Champ Lexical Du Mot Pitié

un petit village de Lorraine. Cette extrait est un texte qui comportent des champs lexicaux, des procédés, un cadre spatio-temporel pour renforcé les axes de lecture. La problématique est a suivante : Par quel procédés l'auteur évoque la réalité de la guerre ? En quoi cette extrait passe d'une rumeur a la réalité de la guerre ? Dans le 1er axe nous analyserons une rumeur au village par des procédés et des champs lexicaux. Ensuite dans le 2ème axe nous étudierons la guerre une réalité. . 1er

extrait de leur discussion. Et je constate aussi que Marceline n'est pas subjective car je retrouve dans le poème des phrases comme « une grâce insolente », « il était moqueur » « plein d'orgueil ». Nous trouvons dans le rapport au monde un champ lexical des sentiments : « impatience », « léger comme l'oiseau qui siffle avant d'aimer », « par bien des pleurs », « joyeux », « en colère », « quand vous rirez », et bien d’autres. Ce qui me permet d'arriver à la conclusion que le registre est un

évocations des parties du visage : « lèvres », « bouche », « oreilles » et du champ lexical des sensations : « doux », « goûts », « goûter », « frisson », « bruit ». 2) La poésie lyrique. -figure de style ; « Ce gout de cœur », « Ce bruit d’abeille », « fleur sans pareille » (métaphore), « Cet instant infini » (oxymore), « J’eus comme Buckingham », « j’adore comme lui », « comme lui » (comparaison). -champs lexical de l’amour ; « baiser », « doux », « badinage », « baiser », « frisson »

l’énonciateur souhaite donner à sa phrase, à son récit. Il est possible de prendre connaissance de ces figures de styles dans les textes étudiés en cours. 1.1) Les figures d’atténuation a) L’euphémisme L’euphémisme correspond à l’atténuation d’un mot afin de donner à une phrase une tournure adoucie lorsque l’on veut évoquer une pensée choquante, brutale ou désagréable. “Elle nous a quitté il y a peu”. Ici, cela inclus le décès d’une personne, ainsi le verbe quitter renvoi au terme mort. b) La litote

En effet, le champ lexical est celui de la guerre. Au vers 2 on peut voir « char » et « gardes » qui sont des outils pour la bataille. Il y a aussi la présence des coursiers qui sont les chevaux que l’on utilise pour se battre. On peut également noter la présence d’armes non seulement celles de l’apparition monstrueuse au vers 20 (« Son large front est armé de cornes menaçantes ») mais aussi celles du vaillant Hippolyte aux vers 31 et 32 : « ses javelots » et son « dard ». Le mot « armer » apparait

Racine attribut à Phèdre des mots du champ lexical de l'amour tels que : « cœur, déclarée, époux, ardeur, amour, languis, brûle, aime, adorateur, fidèle, amante » qui créent un climat passionné. De la tristesse et la culpabilité de Phèdre par le champ lexical: « douleur, retire, éloigne, douleurs, larmes, alarmes, mort, attaquent, cris, tremble, nuire, inimitié, souffrir, séparée, offense, peine, haine, pitié mort, ennemis, crains » . Ainsi que du champ lexical de la mort : « Achéron, proie, sombre

qui va suivre.Le 2ème paragraphe est marqué par le champ lexical de l'esprit : « pensées », « âmes », « rêve » et fait une description très détaillée de l’endroit où ils se trouvent. De cette façon, il expose sa situation émotionnelle ainsi que son état d’esprit au moment où les faits se sont passés. Ceci permet à son interlocutrice et au lecteur de mieux comprendre la progression de l'évènement qu'il va décrire par la suite.Une anaphore du mot « neuf » nous permet de comprendre, dans le 3ème paragraphe

les champs lexicaux de la mort et des aléas du sort, comme au vers 21 avec « funèbres » ou au vers 2 avec « malheur ». De plus, il emploie le champ lexical du corps et des cinq sens, comme au vers 8 avec « yeux » ou au vers 26 avec « tête ». Ces champs lexicaux combinés nous montrent qu’Hernani perçoit comme une malédiction autour de lui, qui lui pèse sur le cœur. De plus, le personnage est solitaire, comme nous l’indique le vers 13 : « Je n’ai plus un ami qui de moi se souvienne ». Les champs lexicaux

d’amour partagés entre les deux personnages. L’injonction : l’emploi fréquent de cette modalité dévoile nettement une certaine intimité ou complicité chez les deux personnages : Punis-moi par vengeance, ou du moins par pitié (…)Force-les au silence, et, sans plus discourir,Sauve ta renommée en me faisant mourir.Confidences : Ce dialogue entre Chimène et Rodrigue est une forme de confidence : les deux personnages se livrent tous les deux dans un langage

1486, 1489, 1495) = champ lexical de la mort : « mortels », « périr », « trépas ». = « rôle » des Dieux B- Regret de Thésée = « quand je lui tends les bras » v.1495 = regrette d’avoir fait appels aux Dieux II- Un récit tragique A- Le récit 1) La structure du récit = Présence d’un schéma narratif traditionnel : Situation initiale, élément perturbateur, péripéties, élément de résolution, situation finale. 2) Suspense dans le récit = 10 vers avant l’apparition du mot « monstre » = Réplique