Champ Lexical De Justice

textes, qui contribuent en elles-mêmes à donner de la force aux engagements des auteurs. Nous nous intéresserons ensuite aux images présentes dans ces extraits qui illustrent les engagements. Enfin, nous étudierons les figures de style et les champs lexicaux choisis pour renforcer leurs propos. La nature de ces textes contribue déjà à donner de la force aux engagements des auteurs. En effet, certaines natures de texte, ont des portées plus argumentatives que d'autres par exemple. Dans Les

qui remet en question l’ordre du maître. Comment la scène d’exposition met-elle en lumière l’opposition entre le maître et le valet ? I -Le couple maître/valet 1) L’île • Danger Indiqué dès la didascalie initiale Champ lexical du danger Les seuls échappés du naufrage Une issue fatale se profile par la gradation Danger mortel pour Iphicrate •Hiérarchie sociale Conjonction de coordination « ou » qui place

possessifs : « me » (l.13), « ma » (l.10) et « mon »(l.8,9,10,13,16) reflète d’un travail sur soi-même, d’une analyse. Il utilise aussi des hyperboles comme « tout est fini pour moi » (l.10) ou « je n’ai plus que faire au monde » (l.10-11) ainsi que le champ lexical de la mort composé de « meurt », « mort », « enterré », « ressusciter », « tout est fini » qui symbolisent tous deux la douleur et la tristesse liées à la « ruine » d’Harpagon. La personnification de l’argent ; que l’on repère par l’expression

Fable, la Fontaine : Lecture Analytique 2 : Les animaux malades de la peste Problématique : Qu'es que la fable montre de l'exercice de la justice dans la société ? I. Une fable dans l'exerce de la justice A. De la justice divine à la justice humaine : la figure du bouc émissaire • thème injustice associé au champs lexical du mal, de la maladie et de la mort : v.1,2,3 et 6 'terreur, fureur, crime, guerre'. • v. 1 'mal' est significatif, 2 sens : - la description est faite au v. 4 'la

d’écriture adaptée pour la servir. Cette adaptation implique l’absence de toute idée préconçue quant à la valeur de l’écrit, pour se concentrer prioritairement sur ses enjeux. Ainsi, le professionnel doit-il savoir s’éloigner de son style, du champ lexical qu’il utilise pour son propre usage. Il propose une rédaction conciliant l’efficacité et la représentation, dans un contexte, de l’individu (ou groupe d’individus) qui le consulte. Il fait preuve de pédagogie pour expliquer ses choix et d’ouverture

L’huitre et les plaideurs » fut écrite par Jean de la Fontaine en 1678. Enfin, le troisième est un conte philosophique, extrait du chapitre 6 du roman Zadig écrit par Voltaire en 1747. Les dénominateurs communs à ces 3 textes sont la question de la justice face à une nature humaine faible, corrompue, vicieuse. Nous verrons quel type d’argumentation, les auteurs utilisent pour procéder à ces dénonciations ? Dans « le prud’homme qui sauva son compère », on remarque que la critique la nature humaine

apprivoisée » (l1), le lecteur est immergé dans l’univers merveilleux de l’orient symbolisant la richesse et la luxure des palais des Sultans. Henry de Monfreid commence par la description d’une gazelle de façon très élégante en utilisant le champ lexical de la douceur « merveilleuse » (l1) « harmonieux » (l9) « grâce délicate » (l17) et « mélancolique » (l28), il capte l’attention en attendrissant le lecteur. Tout au long de ça description, il évoque un être proche de l’humain ce qui permet

sagesse passe par le repos, par le negotium. » I- Montaigne propose une sagesse fondée sur la nature a) la nature extérieure est importante dans son propos §1 évocation de la promenade au verger; rythme poétique de la phrase; gradations ; champ lexical du plaisir ; b) le paradoxe (qui renverse le point de vue habituel) - l'admiration de Montaigne se porte non sur les actions extraordinaires faites par Alexandre et César mais sur leurs capacités à "jouir des plaisirs naturels" - utilisation

pied par vers. | Champs lexicaux : Dans les deux textes on retrouve le champ lexical de l’eau : poème 1 -« gouttes d’eau » l.1-« flot, ondin, nage, courant » l.4-« lac » l.5-« l’eau » l.7-« écume, iles, nénuphars » l.8-« pêche à la ligne » l.9-« le roi des lacs » l.11-« larmes, giboulées, ruisselèrent » l.13poème 2-« sirène, nage » l.1-« l’océan » l.3-« iles » l.4-« crocodiles » l.6-« bateaux » l.21-« marins » l.26-« savons » l.27-« laver » l.28et le champ lexical de la nuit :poème

façon suspecte les paroles de Phèdre et lui donne un aspect ambigu. (Idée 3) Enfin, l'ambiguïté de la situation est confortée par l'attitude de Phèdre. (Citation/Justification par la forme) L'auteur traduit cela en utilisant le vocabulaire du champ lexical de la tristesse, de la souffrance: « douleurs, larmes, alarmes, mort, ennemis, crains » ce qui donne une tonalité maussade au texte et fait ressentir au lecteur un sentiment de peine. De plus, les synecdoques employées telle que : «Je crains d'avoir