Champ Lexical De Marbre

son sourire à travers mes larmes. »). Réécrivez la scène selon les règles et les codes du genre dramatique. II. Évaluer les champs lexicaux Relisez le récit de l’entrée des Hohenfels à l’Opéra au chapitre 15 (de « Tous les yeux se tournaient… » à « … allai tout droit me coucher. »). 1) Relevez les termes du champ lexical de la lumière. 2) Identifiez le champ lexical auxquels ressortissent les mots suivants : « diadème », « supérieurs », « hommage que leur conféraient neuf siècles d’histoire »

base pour analyser les textes et les images. - Pour les textes : on vérifie que les élèves distinguent les notions d’auteur, narrateur, personnage et qu’ils parviennent à identifier un cadre spatio-temporel ; on développe avec eux la notion de champ lexical ; d’un point de vue plus méthodologique, on vérifie qu’ils savent se servir d’un dictionnaire et répondre à un questionnaire sur un texte (compréhension de la consigne, présentation et rédaction des réponses). - Pour les images : on révise ou

crime qu'il va commettre, l'acte est si grand que Philippe ne peut s'imaginer ce meurtre, Lorenzo est quelque part fier de cette mauvaise action, ce qui fait ressortir le coté obscur de Lorenzo. Il y'a donc aussi un contraste avec son masque. Le champ lexical du temps "heure", "horloge" montre l'impatience de Lorenzo, ce qui va s'accentuer au fil de la scène. De plus Lorenzo fait allusion aux républicains et les Strozzi incapables d'agir. La répétition "Ah les mots, les mots " et l'anaphore du

de son ombrelle et d’autre part sur tous les bleus suggérés de la mer qui « miroite » et de « l’immense azur ». La masse du pesant chignon qu’on imagine crépu se teinte également du même bleu. Le texte de Baudelaire fait abondamment appel aux champs lexicaux de la couleur et de la lumière. On notera que ces couleurs servent peut-être à conférer à la jeune femme des caractéristiques sortant de l’ordinaire : est-ce une sorcière (le mot « ténèbres » le suggère de façon implicite et réveille sans doute

d'un grand frisson et se lève brusquement.] Pas là ! non ! pas dans ce fauteuil ! [On veut s'élancer vers lui.] Ne me soutenez pas ! Personne ! [Il va s'adosser à l'arbre.] Rien que l'arbre ! [Silence.] Elle vient. Je me sens déjà botté de marbre, Ganté de plomb ! [Il se raidit.] Oh ! mais !... puisqu'elle est en chemin, Je l'attendrai debout, [Il tire l'épée.] et l'épée à la main ! LE BRET Cyrano ! ROXANE, [défaillante] Cyrano ! [Tous reculent épouvantés.] CYRANO Je crois qu'elle

de son ombrelle et d’autre part sur tous les bleus suggérés de la mer qui « miroite » et de « l’immense azur ». La masse du pesant chignon qu’on imagine crépu se teinte également du même bleu. Le texte de Baudelaire fait abondamment appel aux champs lexicaux de la couleur et de la lumière. On notera que ces couleurs servent peut-être à conférer à la jeune femme des caractéristiques sortant de l’ordinaire : est-ce une sorcière (le mot « ténèbres » le suggère de façon implicite et réveille sans doute

l´esprit sans avoir aucun but pratique inmediat et dont le message dépasse les limites du temps et de l´espace. L´écrivant communique par les textes de la magie du language comme le paintre se sert d´un palette de couleurs ou le sculpteur d´un bloc de marbre. Le texte littéraire garde quand même sa caracteristique de message écrit, il faut apprendre à decoder se message mais sourtout á l´apprècier ont tant qu´oeuvre d´ art. La fonction du lecteur n´est pas moins importante que celle de l ´auteur

blanc » → allitération en « b » ,le son voyelle est répéter dans les 2 mots Beauté, pureté de Rose → Ce bras → décrit comme beau → « bras blanc » est un critère de beauté jusqu'à la fin du XXéme siècle 2) la nature tres exposée champ lexical (« bois » « fleur » « arbre » « rosée » « merles » « rossignols » «  taillis » « mure » « branches » « mousse » « eau » « bordure ») Décrite avec précison ---> pas anodin vu le cadre spatial = forêt « les grands bois sourd », personnificaion

« On le voit bien dans cette citation ». EXEMPLE D’ERREUR Nelligan s’attriste des ravages du temps. Lorsqu’il dit : « Les rides ont creusé le beau marbre frontal ». (v.5) CORRECTION Nelligan s’attriste des ravages du temps. En regardant le portrait de sa mère, il constate qu’elle a vieilli depuis cette époque : « Les rides ont creusé le beau marbre frontal ». (v. 5) ● Si la citation n’est pas une phrase complète, elle est intégrée dans la phrase, sans les deux-points. EXEMPLE Nelligan décrit

gascon après tout) reprend le dessus. Il la désigne avec un pronom personnel très innocent « elle » (v.2551, 2552, 2554, 2555). Elle semble guetter le bon moment pour venir à bout de ce héros coriace. Le champ lexical qui se rapporte à elle est présent tout au long de sa longue réplique : « botté de marbre », « ganté de plomb », « vous me mettrez à bas », « Dieu », « mon salut ». La mort est représentée sous forma d’allégorie et devient une entité entière dans l’esprit halluciné de Cyrano. Il l’évoque