Chrysippe

Thucydide (470 ?-400 ? A.D.) L’école socratique : Socrate (470-399 A.D.), Xénophon (430-355 A.D.), Platon (427-347 A.D.), Aristote (384-322 A.D.) Epicure (341-270) Les cyniques : Diogène (413-327 A.D.) Les stoïciens : Zénon de Cittium (335-264), Chrysippe (280-206 A.D.) Les sceptiques : Pyrrhon d’Elis (365-275), Carnéade (215-129) L’ECONOMIQUE ( OIKONOMICOS) de Xénophon (vers – 380 A.D.) Xénophon n’est pas un philosophe mais il fut le disciple de Socrate. Officier puis grand propriétaire foncier,

ignore le titre exact de l’oeuvre d’Archéstrate qui se présentait sous forme de poème et a été composée aux alentours de -330. D’après Lyncée et Callimaque, elle s’intitulait Hédypathie (qu’on pourrait traduire par Les plaisirs de la table), selon Chrysippe Gastronomie, selon d’autres L’art de dîner voire L’art de la bonne cuisine. Le poème d’Archéstrate contient malheureusement peu de recettes. Combiné avec d’autres sources (par exemple, les documents culinaires latins qui reprennent des spécialités

éducation soignée en Syrie ; puis il suivit ses deux frères : Cosme et Chrysippe, en Palestine, où ils devinrent les premiers disciples de saint Euthyme [20 janv.], malgré le jeune âge de Gabriel et sa condition d’eunuque. Il devint par la suite prêtre de la Basilique de la Résurrection et higoumène du monastère féminin de Saint-Étienne, fondé par l’impératrice Eudocie, tandis que Cosme s’illustrait comme évêque de Scythopolis et Chrysippe comme gardien de la Précieuse Croix. Au bout de vingt-quatre ans

Grec, Chrysippe, un philosophe grec de l’école stoïcienne ( 281-205 av. J.-C. ), qui ouvre son ouvrage intitulé De la loi : « La loi est la reine des choses divines et humaines. Elle est celui qui se tient devant les bons comme les mauvais, le magistrat et le chef et, ainsi, elle est le canon de la justice et de l’injustice, une prescription de ce qui doit être fait tout comme une proscription de ce qui ne doit pas l’être »[72]. Chrysippe emploie

familles indigentes qui ne se chauffent point pendant l'hiver, qui n'ont point d'habits pour se couvrir, et qui souvent manquent de pain; leur pauvreté est extrême et honteuse. Quel partage! Et cela ne prouve-t-il pas clairement un avenir? 27(V) Chrysippe, homme nouveau, et le premier noble de sa race, aspirait, il y a trente années, à se voir un jour deux mille livres de rente pour tout bien: c'était là le comble de ses souhaits et sa plus haute ambition; il l'a dit ainsi, et on s'en souvient. Il

indigentes qui ne se chauffent point pendant l’hiver, qui n’ont point d’habits pour se couvrir, et qui souvent manquent de pain ; leur pauvreté est extrême et honteuse. Quel partage ! Et cela ne prouve-t-il pas clairement un avenir ? 27(V) Chrysippe, homme nouveau, et le premier noble de sa race, aspirait, il y a trente années, à se voir un jour deux mille livres de rente pour tout bien : c’était là le comble de ses souhaits et sa plus haute ambition ; il l’a dit ainsi, et on s’en souvient

indigentes qui ne se chauffent point pendant l’hiver, qui n’ont point d’habits pour se couvrir, et qui souvent manquent de pain ; leur pauvreté est extrême et honteuse. Quel partage ! Et cela ne prouve-t-il pas clairement un avenir ? 183 27(V) Chrysippe, homme nouveau, et le premier noble de sa race, aspirait, il y a trente années, à se voir un jour deux mille livres de rente pour tout bien : c’était là le comble de ses souhaits et sa plus haute ambition ; il l’a dit ainsi, et on s’en souvient.

familles indigentes qui ne se chauffent point pendant l'hiver, qui n'ont point d'habits pour se couvrir, et qui souvent manquent de pain; leur pauvreté est extrême et honteuse. Quel partage! Et cela ne prouve-t-il pas clairement un avenir? 27(V) Chrysippe, homme nouveau, et le premier noble de sa race, aspirait, il y a trente années, à se voir un jour deux mille livres de rente pour tout bien: c'était là le comble de ses souhaits et sa plus haute ambition; il l'a dit ainsi, et on s'en souvient. Il

fait s’explique. Vous voyez ma modération. Je sépare le vrai du faux. Tenez, voici d’autres erreurs que vous partagez sans doute, pauvres gens du peuple, et dont je désire vous dégager. Dioscoride croyait qu’il y avait un dieu dans la jusquiame, Chrysippe dans le cynopaste, Josèphe dans la racine bauras, Homère dans la plante moly. Tous se trompaient. Ce qui est dans ces herbes, ce n’est pas un dieu, c’est un démon. Je l’ai vérifié. Il n’est pas vrai que le serpent qui tenta Ève eût, comme Cadmus

fait s'explique. Vous voyez ma modération. Je sépare le vrai du faux. Tenez, voici d'autres erreurs que vous partagez sans doute, pauvres gens du peuple, et dont je désire vous dégager. Dioscoride croyait qu'il y avait un dieu dans la jusquiame, Chrysippe dans le cynopaste, Josèphe dans la racine bauras, Homère dans la plante moly. Tous se trompaient. Ce qui est dans ces herbes, ce n'est pas un dieu, c'est un démon. Je l'ai vérifié. Il n'est pas vrai que le serpent qui tenta Ève eût, comme Cadmus