Civ 1ère 14 Juin 2005 La Filiation

--| Section 1 : La rupture du concubinage --| Section 2 : La rupture du PACS • DEUXIEME PARTIE : L'ENFANT *Titre 1 : La filiation ou le rattachement de l’enfant à sa famille Chapitre 1 : La filiation biologique --| Section 1 : Les règles générales --| Section 2 : L’établissement non contentieux de la filiation --| Section 3 : Les actions relatives à la filiation *** Introduction Essai de définition : La notion de famille fait entrer en jeu des personnes et des liens entre elles. Mais

un projet parental, a certaines conditions l'embryon peut être utilisé peut être utilisé pour faire des recherche expérimental, scientifique. Loi de 1974, autorise la fin de la conservation des embryons surnuméraires. Cour adm de Douai, 6 déc 2005, peut on réparer la perte d'un embryon ? Tant que l'embryon n'est pas rattacher a une mère on ne peut pas parler de préjudice. B/Infans conceptus vient du droit romain «  la personnalité juridique va préexister a la naissance chaque fois qu'il

trouvent sinon en conflits, du moins en concurrence. Exemple 1 : deux personnes canadiennes se marient en RDC. Le mariage sera-t-il soumis au Code Civil Canadien, ou bien est-ce que ce mariage sera soumis à la loi du lieu de célébration du mariage ? 14 Exemple 2 : un Congolais achète en Afrique du Sud un château à Londres et le contrat est signé en Suisse. Qu'elle est la loi applicable ? Celle du lieu de signature du contrat ? Celle de la nationalité des signataires ? Du lieu de l'immeuble ?

pratique des preuves en droit civil et en droit criminel, 2e éd. 1852. – R. LEGEAIS, Les règles de preuve en droit civil, permanence et transformation, LGDJ, 1955. – X. LAGARDE, Réflexion critique sur le droit de la preuve, LGDJ, 1994. – F. FERRAND, Rép. civ. Dalloz, V° Preuve, 2006. S’agissant des travaux collectifs : Ch. PERELMAN et P. FORIERS (ss dir.), La preuve en droit, Bruylant, 1981, p. 357 ; Droits 1996, n° 23. – C. PUIGELIER (ss dir.), La preuve, Economica, 2004. 2 E. DUMONT, Préface, in J. BENTHAM

seraient fondés sur le mariage et/ou la filiation, c’est-à-dire le fait que le couple ait des enfants : dès lors un couple non marié avec des enfants serait considéré comme une famille. La notion de famille peut néanmoins recevoir une définition différente selon la situation qu’il s’agit de régir : nom, successions etc. Le lien familial : La famille entend nécessairement un ensemble de liens. Ce lien peut donc être issu du mariage, lien d’alliance ou de la filiation, c’est-à-dire un lien de sang, ou

lien. Elle réaffirme que le concubinage ne peut résulter que d’une relation stable et continue ayant l’apparence du mariage donc entre un homme et une femme. Cela a rendu nécessaire l’intervention du législateur pour que le droit change. Loi du 14 Novembre 1999 (numéro 99-944) qui a définit juridiquement le concubinage «  le concubinage est une union de fait caractérisée par une vie commune présentant un caractère de continuité et de stabilité, entre deux personnes de sexe différent ou de même

société. Si cette finalité du droit fait l’objet de discussion dans la théorie du droit, il est toutefois admis qu’il n’a pas pour but de réguler les relations des êtres humains avec leur divinité. A lire : Ph. MALAURIE, La Bible et le droit : RTD civ. 2000, p. 525 Droit et Morale. Le même constat peut être fait en ce qui concerne la règle morale. Les juristes affirment souvent une séparation stricte du droit et de la morale. Le plus souvent, en réalité, afin parfois de conforter la morale dominante

existence autonome, qui trouvait son assise juridique, non pas dans une autre institution mais uniquement dans un fait = le fait d'avoir crée une injustice au détriment d'une autre personne. A partir de cette idée, la cass a décidé (arrêt du 15 juin 1892, rendu par la chambre des requêtes de la cour de cass) qu'on pouvait appliquer la notion d'enrichissement sans cause telle qu'elle = arrêt Boudier, aussi appelé l'affaire du marchand d'engrais. Un marchand a vendu des engrais à un fermier qui

juridique prééxiste et l'individu manifeste sa volonté de faire produire des effets écoulant de cette situation. On assiste a ce phénomène en droit de la famille par exemple, avec la reconnaissance d'un enfant qui va établir un lien juridique de filiation, de même en droit de la preuve on peut dire que l'aveu est également une illustration puisque c'est une déclaration par laquelle une personne reconnaît un fait susceptible de produire des effets juridiques, de même en droit des obligations avec la

des biens meubles est une valeur qui fluctue beaucoup plus que celle des biens immeubles. B) Le contenu de la classification C’est la loi qui détermine tous ce qui est meuble ou immeuble, pas la volonté des sujets de droit : arrêt 26 juin 1991, civile 3 « la nature mobilière ou immobilière d’un bien est définie par la loi et la convention des parties ne peut avoir d’incident à cet égard. ». La volonté peut jouer un rôle mais cette dernière est déterminée par la loi. Les immeubles