Champ Lexical Du Mot Pitié

« parfum mélangé de musc et de Havane » v.2 qui est un parfum exotique, mais rappelle aussi une féminité sauvage. La femme noire de peau, « brume » v.1, est aussi une référence à son exotisme puisqu’elle est issue des iles avec l’emploi du champ lexical du mot noir : « brume » v.1, « ébène » v.4, « noirs minuits » v.4, « yeux noirs » v.9. On note également la présence de termes qui évoquent un monde éloigné tels que « Havane » v.2, « savane » v.3, et « ébène » v.4. Par là l’auteur veut évoquer quelque

sentiment de pitié, de compassion chez le lecteur ou bien une émotion violente pour le convaincre ; pour cela l’auteur utilise des figures de style de formes rhétoriques, comme les questions rhétoriques qui impliquent le lecteur dans le récit et qui le fait réagir sur les événements, mais aussi les figures de style liées à l’exagération comme l’hyperbole qui intensifie, amplifie le mot ou le groupe de mot utilisé, et de plus la ponctuation à dominance exclamative. Et pour instaurer la pitié, il utilise

s'apitoie sur son sort en répetant à trois reprises le mot: « Hélas » (L. 7, 21 et 22) qui exprime le regret et la douleur qu'il ressent, et « Jamais » (L. 22), montrant qu'il pense que sa douleur est irreversible. En s'exclamant : « je suis un monste, je suis un monstre » (L. 21), Bérenger accentue la pitié qu'on lui porte. On a donc bien affaire à un registre pathétique, le sentiment de compassion et celui de pitié sont développés avec le champ lexical de la souffrance morale analysé ci-dessus. En paralléle

les aspects sonores en ne laissant paraître que les sons douloureux des supplices infligés aux forçats qui semblent rester silencieux et qui ne contestent pas.       Outre ce silence, on assiste aussi à une déshumanisation des prisonniers. Le champ lexical employé par Victor Hugo fait de nombreuses fois référence à la mort et à la déshumanisation : « entassées » (l1), « livides » (l1) : un terme indiquant la pâleur des cadavres, « les pieds nus » (l2), « funèbre » (l4) et « misère » (l3, l30) qui

répliques s’appellent des stichomythies. Division en actes et scènes.Théâtre classique est parfois versifié.-Quel sens a le mot cœur dans la bouche de Don Diègue ? L’expression « avoir du cœur » n’a pas le sens qu’on lui donne aujourd’hui (avoir pitié, aider les autres) ; elle signifie dans la réplique initiale plusieurs choses : -avoir le courage de laver l’affront subi par son père

Registre littéraires Comique : faire sourire ou rire souvent dans un but de critique Procéder du comique : : Répétition ; comique de geste , comique de mot Satirique : Rire et moquerie .Portrait caricatural , description d'un époque en mettant en évidence ces défauts Procéder du Satirique : moquerie d'un personne ou d'une institution , vocabulaire réaliste et familier parfois péjoratif , la caricature , les formes ironiques Ironique : Critique au second degré qui rend le lecteur

générique et profusion de pluriels - Personnification des valeurs héroïques et des valeurs collectives - Champ lexical manichéen (la Bien, le Mal, etc.) | Susciter l'admiration du lecteur face à la relation d'exploits sublimes et surhumains | Fantastique | - Expressions à double sens - Implication du narrateur - Suspense de narration - Constructions interrogatives - Champs lexicaux du doute, de la peur, de l'extraordinaire, de l'inexplicable et du fabuleux | Déstabiliser le lecteur en ébranlant

terreur et pitié chez le spectateur). La problématique seras, Comment Thésée apprend la mort de son fils et comment Théramène lui explique t-il ? Pour traiter ces question, nous interrogerons à pourquoi Thésée se rend coupable de la mort de son fils puis à comment Théramène explique à Thésée la mort de son fils. I°) Thésée se rend coupable de la mort de son fils A) Thésée affronte la mort de son fils, Hippolyte, avec Théramène son confident. Répétition du mot «fils» champs lexicale de la

« J'exècre » (l.15); « Moi! » (l.29); « je suis » (l.30). Avec le champs lexical de la misère, il présente le décor, faisant du poème un texte sombre et triste: « misère »; « boue »; « peste »; « goule ». Une accumulation insiste sur ces conditions misérables, ce qui donne au texte une tournure pathétique. Son texte veut faire passer un message, comme un appel de détresse, il fait ressortir la misère. Ce texte inspire donc la pitié. Elle permet de nous dresser le tableau de la vie urbaine, et le

genre de la comédie et peut donc prendre plusieurs formes. Pathétique : Le registre pathétique cherche à provoquer l’émotion du lecteur, il fait pitié et donne envie de pleurer. Les thèmes sont donc associés à la souffrance comme la mort, la maladie, la séparation. Il est facilement perceptible dans les textes en prose et en vers grâce aux champs lexicaux de la souffrance et de la mort, aux figures de style comme les métaphores, les hyperboles qui intensifient l’émotion, les ellipses qui traduisent