Champ Lexical Du Desespoir

L’omniprésence du registre tragique Cet extrait commence par un monologue de Tristan, après qu’il est crut aux paroles mensongères d’Yseut aux blanches mains. Le registre tragique est exprimé à travers les champs lexicaux, les exclamations « Que Dieu nous sauve, Yseut et moi ! ».Dans cet extrait les champs lexicaux sont nombreux, ils font référence : - à la mort, tout d’abord dans le monologue de Tristan à travers des mots comme «mourir ; meurs ; ma mort» puis tout au long du texte «le noble Tristan est mort

en 1890, année de publication du roman, mais en 1869-1870). Volonté de Zola : décrire avec une grande précision la réalité sociale et technologique de son temps. Pour cela : recherche documentaire très minutieuse de l’auteur. - Dans le texte, champ lexical du train : train, wagon, roues, portières, chaînes, tampons, rails, vapeur, robinets, tuyaux, foyer, cheminée, châssis, longerons, bielles, cylindres, tiroirs, excentriques. Les derniers termes sont très techniques et ne pouvaient être connus que

manière dont il perçoit la nature. Cette utilisation de la nature comme reflet des sentiments du poète est d’ailleurs un procédé très fréquent chez les écrivains romantiques dont Victor Hugo était le chef de file. *** [Transition ?] L’expression du désespoir du poète se manifeste en premier lieu par le constat de son déclin, sa chute vers le néant s’effectuant tout d’abord par un jeu polysémique sur le mot « tombe », présent dans le groupe verbal « le soir tombe » et dans le groupe nominal « la tombe »

sonnets suivent fréquemment le mouvement d’un regard qui s’attache aux qualités de la peau (d’ivoire), de la bouche etc. Le traitement du corps féminin est ainsi ambivalent, puisque la femme est à la fois idéalisée (beauté divine qui inspire amour et désespoir au poète) et réifiée (objet merveilleux offert à l’art du poète qui segmente le corps en parties). Cette ambivalence est redoublée par la publication des contre-blasons (on songe à L’Olive de Du Bellay dont les sonnets se divisent en deux parties :

Commentaire linéaire : « Oh ! je fus comme fou… » de Victor Hugo, les Contemplations :Grand écrivain du 19ème siècle, chef de file du Romantisme, Victor Hugo s’est notamment illustré en poésie, comme le montre le recueil Les Contemplations de 1856. Considéré comme le chef d’œuvre lyrique de l’auteur, Les Contemplations sont un recueil de souvenirs, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil. « Oh ! je fus comme fou… » est un poème se situant dans le livre 4, Pauca Mae, qui est consacré

- Une scène de rébellion A. Les didascalies. * Elles nous révèlent qu'Iphicrate est un être à la sensibilité vive, dont les émotions s'enflamment au fil de la scène ('après avoir soupiré'/'à part'/'un peu ému'/'retenant sa colère'/'au désespoir'). Au contraire, Arlequin est représenté comme un être légé et jovial ('avec une bouteille'/'prenant sa bouteille pour voir'/'siffle'/'distrait'/'chante'/'riant'/'badine'). Ces stéréotypes (couple traditionnel maître/valet de la comédie classique)

est né en 1799 à Tours. Il est l’auteur de 91 ouvrages et a créé plus de 2000 personnages. Dans ce livre l’auteur nous parle d’un homme nommé Raphaël de Valentin qui a tout perdu et qui réfléchit au suicide. L’extrait présenté ici nous rapporte le désespoir de cet homme et ses sentiments. Mais comment dans cet extrait romantique, l’auteur sensibilise-t-il son lecteur à la question du suicide, à travers les grands enjeux de ce texte ? Nous observerons d’abord comment l’auteur fait ressortir l’enjeu critique

pour le personnage principal. L’auteur décrit ce lieu par le champ lexical d’une place lugubre : «triste », « vide », « grise », « muette », etc. Cet endroit obscur et lugubre traduit une pudeur chez le personnage principal. Ensuite, Renée va vers les jardinières où elle voit celles-ci épuisées : « terre durcie(…), squelette de plante(…), la natte, elle-même, déteinte, mangée par les rats… ». La place représente une place de désespoir et d’abandon. Émile Zola démontre par la nature et ses réalités

René est déprimé. 1. Champ lexical des sentiments négatifs a) « vide » (l. 4), « solitaire » (l. 4), « mélancoliques » (l. 9), « tourmenté » (l. 21), etc. Désespoir dû à des désirs insatisfaits 2. Métaphore a) « Notre cœur est […] une lyre où il manque des cordes […] » (l. 10) Fragilité émotive de l’homme C.A. Le héros traduit l’insatisfaction permanente qui caractérise l’être humain. B. René est exalté. 1. Champ lexical de sentiments positifs

le vocabulaire employé est fréquemment expressif, de même que la ponctuation. On peut relever que dans La Ballade des pendus, l'auteur emploie de façon récurrente le vers « Mais priez Dieu que tous nous veille absoudre ! » qui mêle à la fois le désespoir du poète inspirant de ce fait de la pitié chez le lecteur qui l'émeut et une ponctuation expressive grâce au point d'exclamation qui rythme la lecture. Type d'énonciation (Q.1,2,3 p.234) 1. Les destinataires du poème sont les « frères humains » (1)