Champ Lexical De La Prison

passées jadis à Verrières ou à̀ Vergy. » chap. 39 p. 527 l. 64-69 Julien comprenne que le secret du bonheur est dans un amour sincère et sans affectation, celui qu’il a partagé́ avec Mme de Rênal dans l’insouciance de Vergy. C’est l’expérience de la prison, quand tout est perdu pour lui et que sa mort est imminente, qu’il comprendra ses erreurs de jeunesse, et que ses ambitions de réussite et de revanche sociale l’ont fait passer à̀ côté́ du bonheur : · - « Julien [...] était fatigué d’héroïsme » chap

La dénonciation par la poésie a) Un poème engagé b) L'écriture poétique au service de la dénonciation I. La dénonciation du travail. a) La dureté du travail et son inhumanité Ce poème dénonce le travail des enfants. → Champs lexicaux du travail et des enfants. → v. 4 = présente le thème + réponse 'ils travaillent', 'servitude infâme'... = présenté comme quelque chose d'horrible = péjoratif → v. 30 = comparaison péjorative → v.31 : parallélisme de construction + anaphore

bon pour tués le plus d'ennemies possible Strophe 3 : « C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères. La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère. Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves. Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève... » Dans cette strophe les mots clés sont : « briser », « barreaux » et « prison » symbole de la libération du pays « haine » et « misère » qui sont les moteurs de la résistance

une peinture réaliste pour montrer les conditions de travail des enfants. I. L’évocation du travail des enfants par l’intermédiaire d’une peinture réaliste des conditions de ces jeunes travailleurs. Dans ce poème, Victor Hugo utilise deux champs lexicaux opposés : l’enfance et le travail, qui sont omniprésent tout au long. C’est avec réalisme que Victor Hugo nous décrit le travail des enfants. Il insiste beaucoup sur leurs mauvaise santé « que la fièvre maigrit » v2, «aussi quelle pâleur » v12

tragique. * Je serai mort….- ils vont me tuer - Me tuer de sang froid - Il ne faut pas tuer- Je vais mourir - C'est moi qui vais mourir – qui se meurt. 2 – Qu'est – ce que vous remarquez ? ­ Le narrateur répète beaucoup les mots renvoyant au champ lexical de la mort. 3 - Que reflète cette répétition ? - La hantise de la mort - la mort devient une obsession. 4 - Les types de phrases? ­ Il y a une fréquence des exclamations. 5 - Quelle est la relation entre les phrases exclamatives et l'état d'âme

FERT Commentaire Composé de Français Thomas L’étranger, Albert Camus 1AC2 4e extrait : «  En prison  » Albert Camus est un écrivain français du XXe siècle. Il nait en 1913. Par la suite il fait des études brillante de philosophie. Il est remarqué par un professeur dans un Club de théâtre. Grace à lui, après ses études, Camus travail comme

2)- l'engagement du locuteur (en faveur ou en défaveur d'un thèse, blâme ou éloge), l'énonciation (pôles énonciatifs, marques de la subjectivité, vocabulaire valorisant ou non, tonalité ) 3)- les procédés rhétoriques, comment convaincre? Les champs lexicaux, les figures de style, …. « J’accuse », de E. Zola Procéder méthodiquement: Lecture très attentive du paratexte et rappel des faits. Voc ? impression ? Que nous apprend le paratexte? il annonce le thème: Zola dénonce l'injustice dont

est un moyen d’accéder à la beauté mais le désespoir de ne pouvoir atteindre cet idéal conduit au spleen. Spleen : Anglais de « rate » (partie de l’anatomie). Mélancolie : humeur noire Le champ lexical de l’enfermement traverse tout le poème : « cachot », « murs », « plafonds pourris », « prison », « barreaux ». Le noir est la couleur qui dominante : « Jour noir » est un oxymore qui traduit l’absence de lumière. Le bestiaire représenté traduit le noir et la peur. Le paysage extérieur

des individus. Dans cette société future, tous les enfants sont conçus dans des éprouvettes. Ils sont génétiquement conditionnés pour appartenir à l'une des 5 catégories de population. une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement Analyse I société hiérarchisé 1) hiérarchie par naissance et voulue Ex : lettre grecque (alpha..) manipulation génétique

l’analyse du sens. Vous pouvez finalement reprendre les trois parties de l’analyse : sens, images et musicalité pour concevoir des arguments qui répondent à la question. « JE NE SAIS POURQUOI », DE VERLAINE : MISE EN CONTEXTE Verlaine écrit ce poème en prison, car il vient de tirer un coup de révolver sur Rimbaud, mettant fin à sa tumultueuse liaison avec lui, liaison partagée entre la haine et l’amour. Il est malheureux et ne peut oublier Rimbaud, son amoureux adolescent, qu’il avait pris sous son aile