Civ 2e 21 Juillet 1982

conformément à un principe général du droit privé, que les contrats ou les actes juridiques unilatéraux, comme, par exemple, une donation ou un testament, qui étaient  inspirés  par  la  cause  illicite  et   contraire  aux  bonnes  mœurs  (art.  1133  C.  civ.)  de   « faire naître, maintenir ou rémunérer » des relations sexuelles hors mariage étaient nuls de nullité absolue, tandis que la prétention   qu’un   concubin   aurait   voulu   faire   valoir   à   la   réparation du préjudice matériel et moral

variables et souvent longs et les motifs qui peuvent être invoqués étant nombreux et très différents selon les systèmes juridiques. C’est ainsi que la loi type de la Commission des Nations Unies pour le Droit Commercial International (CNUDCI) du 21 juin 1985 s’efforce d’améliorer cette situation qui préoccupe vivement ceux qui utilisent l’arbitrage commercial international, en n’autorisant qu’un type de recours[9] excluant tout autre recours pouvant être prévu dans une loi de procédure de l’Etat

 d’identité  des  droits  de  la  personnalité  »,  LPA  2004,   n°244,  p.3     Document 2 : Cass. Civ. 1, 5 novembre 1996, n°94-14798 : Bull. I, n°378 ; JCP G 1997 n°12, II 22805, note J. Ravanas ; Gaz. Pal. 6 août 1997, n° 218-219, panorama, p. 169 ; D. 1997, act. jurisp., p. 403.     Document  3  :  Cass.  Civ.  1,  20  février  2001,  n°98-­‐23471  :  Bull.  I,  n°42  ;  D.  2001,  1199,  note

Quant au droit des faillites, il est mieux que tout autre révélateur d'un mouvement incessant d'accordéon : codification, décodification, recodification (V. les pénétrantes analyses de B. Oppetit, La décodification du droit commercial,Mélanges Rodière, 1982, p. 189 s. ; L'expérience française de codification en matière commerciale, D. 1990.Chron.1). Les causes de ces incertitudes et de ces fluctuations se relient à trois interrogations. La première renvoie à des questions centrales : qu'est-ce que

entreprises et de leur monopole d'exploitation de la propriété privée. Le CC a dégagé un principe constitutionnel qui se nomme la liberté d'entreprendre, ainsi que la liberté du commerce et de l'industrie qui vient de 1791. C'est une décision du 16 janvier 1982 du Conseil Constitutionnel qui a reconnu la valeur constitutionnelle de la liberté d'entreprendre, de la liberté du commerce et de l'industrie. Cette décision a été rendue dans un contexte particulier : en 1981 une alternance a eu lieu, et le PDR avait

MORALES I. Les groupements de personnes II. Les groupements de biens § 3 : LE REGIME DES PERSONNES MORALES I. L’individualisation des personnes morales II. L’administration des personnes morales III. La dissolution des personnes morales 2e partie : LE COUPLE Chapitre premier : LE COUPLE NON MARIE Section I : LE CONCUBINAGE § 1 : LES CONDITIONS DU CONCUBINAGE § 2 : LES EFFETS DU CONCUBINAGE Section II : LE PACTE CIVIL DE SOLIDARITE § 1 : LES CONDITIONS DU PACS § 2 : LES EFFETS

disciplinaire : la définition de la subordination, critère du contrat de travail, s’y réfère. Pouvoir disciplinaire et pouvoir de direction sont « inséparables », le premier étant le corollaire du second ; il faut malgré cela les identifier. La loi du 4 août 1982 relative aux libertés des travailleurs dans l’entreprise consacre le pouvoir disciplinaire en édifiant un droit disciplinaire destiné à l’encadrer et à la soumettre au contrôle du juge. Son exercice par l’employeur est soumis à de multiples contraints

les règles de fonds qui régissent de tels rapport. Le Droit civil est le Droit commun, toutes les autres branches du Droit, sont face à lui, des Droits spéciaux. C’est le tronc commun de toutes les autres branches du Droit. [Les institutes de Gaïus (2e siècle après J-C) et de Justinien (6e siècle après J-C) embrassaient toute l’activité humaine en suivant un plan éternel : les personnes (personae), les choses (res) et les actions (actiones). Le Code Civil traite de façon similaire des personnes (livre

Villers, Droit romain et ancien droit français (Obligations), précis Dalloz, 4e éd., Paris, | |1976, n°s 1-2, pp. 2-3 ; Derecho romano de obligaciones, Homenaje al prof. José Luis Murga Gener, Madrid, 1994 ;| |Jean Gaudemet, Droit privé romain, 2e éd., Montchrestien, Paris, 2000, pp. 257-258 ; Emmanuelle Chevreau, Le | |temps et le droit : la réponse de Rome. L'approche du droit privé, Thèse d'histoire du droit, sous la dir. du | |Pr. Michel Humbert, Paris II, 2001, pp. 231-249.

modification des règles de recevabilité en matière contractuelle * intersection du droit français (droit adm / droit privé) / droit communautaire * le rapport public CE 07 est consacré au « Contrat ». * décisions CE : affaire du Vélib, juillet 2008 : la ville de Paris pouvait-elle étendre à la banlieue les services du Vélib ? / sec, 3 oct 2008, SNIRJOMES : quels sont les manquements qui peuvent être sanctionnés par le référé précontractuel ? ainsi, tout vice entraine-t-il l’annulation