Champ Lexical Du Regard Apparition

rieuse et ridée, un menton court, fièrement relevé, garni d'une barbe grise taillée en pointe, des yeux vert de mer ternis en apparence par l'âge, mais qui par le contraste du blanc nacré dans lequel flottait la prunelle devaient parfois jeter des regards magnétiques au fort de la colère ou de l'enthousiasme. Le visage était d'ailleurs singulièrement flétri par les fatigues de l'âge, et plus encore par ces pensées qui creusent également l'âme et le corps. Les yeux n'avaient plus de cils, et à peine

RDV n’est pas précisé pour laisser de l’ambiguïté. v9 : enjambement : montre que tout va se faire et s’installer. v10 : « placer » → protocole. v11 : intervention du narrateur : vous pensez bien que tout le monde y était. Invite le lecteur à regarder la scène et à porter lui-même son jugement. v12-13-14 : Passé simple. 3 vers comme un écho aux cris du lion qui montrent sa douleur. « Prince » terme humain, « antre » terme animal. « abandonna » montre qu’il ne maitrise pas ses sentiments. v14

Baudelaire ) triste et maussade. Dans le poème Soleil, le poète expose une vision de la ville plus nuancée que dans Rêve parisien ( contraste blanc/noir ). Il décrit un paysage de ville et de champs, tous rassemblés par le soleil : «  Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés / Sur la ville et les champs (...) » (l.3-4), et parle de lui, poète, en comparant son activité,« Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime » (l.5 ) avec son entourage urbain ; « Trébuchant sur les mots comme sur les

fable er de la fable elle-même puisque ni le titre ni le début de la fable ne permet de deviner la leçon finale.Les mouvements du texte Premier mouvement : Vers 1 à 4 : mise en place de la description et circonstance du départ de « Un Rat, hôte de champs ... Abandonne son trou »Deuxième mouvement : Vers 5 « sitôt hors de la case …. Ses yeux » première expérience du rat et démonstration de son ignoranceTroisième mouvement Vers 9 à 20 « en un certain canton …. Jusqu’aux dents » : évolution de l’attitude

l’intérieur de ses perceptions et de sa conscience : « Puis des voix humaines s’élevèrent […] Il se sentait à ce moment presque croyant… ». « La foule coulait devant lui comme un fleuve. » Madame de Marelle est décrite à travers ses yeux lors de son apparition : « « Soudain il aperçut Mme de Marelle… » : grâce à la focalisation interne, le lecteur peut entrer dans l’intimité de ses pensées. A ce moment-là, il est « Georges » (« Georges pensait :… »). 2) La consécration du héros par le public

nature/le paysage/l’environnement comme source de bonheur Une vie Moussait comme du champagne : comparaison > nature est une fête Le passage des dauphins : champ lexical du jeu et de l’enfance (queue leu leu, gambader, joujou) + « faire escorte » (lien très fort qui se noue entre Jeanne et les dauphins cad l’élément naturel) + « apparition » (cf le passé simple + « soudain » = moment d’accélération dans le récit)  la phrase qui résume tout : « son cœur bondissait comme eux dans une joie folle et

fantastique manifeste un scandale, une déchirure, une irruption insolite, presque insupportable dans le monde réel. » Ainsi, un texte fantastique se reconnaît par un début réel, où tout est logique et réel. Ensuite, un élément mystérieux fait son apparition, l’histoire plonge dans un climat irréel, le personnage puis le lecteur doute. Deux interprétations sont possibles : premièrement, le personnage est fou, rien de tout ce qui s’est passé n’existe, le personnage a imaginé tout cela. Ceci est donc

fonction dramatique. Dans un premier temps nous allons voir le texte de Marivaux, les fausses confidences, 1737. Le texte est fait l’objet d’un jeu scénique discret puisque se sont dans les actes de Dorante « cherchant du papier », et dans le champ lexical de la lettre : « la table », « du papier », « écrire ». Cela permet la mis en place de ses élément important a la pièce lors d’une représentation. De plus le texte a une valeur dramatique puisque Araminte cherche à rendre jaloux Dorante en le faisant

Quelle impression cela donne-t-il du personnage ? c) Comment sa médiocrité apparaît-elle néanmoins ? 3. Les femmes et l’argent a) Le rapport du héros avec les femmes est esquissé dans cet extrait : qu’est-ce qui le caractérise ? b) Relevez le champ lexical de l’argent dans le passage : que nous apprend-il sur la situation du héros et sur ses habitudes ? c) La focalisation change dans l’extrait : repérez les passages où se manifeste un narrateur omniscient et ceux où domine la focalisation interne

meurtre de Camille - la décision d’éliminer tous les survivants de cette histoire : * meurtre du chat François * tentatives d’assassinats mutuels - dénouement avec le suicide des deux mariés - situation finale : Satisfaction de Mde Raquin qui regarde immobile et savoure le suicide de Thérèse et Laurent. La gestion du temps dans ce roman L’essentiel de ce roman se fait sous la forme linéaire ( = chronologiquement.). L’histoire dure six ans. Zola exprime clairement la durée ( 5 mois après