Champ Lexical De Marbre

corps l'apparentent à la belle architecture comme l'indique la troisième comparaisons: « Mes grandes attitudes que j'ai l'air d'emprunter au plus fiers monuments » vers 9 et 10. Ces 3 images font de la beauté une œuvre marmoréenne (relatif au marbre). Les références à la sculpture et à l'architecture, « pierre » vers 1, « matière » vers 4, « blancheur » vers 6, « monument » vers 10 rappellent implicitement la froideur de la beauté de la statuaire antique. La beauté veut fasciner les « dociles

objectif de présenter l’œuvre. On doit donc trouver dans cette première partie : o son titre, o le nom de l’artiste (accompagné de quelques éléments biographiques pour mieux cerner l’œuvre), o la nature de l’œuvre (huile sur toile, sculpture en marbre, photographie en noir et blanc, slam, extrait de roman…) ainsi que les dimensions pour les tableaux et sculptures, o la date de réalisation et le contexte historique (pour bien montrer que vous respectez la thématique « artistes témoins de la société

haleines", "regardèrent" (appliqué aux "pierreries" : pierres du chemin, gouttes de rosée, yeux d’animaux ?) sont tous porteurs d’une dimension humaine. De même et surtout, l’assimilation de l’aube à une déesse, au "corps" entouré de "voiles". Tout un champ lexical de l’amour charnel "file" cette métaphore : "j’ai embrassé, je levai un à un les voiles, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu son immense corps".    Le narrateur, de son côté, semble doté de pouvoirs magiques, comme ceux

la destruction. B. La nostalgie Nous atteignons ici la tonalité élégiaque dans toute sa discrétion. Du grand vent de la nuit il ne reste plus que la légèreté du « souffle du matin » (v.6), encore capable, certes de faire « tourno[yer] » le marbre mais dans un mouvement circulaire qui n’a plus de but. Le mélange du « mélancolique » (v.10) et du « rêve » (v.11) est une illustration de l’état d’âme romantique par excellence, ce qui n’est pas surprenant outre-mesure quand on se souvient que le

chevaux » à la ligne 3, référence aux carrosses des contes de fées met en avant le fait que le rêve éveillé d’Emma est influencé par ses lectures. Ce rêve éveillé est un rêve de fuite, ainsi, aux lignes 3 et 4, l’évasion d’Emma est illustrée par le champ lexical du mouvement avec à la ligne 3 l’expression « emportée » puis à la ligne 4, le verbe « allaient » qui souligne une fuite vers l’avant. Un peu plus loin dans le texte, à la ligne 7, le verbe « marchait » viendra renforcer cette idée de fuite, de

n'ont pas l'air de croire à leur bonheur Et leur chanson se mêle au clair de lune. Au calme clair de lune triste et beau, Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres. Introduction Ce poème, le premier du recueil des "Fêtes galantes " a d'abord été publié, avec "Mandoline " (sous le titre significatif de Trumeau), dans la revue poétique "La Gazette rimée ", le 20 février 1967. Le manuscrit et l'édition pré-originale

évoqués dans les 22 poèmes se livrent à des occupations frivoles. Par exemple, dans le poème « Pantomime », « Arlequin combine l'enlèvement de Colombine ». L'amour et le badinage sont au cœur du recueil: tout au long de celui-ci on retrouve ces champs lexicaux: « les donneurs de sérénades et les belles écouteuses » («Mandoline ») ou « Fondons nos âmes et nos cœurs » dans « En sourdine ». Tout est un jeu d 'apparence, les femmes sont « fardées et peintes » et « passent (…) dans l'allée » (« L'allée »)

encouragé cet amour. Il apparaît nettement dans les vers 353-354 « Ah ! qu’ un seul des soupirs que mon cœur vous envoie / S’il s’échappait vers elle, y porterait de joie ! » que Pyrrhus aimerait rendre Andromaque jalouse d’Hermione, mais elle reste de marbre face à son argument. Si bien qu’il lui rétorque que « [s]es vœux ont trop loin poussé leur violence » (v. 365), ce qui implique que, s’il ne peut plus s’en tenir à l’indifférence, son amour débouchera sur de la haine. De plus, il lui dit « songez-y

questionnant et se répondant au hasard dans l'effarement du voyage commencé ». Ceux-ci viennent de Paris, la capitale, ce qui montre leur culture bourgeoise. Il y a aussi quelques anglais. b) Un salon luxueux Maupassant emploie le champ lexical du luxe : « glaces » « murs de marbre blanc » « filets d'or » « longues tables » « sièges tournants, en velours grenat », ce qui montre la beauté du lieu, un véritable bateau de croisière. Il compare le bateau à des lieux somptueux : « son luxe opulent était celui

adulte. Le vers cinq par la comparaison du froid au marbre du jeun-homme confirme l’idée selon laquelle était distrait mais également distant. L’anaphore de « je » au vers six et sept laisse comprendre que le jeune-homme n’avait pas saisi l’enjeux de cette rencontre à l’opposer de Rose qui par le langage du regard qui tente de lui envoyer des signaux de séduction. Les vers neuf à vers douze mettent en valeur l’omniprésence à travers du champ lexical de la nature mais également la personnification de