Champ Lexical Du Desespoir

donc un champ lexical de la nature « rocher », « ruisseau », « sans verdure », « rosée au fleurs », « arbre », « tronc »…). · Le fait que Pyrame est mort pour Thisbé, croyant qu’elle était morte, et que Thisbé se sacrifie pour Pyrame alors qu’elle avait le choix nous montre l’amour passionnel, tragique et surtout mythique des deux personnages. · A la mort de Pyrame, on a un sentiment de haine, de désespoir, de regret, de nostalgie de la part de Thisbé. « deuil », «pleurs », « desespoir », « arrache

perdre sa bien-aimé. Il évoque également, les Blancs comme des « tyrans » à la ligne 493 et des « monstres » (l.466) : des appellations péjoratives qui soulignent la dimension pathétique de la scène et la cause de leur malheur. La présence du champ lexical de la terreur avec des groupes nominaux tels que «  horrible monde » ; « dessein funeste », renforce l’atrocité des actes des esclavagistes, sans pitiés. Le terme « sort » (l.465) évoque au début de l’extrait un destin tragique et sans issue de

1) la focalisation interne de pierre verbe de perception visuelle, auditive, tactile But > connaître les pensées du personnage 2)Beauté vestimentaire > essentiel est axé sur les couleurs on a une métaphoe filée de la fleur (on relève le champ lexical de la fleur genre bouquet, prairie etc etc) Comparant : fleur, comparé : vêtement, conotation méliorative > effet picturale > Sensation agréable au niveau auditif le mot "aspirer" est métaphorique 2) vision péjorative des femmes pervesité

Quasi-disparition de la rime, poésie en prose. Symboles >suggérer le mystère (sacré, mythologie rêves: dimension spirituelle) Travail incessant sur la syntaxe au point d'être quelques fois incompréhensible. Vision désenchantée de la vie Tragique  champs lexicaux de la fatalité, de la mort, de la passion désespérée figures de style (de l'opposition en particulier: antithèses, oxymores etc.) thème du dilemme tragique Niveau de langue généralement soutenu. terreur et pitié à l’égard du héros soumis

sentiments face à la perte de sa fille. Quels sont les sentiments du poète qui ressortent de ce texte? Il s’agira de montrer l’évolution des sentiments du père en passant du désespoir au refus de la vérité. Nous montrerons tout d’abord le violent désespoir de l’auteur, ainsi que son refuge dans espoir fou. I) Désespoir Champs lexicaux : Souffrance, horreur, refus, révolte (ligne 1 à 4). 1) Evolution de sa souffrance Il décrit sa profonde souffrance 2) Registre pathétique Il souhaite toucher une

d’entrevoir, dans les méandres de sa mémoire, dans son imagination, dans un ailleurs exotique, dans une femme, dans un parfum ou une chevelure. Baudelaire choisit ce titre pour son œuvre car il parle du Spleen qui le fait sombrer dans cet état de désespoir qu'il essaiera d'exprimer à travers ses quatre poèmes intitulés Spleen. De plus il est à la recherche de l'illusion, la réalité, la laideur, l'intelligence et les synesthésies, d'un certain idéal en fin de compte. 2. Le serpent qui danse :

même s’il a tué, emporté, par la fatalité : p251/253 : il a l’impression de vivre un cauchemar, « suis-je foi », plus rien n’est sûr pour lui, il a mis un terme à des vies mais ne sait pas pourquoi : il semble être parti dans une sorte de folie, de désespoir p253 : sur sa conscience pèse la mort de Tybalt. Métaphore sur le suicide « Tybalt gis-tu là….ton ennemi ? ». Il parle aussi à Paris : il joint son destin au sien, il reconnaît leur destin fatal « mon cousin », Tybalt et Mercutio sont aussi inscrits

violente, dépression, violente détresse. Un dernier poème très fort tandis que le premier « Résignation » s'oppose à celui-ci, les 2 poèmes sont inversés. Poème à la première personne. Il va dramatiser l'immense dégoût qu'il éprouve. Etat dépressif et désespoir total. Il rejette la nature, l'art, l'homme, Dieu → désabusé. I- L'expression de cet état d'angoisse général a) La rupture est générale Angoisse donnée comme totale dès le premier vers « rien de toi ne m'émeut », dès la première hémistiche « ni »

par rapport au peu de choses que l’on sait de son physique : le portrait moral prend le dessus sur le portrait physique. Grâce au champ lexical de la souffrance, le narrateur insiste sur cette particularité de Mme Loisel : son sentiment de malheur  3 fois le verbe « souffrait »  + verbes « torturaient », « pleurait », noms « regret(s) », « chagrin », « désespoir », « détresse ».  Complexe par rapport à la bourgeoisie de son époque. «  Toutes ces choses, dont une femme de sa caste ne serait

car il reconnaît cette lâcheté de tuer des patriciens qu’il a toujours eue. Il se rend compte que l’impossible est inatteignable. Il n’est plus en phase avec l’état d’esprit qu’il a toujours eu, ce qui le panique et le déstabilise : il y a le champ lexical de la panique : il y a des points d’exclamation, il dit « oh !», les didascalies indiquent qu’il parle avec l’accent de la « détresse », qu’il crie, pleure... Il dit revenir à la raison : «Mais qu’il est amer d’avoir raison ». Mais en réalité sa