Champ Lexical De La Seduction

me repoussez pas ! Vous êtes bonnes ! » montre ça gaieté. La scène est très réaliste, après ses répliques, rapprochement corporel évoquant la sexualité : « Un désir suprême faisant frissonner leurs lèvres sèches ». II-Une scène de séduction a-étapes de séduction Les héros romantique est par définition un héros en souffrance, le discours de Rodolphe est très expressif, théâtral (bcp d’exclamation). Il exagère en utilisant des hyperboles « cent fois, « toute ma vie » Rodolphe essaye de capturer

Trivelin le meneur du jeu (un metteur en scène ?) se retire. Une deuxième série d’épreuves commence. C’est de la propre initiative d’Arlequin et Cléanthis que relève la nouvelle épreuve : les anciens esclaves décident de jouer une scène galante de séduction sous les yeux des anciens maîtres, assistant , en spectateurs , dans une sorte de miroir ,à leur propre rôle. Nous nous demanderons en quoi cette scène , située géométriquement au centre de la pièce est la plus importante. Elle est en effet le point

narrateur-personnage amplifie les défauts de l’oncle qui l’a pris en charge, lui et son éducation. Il fait le blâme de son enfance gâchée par l’obsession de son oncle d’en faire un savant. II- Un esprit cultivé par le chanoine le plus ignorant Champ lexical de la langue (« alphabet », « lettre », « lecture », « langue latine »). L’oncle de Gil Blas est le chanoine le plus ignorant du Chapitre. En apprenant à Gil Blas à lire, il réapprend lui-même. Il fait tout pour éveiller l’esprit de Gil Blas.

occupe toujours la fonction de complément d’objet de verbe exprimant la séduction ou la conquête amoureuse dont les sujets sont les femmes. Par exemple, dès la ligne 126, on lit l’ « objet qui nous prend », l.132 « toutes les belles ont droit de nous charmer » ou l.135 « la beauté me ravit ». Cette vulnérabilité feinte s’exprime aussi dans le verbe « céder ». En somme, Dom Juan n’y peut rien, il est la victime du pouvoir de séduction des femmes. Il renverse de la même manière les valeurs lorsqu’il prétend

répliques B. Qui mène le jeu ? qui gagne ? 1. 2 champs lexicaux dominants : la pauvreté (« aumône » l11, « pauvre homme » l13, « Le Pauvre »…) et l’argent (« biens » l15, « un Louis d’or » l33, « aise » l25 …) avec celui de la religion (« prier le Ciel » x 3 l 15 l 22 l 28, « péché » l 36)  définissent l’enjeu de l’affrontement : biens matériels ou fidélité à sa foie ? 2. le rôle de DJ qui mène le dialogue, essaye de tenter le Pauvre : -séduction par la parole : interjections « Ah ! Ah ! » l 12

Plaisir de séduire. Ex: strophe 65 " à réduire, le cœur d’une jeune beauté , le cœur d’une jeune beauté,… " et de remarquer chaque jour l’avancée dans le cœur de la belle " à voir de jour en jour les petits progrès qu’on y fait ". Il utilise le champ lexical du combat (vaincre, honneur, rendre les armes…). Dès qu’il domine la situation et que de tout son cœur la femme qu’il a séduite l’aime alors il n’y a plus de profit à retirer. La scène devient lassante " nous nous endormons dans la tranquillité

Deux procédés de style marquent l'action dans ce poème : les verbes (nombreux) et le mode (l'indicatif). C'est un poème où des éléments concrets permettent de nous représenter les 2 personnages dans un parc le soir. II - Une œuvre galante de séduction a) C'est une comparaison très banale mais Ronsard la renverse. Dans les strophes une et deux, la rose est personnifiée : · " Sa robe ", · " Ses beautés laissé choir ". Dans la 3ème strophe, la jeune fille est menacée par la vieillesse comme

injurieux, contradiction entre les propos et la prétention à la vertu chrétienne , verve satirique dans les portraits. Très peu de didascalies car Molière travaillait avec les comédiens, grande liberté de mise en scène. Contenu des portraits : champ lexical moral, lien de parenté entre les personnages. Mme Pernelle utilise une syntaxe affirmative ou impérative, des phrases présentatives péremptoires, sûre de son bon droit, dénonce ce qui ne va pas selon elle. Formulation curieuse » de mon fils, son

rencontre passe par la répétition du verbe regarder (vers 5 et10) et du verbe voir (vers 3 et 14). Le premier pour le désir, le deuxième pour l’accord. Ce procédé statique montre la rapidité de la séduction. La rencontre entraîne l’invitation avec la citation « veux- tu t’en venir dans les champs ? ». Puis cette invitation ambiguë est éclairée par la périphrase (le symbole) : « le mois où l’on aime », l’allusion « les arbres profonds » et le tutoiement amoureux aux vers 4, 7 et 8. Le verbe

beauté est présent : “doux”, “beau”, “beauté” qui est répété plusieurs fois. Cela montre qu’en plus d’avoir un bon caractère, elle a un physique envoûtant, d’où le nom « d'enchanteresse ». Les enchanteresses sont reconnues pour leurs qualités de séduction et de charme. Les vices des femmes sont mis en avant, cette strophe remet en cause la fidélité et nous fait penser de plus en plus à un navire. On peut l’affirmer justifier en partant du fait qu’un navire est beau, impressionnant, mais ne reste