Champ Lexical Du Desespoir

finalement rester dans l’inacceptation de la réalité des choses. D’abord, la première partie du poème illustre le tourment, la confusion et la tristesse de Victor HUGO par l’utilisation d’un champ lexical de la souffrance (« pleurai », « amèrement », « souffert », « souffrance », « malheurs », « désespoir »). Au vers 3, il attache une part de responsabilité à « Dieu » : l’auteur à besoin d’un responsable or il ne peut s’en remettre qu’à Dieu. Puis on observe une interruption de la narration qui

dimension provocante la France bien-pensante du 19è s. Les Fleurs Du Mal fera même l’objet d’un procès pour immoralité. Le poète nous immerge dans un moment douloureux de sa vie dans lequel il se sent emprisonné par son environnement jusqu’à succombé au désespoir. Nous étudierons le poème intitulé Spleen composé de 5 quatrains d’alexandrin et de rimes croisées. Notre projet de lecture sera de parvenir à démontrer comment Baudelaire parvient-il à partir de la description d’un paysage extérieur à établir

que s’ils mouraient, ils allaient mourir ensemble « J’avais toujours pensé que nous tomberions ensemble, si nous tombions »(l 22)4 Le personnage de Françoise exprime sont émotions en utilisant le champ lexical du désespoir « Ô Paul[…] Hélas Paul »(l 7, 9, 17)Le personnage de Paul utilise lui le champ lexical de l’exagération. « Les nôtres se lèvent de tous côtés […] Des milliers se lèvent qui nous replacerons » (l 12, 16)5 Les arguments de Paul pour convaincre Françoise que leur combat en vaut la peine

L'amour n'est pas mentionné explicitement dans le poème mais transparaît dans le portrait élogieux - Le sonnet commence par l'évocation du regard (vers 1) => c'est le regard qui a déclenché l'amour ? - "désirs obstinés" vers 5 => passion - Champ lexical du feu ("flambeaux ", "ardre", "feu", "étincelle") : le feu symbolise l'amour passionné II- La plainte amoureuse A- L'amour n'est pas réciproque - Répétition de "vainement" vers 3 et 4 (mise en valeur par répétition à l'hémistiche) et

les Regrets et autres œuvres poétiques, publié la même année que les Antiquités de Rome. Le sonnet dont je vais parler est le sonnet XII. Ce sonnet est un poème lyrique dans lequel l’auteur essaye de fuir son désespoir en chantant. Par un poème lyrique l’auteur essaye de fuir son désespoir en chantant. Dans un premier temps, on peut remarquer que ce sonnet est un poème lyrique. En effet l’auteur utilise plusieurs marques de la première personne telle que « je » (v1), « me » (v2), « mes » (v5)…

connaissance particulière de l’horreur de l’univers concentrationnaire, une connaissance qu’elle qualifie d’inutile dans son titre mais son écriture nous prouve le contraire. -champ lexical du corps : « bouche, lèvres, muscles », centré sur l’orifice buccal comme pour désigner le lieu de la souffrance. - champ lexical des sens : « voient, le regard, j’entends, boivent », qui semble décrire les sens exacerbés de l’auteur pendant son agonie. c. une expérience traumatisante: - l’assertion

indispensable a) réveille de la jeunesse et emploi de l'apostrophe répétitions et beaucoup de (!) l'auteur s'adresse directement à la jeunesse. C'est un discours on pourrait presque entendre la voix de zola. La répétition exprime ici le désespoir: elle attire l'auditoire, le choque pour réveiller la jeunesse. La répétition «  jeunesse » revient trois fois comme une exhortation ( = chercher à forcer l'action ). cette structure de texte revient comme un refrain. L'emploi de l’impératif

sont dans un ''wagon'', et comme l'indique le complément circonstanciel de lieu ''à onze heures du soir'', il fait nuit. Ces informations nous permettent de remarquer que le caractère de cette sortie et loin de celui d'une balade en amoureux. Le champ lexical du froid, ''humide'', ''glaciale'', '''froid'', vient accentuer le coté glacial de la scène et crée un parallèle avec l'attitude de Marthe dans ce passage. En effet, l'amour de Marthe est dans cet extrait douteux, face à la longueur de

didascalies de ce corpus sont très importantes, elles permettent de faire une graduation sur la mise en scène de l’agonie. Au début de chacun des textes, les didascalies montrent le passage du désespoir à la mort de chacun des protagonistes. Elles apportent en plus un thème et un champ lexical complet du désespoir et l’agonie qui est ressenti au cours des extraits. On peut ressentir la douleur de chaque personnage. Bien qu’écrit à divers époques, ces trois textes ont pour points communs la tragédie

constater la triste réalité des femmes de l’époque. Il est en effet possible de relever a travers le texte, la présence d’un champ lexical de la tristesse («malheureuse», «misère», «torturaient», «indignaient», «regret», «chagrin», «désespoir», «détresse») qui traduit de façon évidente la peine de Mathilde. L’accumulation de la souffrance de madame Loisel («chagrin», «désespoir», «regret», «détresse») renforce et permet de mieux percevoir un certain attristement et exaspération des femmes de l’époque