Champ Lexical Du Desespoir

connotation religieuse du texte. En effet, il prie cette femme comme si il s’agissait d’une déesse. Troisièmement, on assiste à un éloge de l’amour, selon Hugo, il est « pur », « vrai », « fier », « mystérieux », mais aussi lumineux avec le champ lexical de la lumière exprimé par « lueur », « flambeau », « étoile », « soleil », « aube », « jour », « lumière », « rayonner », « luit » et « brille » et la métaphore filée comparant l’amour au soleil. Plusieurs sensations rendent cet amour réel et

: Le temps est dépeint comme une force destructrice La puissance incontrôlable du temps Réflexion personnelle du poète sur le temps DÉVELOPPEMENT: I. Le temps comme force destructrice A. Le temps est destructeur et sans merci 1. Champ lexical de la perte et de la destruction a) « emportés » (v. 4) « dévorent » (v. 29), « oubliez » (v. 30), « échappe » (v. 32) et « dissiper » (v. 34), « s’envolent » (v.41), « perdus» (v.44), « engloutissez » (v.48) ➔ Démontre le caractère destructeur

Idéal, Le Vin, Fleurs du Mal, Révolte et La Mort dans lesquelles on dénombre au total cent vingt-six poèmes. « L' Irréparable » fait partie de Spleen et Idéal. Dans cette partie, qui est la plus importante des cinq, Baudelaire nous fait part de son désespoir et de son dégoût de la société. Il cherche à atteindre un Idéal, c'est-à-dire un endroit (ou un état) utopique. Il explique aussi quels sont les stimuli lui permettant de s'évader vers le bien-être - souvent éphémère. Le commentaire de ce poème

également le locuteur du lecteur, puisque l’expérience du rêve est commune du genre humain. Inscrit dans le lyrisme, on relève le champ lexical du sentiment « que j’aime et qui m’aime », « mon cœur », « m’aime », « aimer », « vois chers ». On constate que le champ lexical évolue et passe de l’amour à la tendresse. En parallèle au développement de ce champ lexical on peut également relever celui du son « doux et sonore », « voix », « lointaine et calme et grave » et « inflexion des voix ». Le sonnet

valeur et le deuxième acte sera construit sur · Axe 1 : Dans un premier temps…. Tout d’abord…. Puisque…Dans la première partie de cette scène…On peut rajouter… on peut proposer… on peut se demander…Dans un deuxième temps… On peut mettre en avant…Ce champ lexical plante …. On peut relever… mais surtout… · Perso de Phèdre est tragique · Cl : en conclusion locale de cet axe … · Axe 2 : Ce qui nous amène au deuxième axe… Tout d’abord…Par exemple…C’est le cas par exemple…Tout ses éléments font…On peut relever…Finalement

retourner ainsi que l’antithèse : Retournez, retournez vers ce sénat auguste/ Qui vient vous applaudir de votre cruauté ». Il y a là, la présence d'ironie dans cette phrase comme nous le montre également la question suivante vers 38 : « dans mon désespoir trouvez-vous tant de charmes ? » Ce qui est de la torture pour Titus de l'entendre prononcer ces mots. La grande volonté de Bérénice et la souffrance qu'elle a, appuie sur le fait d'un dialogue impossible entre les deux personnages. Il y a comme

elle n’existe plus, les ouvriers sont aux chômages, ils n’ont plus rien. Le champ lexical du corps quant à lui ; « tendre la main, son bras se raidit, sa gorge se serre. » (L.27) montre clairement le résultat de cette crise. L’ouvrier ne peux plus lutter, son corps ne répond plus, il ne peut plus supporter la faim. Cette misère crée un désespoir chez l’ouvrier pour lui et sa famille. Le champ lexical de l’eau ; « pluie », « averse », « Seine », « coulée » … (L.10-14) possède

personnages en souffrent. Ces trois extraits de pièce de théâtre reposent sur la même souffrance d’un amour impossible. Nous le constatons aussi dans les procédés d’expressions. En effet, dans Le cid cette scène d’amour est pathétique car les champs lexicaux de la souffrance et de la mort sont présents. «Mort » « notre amitié » «  ma douleur extrême » Nous avons aussi un vocabulaire affectif c’est à dire qui exprime une réaction émotionnelle, ici l’amour et la tristesse qui l’accompagne. « Va, je

respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler. Identification des axes du commentaire, appuyée sur le repérages des différents champs lexicaux dominants Procédés d’écriture Effets de sens produits I Une passion violente et dévastatrice a) Troubles physiques Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue Mes yeux ne voyaient plus Je ne pouvais parler Je sentis tout

l'inversion des valeurs ; ici l'on vit, ici l'on meurt (v22), l'antithèse est renforcée par la reprise lexicale et syntaxique ; la vie et la mort sont mises au même plan et signifient la même agonie ;- La répétition : Auschwitz ! Auschwitz ! (v21) renforcée par la construction exclamative et l'interjection qui suit ô amplifie le mouvement lyrique : le poète lance un cri d'horreur.*Le champ lexical de la guerre met en évidence les multiples aspects de la guerre :- La violence :escogriffes (v5), à coups