Champ Lexical Le Diable Au Corps

de la jeune fille, cet idéal sert de modèle d’étalon de comparaison • champ lexical du sacré « culte,idéal » • champ lexical de la vérité «  la jeune fille, la vraie » c’est une fille qui brille dans les activités mondaines même si en parallèle elle fait des études • allusion aux amies et surtout Zaza, la meilleure amie de Simone qui accepte le rôle mondain qu’on lui demande d’assumer. • Champs lexical de la vie mondaine en société : « au jour de leurs mères, dans les salons »

repentir sincère, à la pénitence que le saint homme que voici lui a imposée, et aux commandements de l’Église en quoi elle a cru, m’a donné le pouvoir de connaître l’avenir. » Merlin, Le Livre du Graal, Pléiade Expliquez pourquoi le passé est dû au diable et l’avenir, à Dieu. Gallimard jeunesse 2 Michael Morpurgo / Le roi Arthur FOL IO JUNIOR Le roi Arthur français Fiche 1 Dominante : lecture Séance 1 suite Illustration Henri Galeron IV — L’enfance d’Arthur (suite)

l’organe biologique pour désigner toute la personne. Dans d’autres contextes, le mot peut aussi être une métonymie pour désigner le courage, les sentiments et l’affectivité. 22. Identifiez et expliquez le comique de mots au vers 124. L’expression « corps défendant » signifiant malgré elle, crée une opposition entre la pudeur et le désir de plaire. 23. Identifiez et expliquez les deux figures de style que contient le vers 140. L’expression « penchant de l’âge » est une métaphore où la vieillesse est

l’organe biologique pour désigner toute la personne. Dans d’autres contextes, le mot peut aussi être une métonymie pour désigner le courage, les sentiments et l’affectivité. 22. Identifiez et expliquez le comique de mots au vers 124. L’expression « corps défendant » signifiant malgré elle, crée une opposition entre la pudeur et le désir de plaire. 23. Identifiez et expliquez les deux figures de style que contient le vers 140. L’expression « penchant de l’âge » est une métaphore où la vieillesse est

d’enlèvement, le dramaturge présente le duc au spectateur sa vulgarité et son mépris des femmes. La vulgarité d’Alexandre se voit dès ses premières répliques. En effet, le personnage ne cesse de jurer. On peut relever les jurons « un froid de tous les diables » « Entrailles du pape ! » ou encore « sacrebleu ». De plus, son attitude apparait particulièrement méprisante envers les femmes. La jeune fille qu’il est venu d’enlever n’a pas de nom, ce n’est qu’un pronom personnel. Plus loin, le duc fait également

de la connaissance humaine. Gargantua de Rabelais est un ouvrage qui représente de façon intéressante ces idéaux de l’humanisme, puisque l’auteur fait de son personnage de géant un symbole possible de l’homme de la Renaissance, au corps et à l’âme unis dans la soif de savoir et de créer, de comprendre et de croire. Le chapitre 57 présente la vie à l’Abbaye de Thélème que Gargantua a fait construire selon le goût de Frère Jean, pour le remercier de son aide lors de la guerre picrocholine

libres, comme plusieurs personnages. Elle s’assure donc une place de choix dans le roman de Marie-Claire Blais. La grand-mère, par son affirmation et par sa façon de diriger la maison s’inscrit aussi comme une figure matriarcale imposante. Le champ lexical utilisé pour la décrire est d’ailleurs relié à la royauté. Tout d’abord, il est évident que Grand-Mère Antoinette n’a pas peur de donner son opinion sur les choses de la maison, notamment en ce qui a trait au sort réservé à Jean le Maigre. À son

nourrir une critique de la connaissance humaine. Gargantua de Rabelais est un ouvrage qui représente de façon intéressante ces idéaux de l’humanisme, puisque l’auteur fait de son personnage de géant un symbole possible de l’homme de la Renaissance, au corps et à l’âme unis dans la soif de savoir et de créer, de comprendre et de croire. Le chapitre 57 présente la vie à l’Abbaye de Thélème que Gargantua a fait construire selon le goût de Frère Jean, pour le remercier de son aide lors de la guerre picrocholine

lequel on retrouve Médée sous un jour beaucoup moins favorable. Les élèves ont pour taˆche de repérer dans le premier paragraphe du texte les reprises nominales qui désignent Médée (« l’astucieuse Colchidienne », « la magicienne »), ainsi que le champ lexical de la tromperie qui caractérise son comportement (« ourdir ses ruses », « simule faussement », « séduire », « mensongère amitié », « paraît hésiter », « feint effort »). Le même personnage qui a sauvé le père de son mari utilise cette fois le pouvoir

à une seule. Le tableau ci-dessous récapitule les principales composantes et notions présentes dans chaque texte : Séances S1 Supports Composantes ou techniques narratives étudiées Notions liées au fantastique étudiées Symbolique de la mort et du diable. Antithèse fête et mort. Humour noir. Discours à double entente. Le Convive des der- Unités et séquences nières fêtes, p. 39- narratives. 72. Histoire et narration (énigme, analepse). Focalisation interne. Relais de narration. VÉRA ET AUTRES