Champ Lexical Du Desespoir

mondiale et surtout dans les années 50. C’est un théâtre qui est marqué par le nihiliste ce qui consiste à ne croire en rien et marqué par le désespoir d’après-guerre. Les idéo politiques ont mené aux totalitarismes pour eux, la science a abouti à Hiroshima et les chambres à gaz. De plus ce sont des gens incroyants et donc athées, c’est donc un théâtre de désespoir. Il a aussi été appelé le théâtre de la dérision mais aussi théâtre de l’avant-garde. Sa modernité consiste dans la réversibilité à la comique

proie et ajoute de la puissance à leur propos. L'emploi quasi systématique de la ponctuation exclamative souligne quant à lui la force du désespoir des deux amants. L'impact de ces paroles brèves et emportées donne de l'élan à la scène pour mieux saisir le spectateur et l'amener à faire preuve de compassion à l'égard des personnages. L'emploi du champ lexical de l'amour et de la mort vient dessiner les contours du drame qui se joue sur scène : deux jeunes amoureux à peine mariés vont devoir faire

didascalies de ce corpus sont très importantes, elles permettent de faire une graduation sur la mise en scène de l’agonie. Au début de chacun des textes, les didascalies montrent le passage du désespoir à la mort de chacun des protagonistes. Elles apportent de plus un thème et un champ lexical complet sur le désespoir et l’agonie qui est ressentie à chaque instant par les indications données par les didascalies. On ressent la douleur de chaque personnage. Dans le texte de Hugo « joignant les mains ; toujours

prendre. En effet, dès les premiers vers du premier dizain, en se servant d’une hyperbole, Rodrigue nous décrit le sentiment de désespoir dans lequel il se trouve : ‘Percé jusques au fond du cœur’ (v1) ‘D’une atteinte imprévue aussi bien que mortelle’ (v2) Il exprime ainsi ses sentiments tels qu’il les voit et les ressent. De plus, l’emploi du champ lexical de l’affectivité souligne l’appartenance de ce texte au registre lyrique (poétique). ‘amour(v12), maîtresse(v13), cœur(v14), flamme(v15)’

le cas pour la présence du champ lexical de la peine ( « triste » ) qui ne fait qu'amplifier son état dépressif. Par ailleurs, l'intensité de la souffrance qu'il ressent ne cesse d'augmenter au cours du poème. On voit une gradation ascendante des expressions « longs ennuis » (v.2), en passant par les « affreux hurlements » (v.14) pour terminer avec « geindre opiniâtrement » (v.16). Alors, on peut remarquer que Baudelaire semble ressentir un grand sentiment de désespoir compte tenu de son état psychique

tragique ne craint pas de braver. | Dans la tragédie : la terreur et la pitié. La catharsis (purgation des passions) | La fatalité, le destin, la mort, la puissance des passions, le désespoir, l'amour impossible, les dilemmes, la menace, le châtiment. | Champs lexicaux de la fatalité, de la mort, de la passion désespérée, figures de style (de l'opposition en particulier: antithèses, oxymores etc.), dilemmes tragiques. Niveau de langue généralement soutenu. L'écriture peut

exploits extraordinaire d’un héros-suscité l’admiration en amplifiant-exalter la valeur de grandes actions de l’héroïsme. | La caractéristique principale : tous ce qui tant à amplifié les individus et les choses.Lexique laudatif (qui fait l’éloge) :Champ lexical du courage, de la force, de la beauté, de l’intelligence …Nombreuses figures de style : hyperboles, personnifications, énumération, superlatif.Autres indices : souvent intervention du surnaturel, les personnages sont souvent stéréotypé et sans

THEATRE: Hernani ( Victor Hugo 1830 ) souffrance : cruelle v.1 souffre v.4 desespoir v.7 tournement + souffrir v.8 douleur v.12 vie d'abimes v.13-14 souffre v.18 la mort : poison v.2 pale v.6 fatalité v.7 monde meilleur v.11 tout est sombre mort v.3 Donné V.21 il se tue : didascaliee " voie qui s'eteint" amour: amant v.3 nuits de noces v.5 + v.21 fiancée v.6 baiser v.12 il s'embrassent bonheur : v.9 bénice sous le ciel TEXTE 1 (15): Hernani acte 5 scène 6 - HUGO

broussailles", "à gauche", à droite", "un plateau vide" article indéfini "un"/ "une"/ "des" champ lexical de la peur "un train arrivait, grondant, flambant" Le train semble être une sorte de créature de l'enfer, reflet des émotions de Lantier, coincé dans son enfer personnel. "tout ce monde qui passait, le continuel flot.... tandis que lui agonisait, là!" opposition tout// lui métaphore "continuel flot" champ lexical de l'enfermement Le personnage, bien qu'en plein air, se sent enfermé, prisonnier: mais

identité, anonyme. pas de description physique, ou bien celui-ci est évoqué uniquement pour décrire son état qui revient à la faim « tête couleur de poussière » . Champ lexical de la nourriture omniprésent « œuf » « tête de bœuf » « sauce de vinaigre » « sardines »… Son portrait moral est aussi caractérisé par à ce champs lexical «dans la mémoire de l’homme» «titube» , scène pathétique. souffrance de l’homme (répétition de dur «œuf dur », « ca ne peut pas durer » « ca dur ») point de vue de