Cible Ray Ban

produit, nouvelle outil de communication du XXe et XXIe siècle revu et exposé par des élèves de l’école de Gestion et de Commerce de Guyane. EGC Guyane 1ere Année Sommaire INTRODUCTION 3 I – LE CONTEXTE DU PLACEMENT DE PRODUIT AU CINEMA 4 La cible cinéma 7 La technique du placement de produit 8 Le temps d’exposition 11 II – LES RETOMBEES DU PLACEMENT DE PRODUIT AU CINEMA 12 Les coûts 13 La législation 15 L’impact sur le public 17 CONCLUSION 22 ANNEXES 23 INTRODUCTION L

Sommaire I. Histoire de la marque…………………………………………………………………..3 II. Perrier et sa stratégie mono-produit……………………………………………………4 1. Sa segmentation 2. Sa cible……………………………………………………………………………..5 3. Son positionnement Perrier et sa stratégie de gamme………………………………………………………..6 III. 1. Marché de l’offre 2. Marché de la demande……………………………………………………………...7 a. Les différents produits de la marque b. Les différents cibles...................................................................

étoffer   sa   gamme,   Luxottica   augmente   son   portefeuille   de   marque   en   effectuant   des   rachats   (exemple  :  Ray  Ban  en  1999,  l’entreprise  avait  donc  ajouté  une  ligne  de  produit  de  plus  à  sa  gamme   solaire  haut  de  gamme  et  correction  haut  de  gamme).  Elle  a  donc  plusieurs  marques  :  des  marques-­‐ produit  comme  Ray  Ban,  des  marques-­‐griffe  comme  avec  Chanel  et  des  marques-­‐caution  :  Luxottica   ou  Persol.   Gestion  de  sa  gamme  :

fidèle avec les digital native.“ La musique commence là où s'arrête le pouvoir des mots. , Richard Wagner ”SOMMAIRE I. LES DIGITAL NATIVES ET LEUR NOUVEAU RAPPORT AUX MARQUES 2 1. QUI SONT LES DIGITAL NATIVES ? 2 2. UN POUVOIR D’INFLUENCE EN OR : UNE CIBLE À FORTS ENJEUX 4 3. UN COMPORTEMENT DISRUPTIF FACE AUX MARQUES 8 4. LES DIGITAL NATIVES : UN REFUS DU MARKETING TRADITIONNEL DES 4P, MAIS UNE SENSBILITÉ AUX MARKETING DES 4E 14 II. LA MUSIQUE EN COMMUNICATION ET MARKETING 19 1. ETAT DES LIEUX DE L’UTILISATION

système de licences, quasiment toutes les marques fabriquent leur deuxième ligne ou leurs accessoires sous licence. Pourquoi un tel succès ? Partage des couts Elargir son domaine d’activité Production de nouveaux produits Elargissement de la cible Pénétration de nouveaux marché Introduction le monde la mode et les licences Les grands acteurs licenciés : 5 + grands quelques chiffres dans la mode Luxottica L’Oréal : Fondée en 1909, CA : 17 milliards 473millions en 2009, leader mondial de

pays européens (1% en France, soit un marché de 50 millions d’euros). Autorisée depuis 2009, la vente en ligne de lunettes a fortement progressé. Sources : Choisirseslunettes.com C) La concurrence : Un marché dominé par les fabricants italiens Ray-Ban, Prada, Chanel, derrière ces quelques marques se cache un seul et même fabricant, le mastodonte italien Luxottica, leader incontesté de la lunetterie solaire avec une croissance à deux chiffres en 2006 (+ 13 % de chiffre d'affaires et + 30 % de résultat

dans la ville depuis une dizaine d’année. Sa notoriété dans la commune est donc réelle. Cependant, elle n’est pas une concurrence directe pour les « Opticiens Mutualistes » puisque le magasin vend des produits considérés comme haut de gamme. Leur cible est donc la population aisée. Leur concept est en opposition avec les mutualistes puisqu’il reçoivent leur clientèle principalement sur rendez-vous. On remarque aussi que le style du magasin est travaillé avec de l’ameublement chic et des matériaux

Quel genre de cibles : Cible en B to C, B to B, Cible acheteur ou consommateur, Les prescripteurs Cible unique ou multiple : {text:list-item} Une cible unique et large. Exemple : Heinz ou Gilette. Peu d’hétérogénéité de la demande {text:list-item} On repère les cibles intéressantes, et on applique un marketing différencié Exemple : Coca, Renault, Toyota Forte ou normale hétérogénéité de la demande {text:list-item} Cible unique et étroite

les 5 milliards d’euros en 2008. Le groupe s’occupe aussi bien e la réalisation et du design de ses montures que de la distribution de celle-ci, ce qui fait de lui un compétiteur très fort sur le marché. Il possède différentes marques de luxe ( Ray-ban , Persol, Oakley, Vogue) mais aussi plusieurs licences de marques de luxe ( Chanel, Versace, bvlgarri, Burberry, D&G, Prada, Ralph Lauren). SAFILO est le second plus grand producteur de monture de luxe. Crée il y a 75 ans par un allemand

tiers des volumes vendu et que Smith et Norbu n’est pas présent sur ce segment. Enfin le prix moyen d’une monture s’élevait à prés de 138 euros, plaçant ainsi directement notre enseigne dans le très haut de gamme. Le marché français est donc une cible bien choisi car il a un bon avenir devant lui. Par ailleurs, la France, renommé mondialement pour son luxe et son élégance « a la françaises » devrait fournir de nombreux consommateurs qui accueilleront avec engouement une marque haut de gamme se reposant