Civ 2ème 1er Février 1973

l'émergence progressive pour assister à l'émergence d'un véritable droit de grève. ➢ Le préambule de la constitution de 46 proclame « le droit de grève s'exerce dans le cadre des lois qui le réglemente ». ➢ Ce n'est qu'à compter d'une loi du 11 février 1950 que les salariés grévistes reçoivent une protection contre leur licenciement pour fait de grève ; avant 1950, les salariés grévistes étaient licenciés; art L521-1 issue de cette loi (L2511-1) pose le principe que « la grève ne rompt pas le contrat

onéreuse que prévue, cela ne suffit pas à caractériser un évènement irrésistible. Il faut un évènement très important : guerre, sécheresse… Position de la jurisprudence sur ces deux éléments : Les deux éléments doivent-ils être réunis ? Ccass, 2ème ch. Civile : Il y a force majeure si l’évènement est imprévisible au moment de la conclusion du contrat et si cet évènement est irrésistible au moment de l’exécution du contrat. Ccass, autres chambres : La force majeure pourra être constituée avec

individuel, soit d’ordre collectif. En droit positif camerounais, on a du mal à trouver une définition des conflits individuels de travail, spécialement dans le code du travail. L’Acte Uniforme OHADA sur le droit de l’arbitrage. Voir art. 21 al 1er du Traité OHADA : « en application d’une clause compromissoire ou d’un compromis d’arbitrage, toute partie à un contrat (…) peut soumettre un différend d’ordre contractuel à la procédure d’arbitrage prévue par le présent titre », et art. 2 Acte uniforme

protection sociale...). Ces délégués illustrent la concrétisation du changement de mentalité de l'époque avec le passage d'une conception de l'entreprise strictement hiérarchisée à une situation beaucoup plus équilibrée. ( L'ordonnance du 22 février 1945 confirme cette analyse avec l'instauration, dans les établissements d'au moins 50 salariés, de comités d'entreprise chargés d'informer le personnel, d'émettre des avis et de gérer les œuvres sociales... leurs fonctions économiques restant assez

I. LES CONVENTIONS COLLECTIVES ET LES ACCORDS COLLECTIFS A. Les conditions d’application d’un accord collectif (accord de branche « non étendu ») Doc n° 1 : Cass. Soc. 23 avril 2003 Attendu que M. X... a été embauché le 1er juillet 1964 par la société William Saurin ; qu'au 1er janvier 1996, la société William Saurin a fusionné avec la société Panzani et qu'à la même date, en vertu d'un accord de la direction avec les représentants du personnel, la Convention collective nationale des pâtes alimentaires

Doc. 2 : Cass. Soc. 3 juin 2009 (Télé-réalité et prestation de travail) B. L’appréciation par le juge de l’existence d’un contrat de travail Doc. 3 : Cass. Soc. 19 déc. 2000 (principe de réalité, disponibilité de la qualification) Doc. 4 : Cass. Soc. 1er déc. 2005 (idem) II. Les clauses du contrat de travail A. Les clauses de non-concurrence Doc. 5 : Cass. Soc. 10 juil. 2002 (Conditions de validité) Doc. 6 : Cass. Soc. 17 déc. 2004 (Revirement de jurisprudence, application) B. De quelques autres clauses

théorique. Il faut donc assumer ce caractère, et donc abandonner ce système → loi du 24 mai 1872, abandon du système de la justice retenue: système de justice déléguée (= donnée à une véritable juridiction). Mais, théorie du ministre-juge persiste (en 1er ressort, ac possibilité de faire appel devant une jur°). CE, 13 décembre 1889: arrêt CADOT. Code de justice administrative (CJA), article L2 : " les jugements sont rendus au nom du peuple français. " → justice déléguée, ac un véritable ordre de juridiction

alors dans le trafic de drogue ou la traite des blanches ou encore dans des associations de criminels en col blanc. La loi du 8 juin 1970 dite loi anti-casseurs tend également à réprimer certains types de délinquance collective. Depuis la loi du 2 février 1981 « loi sécurité et liberté », on assiste à une refonte permanente des notions d’associations de malfaiteurs et de bande organisée. Ce mouvement s’achève par une harmonisation des définitions par la loi du 9 mars 2004 portant adaptation de la justice

tarifaire et pratiques restrictives A. L’enjeu des Lois successives 1. Avant la loi du 1er juillet 1996 : Ordo de 1986 : il y a des pratiques qui sont qualifiées soit de pratiques restrictives de concurrence ou pratiques qui visent à promouvoir la transparence tarifaire. Toutes deux sont interdites. En 1986, les distributeurs réalisaient des marges avants (=négociabilité des prix). 2. Après la loi du 1er juillet 1996 : La loi de 1996 (GALLA ND) et la loi de 2001 (NRE), vont essayer de rééquilibrer

désordres générés par les tribunaux de commerce qui jugeaient beaucoup trop en équité. Les nombreuses observation des armées font que napoléon de mars à août 1807 font que le code de commerce est adopté le 15 septembre 1807 et entre en vigueur le 1er janvier 1808. Ce code de commerce fut élaboré trop hâtivement. Le code de commerce a subi des réformes constantes. Ainsi en 1807 en France les sociétés commerciales avaient peu d’importances. Elles vont prendre une importance démesurée avec la révolution