Civ 3ème 30 Juin 1999

tacite mais non équivoque, le débiteur de l'obligation peut faire naître à la fois le debitum et l'obligatio et donc le créancier va pouvoir exiger l'exécution de cette obligation. C'est ce qui résulte des arrêts de la Cour de cass (ch civ 14 janvier 1952) + (1ère ch civ 10 oct 1995 bulletin 352). 
>Existe t-il des obligatio sans debitum ? Selon certains auteurs lorsqu'une caution s'engage à garantir la dette d'une autre personne elle ne souscrirait qu'une obligatio dépourvue de debitum propre. En effet

.................................................................... 29 b) Les associations ............................................................................................................................................................ 30 3) La défense de l’intérêt d’autrui ........................................................................................................................................ 31 Section 2 : Conditions relatives à l’objet de l’action .................

personnel », RTC civile, II, page 573 [2] Civ 3ème, 22 novembre 1995, CCC 1996, n°19 [3] Civ 3ème, 13 octobre 1999, JCP 2000, I, n°237 [4] Civ 3ème, 12 janvier 2010, pourvoi n°08-18624 [5] Cour de cassation, 4 octobre 1988 [6] Cour de cassation, 25 février 1992 [7] Com, 3 décembre 2002 ,_ ` ª î ï Ù?©ªÈªÁ{?‘éøMN'-Y-Ù-í-µ!¶!Þ!" "G"~"¥"¦"²"F#\#\$x$}$Ù[8] Cour de cassation, arrêt BES,12 juillet 1991 [9] Civ 3ème, 4 décembre 1984, Revue Trimestrielle de Droit

au second semestre. Enfin, une troisième partie traite du rapport d’obligations, ou encore du régime général des obligations, c’est-à-dire des règles qui s’appliquent de manière générale à toutes les obligations, quelle que soit leur source. Cette 3ème partie fait l’objet d’un cours optionnel en L3. Mais il est indispensable de connaître dès à présent les principales règles, les principaux mécanismes qui relèvent de ce régime général. C’est pour cette raison que nous aborderons ces règles dans l’introduction

évaluation pécuniaire et constitue un élément d’actif du patrimoine du créancier et un élément du passif du patrimoine du débiteur. L’obligation juridique se distingue de l’obligation civile ou obligation naturelle ( mentionnée à l’art. 1235 C. civ.) qui découle de la morale, de la conscience, de la religion, de la courtoisie propre à chaque individu ( par exemple, un concubin s’engage à fournir une aide matérielle à son ancienne concubine ; une personne aide financièrement un membre de sa famille

civile de la Cour de cassation 3 mars 1998. La jurisprudence sur cette lancée a également reconnu une obligation de résultat pour les infections et maladies nosocomiales (maladies qu’on attrape à l’hôpital, la clinique). Première chambre civil 9 juin 1999 JCP 99 note 10138. Depuis la loi du 4 mars 2002, elles figurent au code de la santé publique. Quels sont les critères de distinctions entre obligation de moyen et obligation de résultat ? Nous pouvons donc citer trois critères : - La volonté

toujours évident de déterminer si la victime doit utiliser la responsabilité contractuelle ou la responsabilité délictuelle, parce qu’il faut non seulement que le contrat existe, mais aussi que l’obligation inexécutée entre dans le champ du contrat. Civ 2ème, 13 juillet 2006 Sur ce point, la jurisprudence a rappelé que l’obligation de sécurité a toujours une nature contractuelle. Cette position a été fortement critiquée par la doctrine. On lui reprochait d’être beaucoup trop sévère avec l’établissement

concernant la cession du fonds de commerce et le nantissement (articles L141-5 et suivant). L’autre loi importante est celle du 29 juin 1935 concernant la propriété commerciale (expression trompeuse car elle traite en fait des beaux commerciaux). Elle a été remplacée par un décret du 30 septembre 1953 qui a été intégré aux articles L145-1 et suivants. Une loi du 29 juin 1935 a imposé de mentionné dans l’acte de cession du fonds de commerce certaines mentions protectrice de l’acquéreur du fonds (articles

Résumé de l’entretien de Madame Anne Defossez, directrice du Centre d'Appui aux services de Médiation de Dettes de la Région de Bruxelles-Capitale 29  Résumé de l’entretien avec Madame Marion Boccart, juge au Tribunal du travail de Bruxelles. 30 Chapitre 6 : Cas pratique 34 Analyse 34 Conclusion 37 Bibliographie 39 Annexes 41 Introduction Je travaille depuis neuf ans au Centre Public d’Action Sociale de Schaerbeek et je côtoie quotidiennement

l'accomplissement ». Le texte impose une action au débiteur. Les tribunaux vont exiger de l'acquéreur qu'il présente des offres de prêts, qu'il prouve avoir fait des démarches, mais que cela ne correspondait pas à la clause de la promesse de vente. 3ème civ, 30 janvier 2008 : il appartient à l'acquéreur de démontrer que sa demande de prêt était conformes aux caractéristiques prévues dans la promesse de vente. Il arrive aussi que dans le contrat, dans la promesse de vente, on ait introduit une clause