Champ Lexical Du Desespoir

véhément : . nbreuses questions . répétition de l'interpellation très directe « veux-tu donc », relayée ensuite par « songes-tu » puis « crois-tu » . présence de sonorités dures, [t] [d] [k], très marquée dans les trois premières phrases → désespoir du personnage qui présente ce meurtre comme une nécessité vitale : évocation du suicide et assimilation à un « spectre ». Ph. 4 à 6 : personnage profondément divisé et déchiré: . opposition temporelle : adverbes « aujourd'hui » et « autrefois »

déprimante dans laquelle il se trouve ( «un vent de désespoir » ligne 2) , évoquant la mort avant la renaissance du printemps ( «  abattant du bois mort » Ligne 3 , «  le lacis des branches dépouillées ») Puis évoque certainement ces souvenirs en laissant place à l’été, une saison chaude, fleurie, joyeuse, marquant l’ opposition avec l’hiver ( « Ô Soleil ! L’autre été magnifique en ta gloire »). Nous pouvons aussi trouver un chant lexical sur la Lumière : « clair»  ligne 5, « Soleil » ligne

est tiré de son recueil : Les méditions poétiques. LECTURE DE L’EXTRAIT En quoi ce poème est représentatif du lyrisme et de la supplication du temps qui passe ? Plan : L’obsession du temps qui passe. Un temps insaisissable. Champs lexical du temps « Toujours, Eternel, Jour, Année, Ages… » Métaphore filée du temps. (Carpe Diem de Ronsard) Opposition des deux parties. Imparfait puis présent. L’homme fragile et impuissant. Un temps capricieux vers 30 « Le temps m’échappe

36 et 37), le désespoir total qui ressort dans l’expression négative plus rien» au vers 38. Il y a une progression dans la souffrance jusqu’à la disparition de l’espoir. Dorante se pose donc en confident. On commence au cœur du problème, «in media res». II - Du réel à l’illusion 1 - Un état d’esprit La tirade de Pridamant nous apprend qu’il a déjà eu recours à la magie. Son attitude antérieure justifie cette dernière extrémité. Dans la tirade de Dorante le champ lexical des enfers et des

envers la narratrice l’expression d’un désespoir *anaphore "O" lyrique traduit le sentiment du désespoir    * le "O" lyrique devient plaintif a partir du v 2 « soupire », «larmes »... * «maux » v8 exprime explicitement la souffrance de la poétesse * « tristes plaints »v5 : le désespoir   2-l’expression de l’amour dans le sonnet

de Valmont. Malgré son éloignement, cet amour lui permet d’« oublier […] le désespoir » d’être rejeté (l. 25). Exprimé ainsi, il garantie sa fidélité, et flatte la destinataire qui a pu susciter « une émotion si douce et cependant si vive. » (l.29-30) Mme de Tourvel connaît son passé de libertin, et peut croire naïvement, en lisant une telle lettre, qu’il a été converti au véritable amour. - Par ailleurs, Le champ lexical du trouble, du tourment insiste sur le fait qu'il ne serait plus maître de

nombreuses révélations. I) Une scène de rébellion A) Les didascalies. Elles nous révèlent qu'Iphicrate est un être à la sensibilité vive, dont les émotions s'enflamment au fil de la scène (« après avoir soupiré/à part/un peu ému/retenant sa colère/au désespoir' »). Au contraire, Arlequin est représenté comme un être légé et jovial ('avec une bouteille'/'prenant sa bouteille pour voir'/'siffle'/'distrait'/'chante'/'riant'/'badine'). Ces stéréotypes (couple traditionnel maître/valet de la comédie classique)

travers son chant lexical : « couvercle », « cachots », « murs » « plafonds », « barreaux », « prison », « filets »... En avançant dans la lecture du poème, le climat est de plus en plus menaçant, malsain, et inquiétant notamment avec l'emploi de l'oxymore « jour noir » vers 4 mais également au champs lexical d'un climat angoissant « cachots humides », « plafonds pourris », « d’infâmes araignées », « affreux hurlements », « longs corbillards »... La mélancolie, la tristesse, le désespoir et la détresse

du couple, « d'une bienheureuse absence d'originalité, parce que le bonheur n'a rien à inventer ». Trois citations importantes représentant bien le roman « Il ne suffit pas d'être malheureux séparément pour être heureux ensemble. » « Un désespoir d'amour qui désespère de l'amour est une bien étrange contradiction » « Les hommes oublient toujours que ce qu'ils vivent n'est pas mortel. » Romain Gary serait plus ou moins d’accord avec la philosophie d’Albert Camus. Car pour Camus la

(l29) sont des impératifs ayant la valeur de conseils., ici poétique puisque l’on remarque la présence du champ lexical de l’œuvre poétique : œuvre/forme/vers/le trait. Dans ce texte, Gautier compare le poète à des Muses et des individus mythologiques. On rencontre donc le champ lexical de la mythologie et des dieux : Apollon, dieux, Syracuse, Jésus, Muse. On rencontre aussi le champ lexical de la bataille : « lutte », « son bronze », « fort ». D’après lui, la seule fonction de la poésie est la