Champ Lexical Du Combat

symbolique 1) Une légende, pas un événement : T.L n’a bien sûr pas de source historique, il se fonde sur la légende : fertur (l.6) fama (l.12) a) Le récit fondateur de la lutte entre les frères jumeaux R et R (cf. bible Abel et Caïn) b) Champs lexical de la violence Conclusion : selon T.L il semble que la volonté des dieux soit de donner le pouvoir à Romulus 2) L’importance des augures a) Rite religieux origine Etrusque b) Importance du nombre et du temps Conclusion : L’épisode

donne, toutes les sensations sur lequel il s’attarde notamment celle du stress. Il y a un champ lexical de la peur et du stresse qui pèse sur ce poème « inquiète » (ligne 11) ou « anxiété » (ligne 17). L’auteur en théorie

remport………. ce combat. 5. Le soleil brill …………………….. 6. Il faut chang……………… de médecin. 7. As-tu visit…………….. ce musée ? 8. Tu dois t'en all…………………. . 9. Tu dev……………. être content. 10. Je lev………………… les yeux vers le ciel. 11. Tu ne dois pas chant………………. . 12. Les trottoirs sont jonch………………. de feuilles mortes. II. / Un peu de poésie 3. / Pour chaque série, donnez cinq expressions du champ lexical demandé: a) Champ lexical de la peur: b) Champ lexical de la guerre : c) Champ lexical

de la crise qui lui conduit. Dans ce poème, je m'interrogerai comment se définit le spleen dans ce poème. Dans un premier temps, je vous expliquerai la mise en scène d'un combat et dans un second temps la représentat° symbolique du Spleen. = PLAN Développement: Dans 1° tps, ns voyons que ce poème met en scène un combat, ce poème est construit sur une mise en scène. Le spleen est composé de 16 vers sont un même vers. Les 3 premiers quatrains reposent sur une structure anaphorique comme au

ainsi que sa force, renforcée par l’adjectif hyperbolique « terrassante » ( l 246). Cependant, cette vigueur corporelle s’oppose totalement à l’apparence physique « féminine » (l94) du Chevalier. Sa « beauté », mise en valeur par la répétition lexicale du terme entre les lignes 93 et 95, devient érotique à l’évocation d’atouts féminins que l’être possède. Le « teint blanc » (l94), « les formes sveltes » ( 246 », ainsi que la « taille fine et cambrée » ( l248) sont d’autant de critères de beauté

un journaliste militant engagé dans la Résistance et dans les combats moraux de l'après-guerre. « La Peste » est un de ses nombreux romans, publié en 1947, qui lui a permit en partie de remporter le prix Nobel en 1957. Ce roman raconte la vie quotidienne des habitants pendant une épidémie de peste qui frappe Oran. L’extrait que nous étudions est la mort d’un enfant, le fils du juge Othon. Mais comment expliquer un champ lexical de la mort et de la douleur si intense, dans un roman aux extraits

D’abord nous verrons comment Montesquieu fait de cette lettre une lettre tragique. Ensuite, nous aborderons l’aveu de Roxane. et pour finir nous verrons que àtravers les paroles Roxane pour la liberté, c’est Montesquieu qui exprime son combat pour la

- Strophe 1 et 2 « O Dieu, l’étrange peine ! », l’adjectif « étrange » a le sens d’inconnue à abattement du héros, et sa souffrance. 2) Un héros en contradiction - Les champs lexicaux en jeux dans le passage sont ceux de l’honneur et de l’amour, de nombreux formulations soulignent l’opposition entre ces deux champs lexicaux à opposition au centre du dilemme de Rodrigue. > Ces oppositions sont mises en évidence par les antithèses : - « Contre mon propre honneur / mon amour s’intéresse : » (v

l'utilisation d'adjectifs comprenant des préfixes privatifs, comme «  inévitables », « incurable » ou « impuissants », démontre que sa passion est fatale et irréversible. Phèdre lutte contre sa passion, mais son combat est vain. Dans sa tirade, Phèdre utilise le champ lexical du combat. Les termes « Mon superbe ennemi », au vers 30, et « Contre moi-même […] me révolter » au vers 49 montrent qu'elle lutte contre sa passion, mais sa lutte est vouée à l’échec. Sa passion est donc fatale et irréversible

s’aperçois que le condamné n’échappera pas a la mort quoi qu’il fasse, il utilise aussi différents champs lexicaux, notamment le champs lexical de la captivité « captif, aux fers, cachot, prison » qui s’opposent au mots «  libre » ; il utilise aussi le champs lexical de la laideur pour renforcer l’ambiance mélancolique de la prison « une horrible, une sanglante, une implacable » puis le champs lexical de la cruauté « sanglante, implacable, infernale ». Victor Hugo à travers cet extrait suer la condamnations