Champ Lexical De La Memoire

: Récit très court (résumé) s’adressant à l’auditeur et au lecteur (à la manière d’une autobiographie). Un récit sobre : Le récit de la mort de Manon est très court, indicible, inexplicable. Champ lexical du corps souffrant pour une agonie. Euphémismes. Registre pathétique :  - Champ lexical de la mort  - Tendresse des gestes réciproques.  - L’acceptation de Manon.  - Hyperboles pour traduire l’excès de souffrance  - Allitérations en « s ».  - Adresses à Renoncourt (pris à témoin)

subjective ne fait que souligner la charge emotionnelle cachee par l’auteur. I. La mise a l’epreuve de sa theorie sur l’Homme dans la societe a. Le regard d’un scientifique qui émet une these - l'emploi d'un champ lexical d’analyse scientifique: “catégories” “distinctes” “artificiels” “intermédiaires” ‘complexes” … ( clair et facilement compréhensible ( reprend l’idee que les camps sont une experience « scientifique » en elle meme pour

message est différent dans chacun d’entre eux. La lettre de Manouchian utilise un champ lexical de vie et d’amour, de paix et de respect pour parler une dernière fois à sa femme. Il semble loin du « chef de bande » évoqué par les nazis. (Ref au ch. Lexical). Le poème de L. Aragon cherche à rappeler aux français de l’après guerre que des étrangers furent aussi impliqués dans la libération du pays. (Devoir de mémoire) Les deux textes de forme différente se rejoignent sur l’aspect poétique. L’affiche

CHATEAUBRIAND INTRODUCTION : Lorsqu’un auteur écrit un ouvrage autobiographique, il s’attarde fréquemment sur son enfance et évoque les souvenirs liés à cette période de sa vie avec nostalgie, le plus souvent. Ainsi, Chateaubriand, dans un extrait de ses Mémoires d’outre-tombe, publiés en 1848, retrace son enfance bretonne et plus précisément les jeux inspirés par un camarade espiègle, Gesril, sur la grève de Saint Malo. L’évocation plaisante d’un de ces jeux qui aurait pu mal tourner est révélatrice du regard

est inaccessible, une sorte d’au-delà idéal, où tout atteindrait sa perfection, sa parfaite essence. Le terme d’Idéal désigne donc ce monde invisible, inaccessible certes, mais que le poète est parfois capable d’entrevoir, dans les méandres de sa mémoire, dans son imagination, dans un ailleurs exotique, dans une femme, dans un parfum ou une chevelure. Baudelaire choisit ce titre pour son œuvre car il parle du Spleen qui le fait sombrer dans cet état de désespoir qu'il essaiera d'exprimer à travers

presque caricaturaux, et rappellent à notre mémoire certains contes célèbres ; ainsi, les parents peu scrupuleux évoquent ceux du Petit poucet. Nous sommes ainsi dans une logique rassurante puisque l’histoire fonctionne selon des codes que nous maîtrisons bien. Ensuite, l’univers imaginé par Daudet est celui d’un conte merveilleux. En effet, on y accepte d’entrée ce personnage inimaginable dans un monde réel : un homme à la cervelle d’or. Le champ lexical de la richesse fait naître le rêve et l’envie

Déborah. Pour le Jeudi 31 janvier 2013. 1ere S4. Monsieur Stefani. Devoir de Français N° 7. (Texte 5) Le texte « Entre deux clins d’œil » que nous nous proposons d'étudier a été écrit par Marcel Béalu en 1944 dans son recueil Mémoires de l'ombre. Nous cherchons à savoir comment l'auteur se sert du fantastique pour matérialiser ses idées. Pour cela nous devrons étudier la mise en place du fantastique puis nous regarderons comment ce même fantastique permet au poète de faire passer

recommence à être décrit : « il me sembla entendre un bruit sourd de ce coté », la peur s’amplifie quand Pauline décrit ce bruit. Le champ lexical du bruit est très présent dans cet extrait : « bruit, détonation, grincer, bruit sourd, entendre, craquer, entendre, pétillement. ». Mais il n’y a pas que ce registre qui montre la peur et le suspense, le champ lexical de la lumière aussi met en évidence ces deux derniers : « Lumière, ombre, claire de la lune, lueur, éclairer, ». La lumière introduit

du patriotisme sont l’héroïsme et la fatalité, et on retrouve des marques dans ce chant. Les mots et expressions du champ lexical de l’héroïsme sont les suivants : « Pour mon drapeau, je viens ici mourir » (v. 8, 16 et 24),« ces jours bénis » (v. 2), « qu’au grand jour des batailles » (v. 17), « Noble Montcalm » (v. 18), « aux champs où de ta gloire » (v. 21) ; ceux du champ lexical de la fatalité sont :« Non plus, hélas ! » (v. 2), « venant chercher ma tombe » (v. 7), « d’une vaine espé- rance »

personnages opposés La Princesse de Clèves et le duc de Nemours s’oppose tout d’abord par leur façon de s’exprimer, de se persuader. La Princesse utilise davantage un langage reposant sur le champ lexical des valeurs. Ainsi, dans l’extrait étudié, nous pouvons relever différentes vertus comme la raison et le respect de la mémoire (l. 7), l’intérêt et le repos (l.8), le devoir (l.9), le scrupule et l’inclination (l. 10) et le sacrifice (l. 24). Tandis que le duc joue davantage sur les sentiments, en utilisant