Champ Lexical Du Desespoir

Charles Baudelaire, « Le Spleen », Les fleurs du mal Problématique : Quelle est la place et la fonction du poète dans la société ? I. Une représentation symbolique du spleen 1) Paysage du spleen • champ lexical de l’humidité et de l’obscurité → un environnement qui se décompose comme son esprit • paysage bestiaire :

et il est heureux à l’idée qu’elle vienne le voir. (EXPL.) En effet, sa fille est sa raison d’être et de vivre alors il l’admire d’une grande fierté et il semble que jamais il n’a aimer autant une personne que sa fille. (ILL) Comme le montre le champ lexical de la fille durant la rencontre : «elle est fraîche», «belle», «grands yeux» (ligne 1941), «caressée», «embrassée» (ligne 1947). (TRANS.)(I.S.2)En plus d’aimer sa fille, le condamné ressent aussi un amour déçu ce qui le rend dans une grande déception

a. Aveu arraché Interjection « ah !cruel » « Eh bien ! » Elle coupe la parole v.670 Hippolyte « et je vais … » Coupures inégales = v.672 déstructuré = Phèdre ne se maîtrise plus b. La cause du trouble Champ lexical de l’amour associé au champ lexical de la maladie = amour monstrueux Champ lexical de la haine = Phèdre est consciente de la folie de cet amour et qu’Hippolyte la déteste. c. Essai de se disculper Acharnement du destin v.677 La cause = dieux v.679-681 v.679-682  se présente comme victime

période classique en France sous Louis XIV . Nous retrouvons ici un extrait de l'acte 1 scène 3 dans lequel Phèdre annonce a Oenone (la nourrice et confidente de Phèdre) son amour incestueux pour Hippolyte et son désespoir, elle se sent infidèle à Thésée son mari et père d’Hippolyte. Nous allons voir comment l'impuissance et le désespoir de Phèdre face à son amour est exprimé et la contradiction entre ses différents sentiments. Nous verrons dans un premier temps l'expression physique et morale des sentiments de Phèdre dans

premièrement, nous allons voir qu’une définition tragique de l’amour se dessine, puis nous allons voir qu’à travers cette description une femme « froide » et un poète qui crie au désespoir s’ouvrent à nous, lecteur. Dès le début du sonnet, nous assistons à une définition de l’amour selon le poète. On peut noter le champ lexical d’un amour destructeur, « fatal » aux yeux du poète. Il nous donne cette description suite à la question posée par la femme aimée « Quel est donc mon mérite ? ». Le poète expose

travailler Ouvriers=prisonniers : l.3 Aucuns accès à des soins sanitaires, ici représentés comme une faveur (l.23) Forte présence du champ lexical du pathétique, de la mort («yeux morts » l.8, « meurt de faim » l.21, « succombe » l.21, « mourir » l.22) de la souffrance et de la misère « malheureux »(l.6), « souffreteux »(l.7) « affaissé »(l.7), « faibles »(l.8), « désespoir »(l.10), « pénible »(l.11), « tristesse »(l.16) et « horrible » (l.25). Les nombreuses énumérations et accumulations renforcent

XXème siècle Samuel Beckett. Ce dernier incarne avec Ionesco comme dans la Cantatrice Chauve ou encore les Chaises le théâtre absurde. Dans ce texte, Beckett met en scène le tragique dérisoire de la condition humaine avec un mélange d’humour et de désespoir. Les personnages de Hamm, un aveugle paralysé, et de Clov, son serviteur, sont confrontés au néant et ils sont réduits à parler afin de tuer le temps. Ce qui caractéristique Beckett c’est que son type d’œuvre théâtrale montre à la fois la misère

Verlaine dépeint les images dans leur aspect instantané et aussi en faisant partager au lecteur l’impression qu’elles ont faite sur sa sensibilité. Cette technique subtile fait toute la modernité de ce recueil. La section Aquarelles crie les désespoirs, les souvenirs, les consolations et les espoirs fous que Verlaine nourrissait alors en pensant à Mathilde. 5)Etude du poème Beams : La présence du poète se manifeste à travers le pronom personnel «  nous ». Le pronom «  elle » met quand a lui

Antiochus présent dans le 3ème acte de la pièce et la 1ère scène de celui-ci, le personnage évoque sa peine à devoir quitter Bérénice et fait une demande à son ami Antiochus.Nous montrerons comment Racine à travers le dilemme de Titus montre le désespoir auquel le personnage fait face mais aussi comment Titus accorde de l’importance à sa gloire en demandant à Antiochus d’aller parler à Bérénice pour mettre fin à leur idylle.PARTIE 1 = Titus se plaint d’avoir un choix à faire à cause de sa position

contradictoires de Pyrrhus le pousseront, à l’aide de l’argumentation, à poser un ultimatum à Andromaque, lui promettant ainsi un destin tragique. C’est à travers le désespoir de Pyrrhus que Racine illustre la complexité de son personnage. Celui-ci hésite et ne sait que choisir : Amour ou haine ? Passion ou politique ? Pyrrhus exprime son désespoir et son mal-être tout au long de sa tirade en se lamentant, notamment à travers des questions rhétoriques qu’il pose à Andromaque : « Faut-il que mes soupirs