Champ Lexical Du Comique

son sens du mot grec pathos, signifiant "passion, souffrance", et cherche à provoquer l’émotion du lecteur en recourant à des thèmes liés à la souffrance, comme la mort, la maladie, la séparation, la douleur. On peut le reconnaître par : • Les champs lexicaux de la souffrance et de la mort. • Les métaphores et les comparaisons qui renforcent l’expression des sentiments. • Les hyperboles et oppositions qui intensifient l’émotion. • Les ellipses narratives qui laissent deviner l’horreur de la situation

joie brûlante comme un fer rouge? (Musset) Il existe aussi un emploi ironique ou comique de l'hyperbole: Vive le Père Ubu! c'est le plus noble des souverains! (Jarry) C'est pour éviter les ennuis que le peuple acclame ici un tyran qui sème la terreur dans son pays (décalage ironique). Les procédés lexicaux -Le champ lexical : Est un ensemble de mots qui se rapportent à un même concept. Plus le champ lexical comporte d'éléments, plus il représente un thème dominant du texte ou un symbolique

d'Outre-tombe. - Un extrait de La Chartreuse de Parme, 1839, Stendhal. Thème : Fabrice est sur le champ de bataille de Waterloo. Waterloo oppose les Français (Napoléon Ier) aux alliés ainsi qu'aux Prussiens au début du XIXème. Episode de Waterloo que l'auteur a réellement vécu. Fabrice est un jeune noble italien de 17 ans qui admire Napoléon et rêve d'héroïsme. Lecture du texte. Le héros sur le champ de bataille est un thème des épopées et des romans historiques. C'est en principe le moment où

CORNEILLE Jusqu’à L’illusion comique « Et depuis je suis beau quand ACTE II je veux seulement ». SCENE 2 COMMENT CORNEILLE PARVIENT-IL A RENOUVELLER LE PERSONNAGE DE MATAMORE ? Etude préalable Le rôle de Clindor est de faire valoir : il est là pour relancer le discours de Matamore et vient

toujours à partir du v. 19, le Lion est davantage en position d’objet grammatical dans la phrase que en situation de sujet : « se déchire lui-même »v. 26, « sa fureur le fatigue, l’abat » v. 29, il n’est plus maître de cette aventure. Enfin, le champ lexical de la douleur domine : « se déchire lui-même » v. 26, « mettre en sang » v. 25, « le fatigue, l’abat » v. 29. Evolution dans la manière dont le lion est nommé : « roi » v. 5, « lion » v. 14, « quadrupède » v. 15 « malheureux lion » v. 25 26

 : La ruse – · Présentation Un paysan fort riche mais célibataire épouse la fille d’un chevalier désargenté. Il la bat comme plâtre pour la faire pleurer et éviter qu’un autre s’y intéresse quand il sera aux champs. La jeune femme le fait passer pour un grand médecin aux yeux de deux messagers du roi qui en recherche un capable d’ôter l’arête coincée dans le gosier de la princesse depuis 8 jours. La femme du vilain prétend qu’il faut battre son mari pour

leur attachement au lyrisme amoureux.Exemples littéraires (titre/auteur/date/caractéristiques du mouvement dans ces textes) 1. L'illusion comique , Pierre Corneille, 1639, Corneille  rassemble tous les genres théâtraux. L'Illusion comique répond aux critères du courant baroque, en recourant à une intrigue complexe, avec de multiples niveaux de représentation et une mise en abime du théâtre dans le théâtre. La complexité

· Stichomythie  : succession de courtes répliques. · Effets recherchés : accélère le rythme de la scène et transformer le dialogue en joute verbale. Selon le contexte, la stichomythie a une fonction comique ou dramatique (=mise en suspense). · Récit  : narration sous forme d’une tirade parfois très longue. · Effet recherché : raconter ce qui ne peut être représenté sur scène (afin de respecter la règle de

généralité universelle TORRENT | RIVIÉRE | - champ lexical de la VIOLENCE ; “grds bruits/grds fracas” (v.11), “trembler” (v.4), “une barrière si puissante” (v.6), “ onde menaçante” (v.8), “ce n’était que menace, et bruit, sans profondeur” (v.9) . - présence de figure de styles qui se traduit par la VIOLENCE, le bruit du Torrent qui l’accompagne ; . anaphore (v.1) . hyperbole (v.6) . assonance en “i” . allitération en “r” et “t” | - champ lexical du CALME ; “image d’un sommeil doux, paisible

parle pas ; l.1657-1658 : il est impie et il se fait passer pour un dévot). l.1664-1665 : on retrouve une opposition entre « vices » et « vertus ». _________________________________-__la réalité___ce qui apparaît On trouve également le champ lexical de la tromperie : « dupes » (l.1677), « des véritables motifs » (l.1655 → il y en a donc des faux), « imposture » (l.1668). Il joue sur les tromperies. Il y a aussi un jeu sur les apparences par : ___- la métaphore du vêtement : « rhabillé