Champ Lexical De Verbes

termes collectifs * Procédés de l’amplification et de l’emphase : énumérations, accumulations, gradations, hyperboles, superlatifs, adverbes d’intensité. * Phrases longues, verbes de mouvement * Métaphores et comparaisons, symboles, personnifications, anaphores * Référence aux éléments naturels * Champ lexical du combat * Peut faire appel au merveilleux 1.1.2.3) Registre tragique : Le registre tragique est caractéristique de la tragédie classique et du théâtre du XXe siècle.

voyage dans un train qui va de Porto à Salamanca, du Portugal à l'Espagne. Étape 2 : Champs lexicaux : -Du voyage : « bruyant convoi ; gares ; paysage ; frontière ; passager ; wagon ; voyager » -Du temps : « 3h56 ; traverser ; puis ; ralentit ; longtemps ; rester ; lentement ; à l'arrivée » -De la nature : « campagne ; paysage ; oignon ; relief ; bruyère ; vigne ; eucalyptus » Allitérations : -En « r », « s » Verbes : à l'infinitif, Phrases : Non terminées : enjambement, phrases rallongées, Ponctuation

dénonce le manque d'instruction des enfants. Pour cela, il qualifie les enfants par des noms péjoratifs tels que « le petit babouin », »canaille » .. Lafontaine utilise également le champ lexical de la betise pour souligner leur défaut d'education. : «  sottise, fripons,canaille ». il utilise également le champ lexical du déragement (de leurs parents) face a de tels enfants : « malheureux, maux, plaindre, blâme » b)L'Avare qui a perdu son trésor : dans cette fable, lafontaine médit les avares

bien qu’il n’y ait pas de ponctuation. La figure de style est donc capable de remplacer la ponctuation. Enfin, on observe un champ lexical des sentiments et des émotions dans ce poème : « triste » (v.1 et 7) ; « amour » (v.2) ; « trahi » (v.2) ; « orgueil » (v.3) ; « douleur » (v.5) ; « pitié » (v.6) ; « rage » (v.8) ; « pleurer » (v.10) ; « consoler » (v.12). Ce champ lexical qui s’inscrit dans la longueur permet au poète d’insister sur l’évolution de ces sentiments, après sa réflexion personnelle

|Interprétation | |ou procédés d’écriture | | | |Champs lexicaux |« verdure » (v.1), « rivière » (v.1), « montagne » (v.3), «|États opposés | |Nature |rayons » (v.4), « val » (v.4), « cresson » (v.6)BIEN

Les verbes d’action sont très nombreux et animent la narration. L’expression des sentiments des différentes parties permet de dramatiser le récit. Par quels procédés le narrateur réussit-il à rendre son récit plus vivant ? Le narrateur anime son récit par le recours à de très nombreux verbes d’action et à l’hypotypose qui permet aux spectateurs de vivre la scène : passage du passé simple au présent de narration, succession rapide des actions, sentiment de vivacité graˆce au champ lexical

et de l’abondance (champs lexical de la nature et énumération des oiseaux) 2) Lieu du bonheur Abondance (pluriel – énumération - verbes à connotation) : « Buvons. Tous buvaient. » l14 « Jouons. Tous jouaient. » l15 Idée de cohésion, harmonie sociale : souhait individu = habitude (imparfait) du groupe. 3) Lieu de l’amour Lieu du mariage, liberté sexuelle. Prédominance de la liberté (champ lexical du désir et de la volonté) Utilisation négation répétitive des verbes de contrainte l4-5 et

une demande d’explication que l’on satisfait ; la cohérence de ce dialogue est tout à fait remarquable : la question du Scythe est fondée sur un constat d’évidence, à partir d’un référent qui a été communiqué au lecteur auparavant ; il y a cohésion lexicale entre "ébranchoit, émondoit" (vers 10, le "référent" de la situation d’énonciation), et "mutiler" (vers 15, le discours du Scythe) ; la réponse du Sage s’inscrit dans cette cohérence "J’ôte le superflu" (vers 19) fait écho à "retranchoit l’inutile"

quotidienne dans sa banalité (par opposition au roman romantique traditionnel, qui retrace des destins exceptionnels. L’œuvre se situe dans le cadre de la révolution industrielle de la fin du XIX ème siè-ècle. C’est pourquoi Zola se réfère au champ lexical · · récurrent du chemin de fer : « les roues », « la machine », « la chaudière », « le charbon », « le foyer », « sifflet », « gares », « mécanicien », « chauffeur ». · · Il fait aussi allusion à une ligne existante, Le Havre-Paris, il

b) Le temps des verbes C'est en général le passé composé, parfois le présent. Qui s’accompagne très bien du « vous », de plus il permet d'exprimer les actions courtes. * difficulté à voir la nature du texte Le présent est utilisé pour décrire le personnage : « dans votre paume, votre poignet et vos bras... ». Il y a comme un ralenti, pas de bruit, pas de parole. Le narrateur ne retient pas ce qu'il voit. Des verbes d’actions (exposé de ce que fait le personnage) : les verbes sont souvent sujet