Champ Lexical Du Desespoir

la troisième personne. Dont le texte appartient au genre narratif. Dans une première partie nous analyserons l’intention et la tonalité du texte, ainsi que la structure du texte. Plus tard, nous analyserons la situation d’énonciation et les champs lexicaux. Pour finalement se consacrer aux figures de style. Le texte présente deux type de tonalités différentes ; la tonalité pathétique et la tonalité tragique. La tonalité pathétique est déterminée avec les phrases exclamatives ligne 29 « Non, tu

prouvé par la présence d'un champ lexical de la violence physique : « lacéra, jeta, brusquement, rage, creva ». On a ainsi une frustration due à l'échec. Remarquons aussi l'énumération « têtes les plus diverses, des têtes d’anges, de vierges avec des auréoles, de guerriers romains coiffés de leur casque, d’enfants blonds et roses, de vieux bandits couturés de cicatrices » qui représente le grand nombre d'essais effectués par Laurent. Enfin, on peut remarquer le champ lexical de la volonté : « voulut

inhumain. Impatient, il n’écoute pas le prisonnier et lui dit que son discours est ennuyeux. Trait de caractère: 1 pt Explication 1.5 pts 5. a. Le champ lexical de la violence / de la mort parcourt ce passage: "trois coups de hache"; "assenés"; "entaille"; "tombait à la renverse"; "coup"; "balafra"; "enfonça"..... 0.5. Nommer le champ lexical 0.25 / relevé b. Le narrateur adopte un point de vue omniscient puisque son savoir est supérieur à celui du personnage et va au-delà de ce que

Séance n°5 : La plainte amoureuse Explication linéaire n°1 : Apollinaire, « Le Pont Mirabeau » Introduction : Le début du XXe siècle est marqué par une renaissance artistique et culturelle, une nouvelle attitude créatrice faite d’audace et d’invention qu’Apollinaire nomme en 1917 « l’esprit nouveau ». Le poète se fait le défenseur de l’avant-garde, de la modernité en poésie et en peinture. Côtoyant les artistes parisiens, consacrant de nombreux articles au Cubisme, Apollinaire rencontre

miracle 3) Le discours discours indirect= vers 29 et 6 à 8 discours direct= vers 33 à 38 ; 39 à 43 ; 44 à 49 ; 50 4) Personnification Les animaux sont moitié humain et à moitié animaux : * Champ lexical animal * Champ lexical humain + émotions humaines ( triste, colère, désespoir..) II. Une visée argumentative( instruit) 1) Une première morale digression = satire des courtisans - intervention de l’auteur et implication = « je » -présent d’énonciation = « je définis »

trouvera dans la nature pour exprimer son état d’âme de même que l’envie pressante de fuir le mal de vivre. Tout d’abord, le héros du récit a un lien privilégié avec la nature qui l’entoure. En effet, la nature présente un état de désolation. Le champ lexical en lien avec la désolation composé des mots «désert» (l.5), «automne» (l.6), «roche écartée» (l.14), «cime dépouillée» (l.13), «feuille séchée» (l.12-13), «mousse qui tremblait» (l.13-14), «jonc flétri» (l.14) met en évidence la nature triste et

réussi à sortir péniblement du désespoir et du deuil et qui souhaite montrer la voie aux autres hommes Axe II: La dimension ambiguë de cette promenade ou la transformation d'un univers réel en univers symbolique Nous pouvons comprendre que ce poème est symbolique juste en analysant sa dynamique: Le texte révèle une sorte de dualité alternée- entre par exemple la versification (rime suivie ou plate), ou encore la solitude du lieu et le bruit des travailleurs dans les champs, ou encore la solitude du

les courbes, c’est la vie. Ici, tout est rectiligne » Rectangles de granit, yeux symétriques, leurs grands-rues, square (= carré en anglais), les usines symétriques, carrefour * Géométrie qui mène à la suppression de la vie * Champ lexical de l’immensité souvent marqué par hyperbole : « canal droit marquant sa barre à l’infini », « longs quais », « monuments », « immensément  par les banlieues », à l’infini », « au long du vieux canal à l’infini », « l’immensité de la misère »

de la pièce. I : L’incrédulité de Médée qui décrit la stupeur de la femme bafouéeA) Incompréhension de Médée - Ponctuation : Enchainement d’interrogation qui traduit stupeur, incrédulité et désespoir « Et qui l’aurait pu croire ? » (v.229) « Manque-t-il de mémoire ? » (v.230) « Me peut-il bien quitter après tant de bienfaits ? » (v.231) « M’ose-t-il bien quitter après tant de forfaits ? » (v.232) « Croit-il

pensée sur les couvants de l’époque. Il utilise des marqueurs significatifs du récit pathétique et impressif comme les verbes d’action au passé (passé simple et imparfait) [il arriva un jour ; ou on la tenait enfermée] ; ils sont suivi par les champs lexicaux de la souffrance et de « l’enfer »[malheur éternel ; damnés ; enfermée ; malheur ; échevelée ; trainait des chaines]. Il exprime la douleur et les lamentations ainsi que de nombreuse exclamation émotive qui provoquent un attendrissement chez