Champ Lexical Du Combat

La scène des enterrements Introduction: Albert Camus, écrivain existentialiste et philosophe du XXème siècle, écrit La Peste en 1947. Dans ce roman, le docteur Rieux, personnage principale combat sans arrêt l’épidémie qui a dévasté la ville d’Oran : La peste. Le texte que nous allons étudier est un extrait de ce roman, « La scène des enterrements » et se situe au milieu de l’œuvre. À ce moment de l’histoire, le fléau a déjà laissé beaucoup de morts, ce qui provoque une succession d’enterrements

le gouvernement et les hauts commandant de l'armée française qui selon lui laisse tomber ses camarades morts au combat dans l'oubli. Il ne veut laisser personne bafouer la mémoire de ses frêres. Par des jeux de sonorité comme des assonances et de allitération l'auteur veut ajouter du lyrisme à son poème. Il veut faire pensé à un chant (chant mortuaire?). Il utilise le chant lexical de la musique et du chant (bouche, trompette, chantaient) et une métaphore sur son peuple dont il voudrait être

sont la mort, l'amour, la fuite du temps, la mélancolie. Ces quatre thèmes sont confondus dans ce poème lorsque Victor Hugo aborde ses souvenirs, qu'ils se remémore, avec sa fille qui vient de mourir. L'aspect de la mort est mis en valeur par le champs lexical du mort que l'on retrouve principalement dans le troisième quatrain avec les mots: « livides », « pâlie » (v.9) et « froid » (v.12). Ce thème du froid est repris dans les derniers vers des quatrains deux et trois. De plus, le poète désigne sa

moderne vers 5 : «je», «ma»  -->  lyrisme possible et supposé mais il disparait (le «je») donc c’est un abandon du lyrisme romantique comme celui de Lamartine («je ... je ... je ... je ... je ...)  vers 5/6/7/8, champ lexical des sentiments comparaison de l’écriture à un sport de combat : l’escrime 1. l’éloge du soleil périphrase méliorative «père nourricier» vers 9 «éveil»...»rajeunis»... 2eme strophe --> verbes d’action les qualités du soleil --> pouvoir vivifiant / rajeunissant vers

de son comportement provoqué par la rage impressionnent. En effet, l’utilisation du champ lexical de la folie et du domaine médical (« convulsions de rage », « folle colère », « frémissements nerveux qui ont agité son corps») nous laisse imaginer des scènes terribles de cas d’aliénation. De plus, les différentes descriptions de son regard (« yeux ardents » , « regard brûlant ») sont caractérisées par le champ lexical du feu, ce qui renvoie à la destruction. De plus, les bruits qu’elle émet en respirant

n’a rien perdu de sa force, il est très chargé d’émotion, d’héroïsme et de courage. I/ Analyse et écho avec d’autres œuvres : ➢ Le premier couplet du chant évoque la chape de plomb, qui s'est abattue sur le pays occupé, la censure. Le champ lexical est celui de l’occupation et du danger avec les expressions « vol noir des corbeaux » ; « cris sourds » ; « pays qu’on enchaine » qui fait référence au couvre feu, et à toutes les lois opprimantes imposées par les Nazis qui sont « les corbeaux

de plus on distingue trois sous partie dans le texte une boucherie, un chaos et confusion et des hommes sans grandeur. Dans le texte le combat est décrit comme une boucherie “un cheval tout sanglant qui se débâtait” Ligne 29, “ en engageant ses pied dans ses pied dans ses propres entrailles” Ligne 30, “le sang coulait” Ligne 31. Nous remarquons que le combat est décrit de manière réelle. Fabrice le personnage principale de l’histoire est perdu “il n’y comprenait rien du tout” Ligne 38, “perdu

abeilles Hugo se sert des sonorités joyeuses («oi»), emploie le verbe «donner» qui corrige le verbe «dérober» du vers précédent, choisit le mot «ambre» plutôt que «pollen» pour la récolte, évoque leur grâce en utilisant des mots qui appartiennent au champ lexical des couleurs: «ciel, ambre, miel, rosée, lys, vermeilles» et enfin souligne leur pureté «chastes» (la seule reine des abeilles est reproductrice). Mais la dénonciation politique est évident: «fuyez quand vient décembre» évoque à la fois l'hiver

bourgeois semble être de l’humour « prenez vos flacons, la sueur du peuple qui passe ! », puis la peur s’installe progressivement « quels visages atroces »(l22), Négrel les comparent à des bandits « ces bandits-là »(l24-25). On relève aussi le champs lexical de la peur qui commence par un oxymore « belle horreur »(l33), « s’effrayaient »(l34), « la glaçait »(l36), « blêmir »(l36), « ces épouvantes »(l38), « ne bougeait plus »(l38). Zola a donc fait d’un côté le portrait du peuple qu’il animalise

Un sonnet est composé de 2 quatrains et de 2 tercets. Le champs lexical: Un champ lexical est l'ensemble des mots qui, dans un texte, se rapportent à une même notion: un objet (table, crayon...), un lieu (école, jardin..), une activité (travail, sport...), une perception (la vue, l'odorat...), une sensation (chaleur, froid...), un sentiment(joie, tristesse...) ou une idée(tolérance, respect...). Les mots d'un même champ lexical peuvent être des noms, des adjectifs qualificatifs ou des verbes