », v. 1680 ; « crimes », v. 1687 ; ») et celui de la fatalité (« qu’enfin le ciel », v. 1687 ; « Tu te verras forcé », v. 1690). Cette fatalité

vertueux et sage. Celui-ci aime être à l’écart des autres : « il s’était retiré ». C’est un être sensible donc se déploie le champ lexical de la tristesse : «  cœur serré » ; «  je mourrai de douleur » ; «  un torrent de larmes » ; «  Malheureux jour » ; «  malheur ». Le vieil homme est prit pour un outil : «  le choix qu’on avait fait de lui ». Se développe aussi le champ lexical de l’obligation : «  il faudra que je le fasse ». Trois points d’exclamation sont utilisés dans son discours pour insister

seconde partie comment les politiques restent traditionnelles. Tout d’abord il y a une remise en cause de l’absolutisme, critique de Louis XIV, rejet de la monarchie absolue. Dans de Denis Diderot il lutte contre la monarchie absolue en effet le champs lexical de la violence est présent: les termes « la force » , «le joug » , « le tyran » révèle une forme de gouvernement rejeté par Diderot. Pour lui « la loi du plus fort » s’apparente d’avantage à une loi animale ou une succession de tyran écrase le

La remise en cause des règles * Champ lexical de la contrainte – « mais » l.2 opposant règles/libre-arbitre - Parallélisme l.12 – négations abondantes La parodie de l’univers monacal * Contre-abbaye = passage temporaire (libre de partir, se marier) – Activités de loisirs vie de travail des moines – Collège d’hommes et de femmes collège d’hommes monacal La défense d’un bonheur purement humain L’obsession de la liberté * Champ lexical contrainte associé à négation et modalisation

moment stupéfait » jusqu’à « le secret de ma situation »), puis répondez aux questions suivantes : COMPRÉHENSION 1. Relevez les expressions du texte qui désignent la misère de Chabert. 2. Relevez tous les termes du texte qui appartiennent au champ lexical de la mort. Expliquez en quoi Chabert est un revenant. Commentez le dialogue qui conclut ce passage de l’œuvre. 3. Pourquoi le narrateur compare-t-il le personnage à un portrait de Rembrandt, à la dernière ligne de la page 23 ? À quelles autres

pour l’esclavage et celle contre. Il s’agit d’un réquisitoire qui est bâti sur une réfutation des lois occidentales qui donnent légitimé à l’esclavage. Diderot en montre l’hypocrisie et la cruauté. Champ lexical du droit « droit, autorisé, liberté naturelle, droit du plus fort, m’opprimer… » champ lexical de la barbarie : « victime, oppresseur, opprimer, déchirées, mort, assassins, échafaud… » * L’introduction L’introduction prend aussitôt le ton de l’invective (l’agression) pour mettre en garde

(Ligne 9, Scène 7, Acte IV). La scène continue avec Harpagon qui considère son argent un cher ami et la source de sa joie, et que sans son argent il est impossible de vivre. De nouveau la folie s'empare d'Harpagon et il décide qu'il veux quérir la justice et faire avouer le coupable. Il soupçonne tout le monde, et chacun lui semble être son voleur. C'est à ce moment qu'Harpagon s'adresse à la foule en demandant si le voleur est caché parmi les spectateurs. À la fin il déclare qu'il veut faire pendre

question une justice humaine appliquée au nom de Dieu. Les textes sont dénonciateurs, argumentatifs, usant d’une langue soutenu, d’un discours explicite, et du champ lexical de la violence. Il est question dans les extraits présents d’une dénonciation du despotisme, de l’arbitraire, et de l’usurpation du pouvoir divin par la monarchie et l’église. Les trois auteurs s’inscrivent dans un esprit contestataire et révolutionnaire, républicains avant l’heur ils appellent à l’équité et à la justice.

L’exemple final de Mustapha qui est situé dans le temps et dans l’espace avec des personnages ayant existés, c’est un exemple historique pour prouver ce qui a été développé auparavant. En quoi l’exercice du pouvoir est-il indissociable de la notion de justice naturelle ? Paragraphe 1,2 : U. pose de façon claire et directe la problématique : « quel est le gouvernement le plus conforme à la raison » et expose ensuite son point de vu. U. semble ici ouvert d’esprit car cette question amène à la recherche