Coercition étatique

soucie de la vertu de la personne : elle est axée sur l’individu et la perfection de sa volonté. B. La sanction. Le droit et la morale comporte chacun une forme de sanction mais celle-ci sera différente entre ces deux notions. La sanction sera étatique lorsqu’il s’agit du droit. En effet c’est l’Etat qui sera chargé de sanctionner le non-respect des règles de droit. La sanction prendra alors la forme d’un dédommagement ou d’une peine d’emprisonnement par exemple. Pour ce qui est de la morale

permet à cette société de fonctionner sans avoir besoin de politique, donc d'État. II. … qui ne mènera pas à une société étatique A/ Absence de notions nécessaires Dans la société primitive indienne, il manque les notions nécessaires à la création de étatique. Pour commencer, il n'existe pas de pouvoir coercitif (une des bases de la création d'un État). La coercition est le fait de pouvoir contraindre. Dans ces sociétés, ce pouvoir n'existe pas dans la mesure où le peuple contrôle

des sociétés civiles. Sommaire 1 Généralités 2 Types d'organisations 2.1 Le pouvoir dans la parenté 2.2 Structures politiques 2.2.1 Les sociétés sans hiérarchie différenciée 2.2.2 Le « Big Man » 2.2.3 Les sociétés à chefferies 2.2.4 Les systèmes étatiques 2.3 Pouvoir et société 2.3.1 Les inégalités dans les sociétés autres que humaines 2.3.2 Différences entre les sexes 2.3.3 Différences entre les âges 2.3.4 Le sacré comme fondement des inégalités 2.3.5 L'autorité du savoir et de la vérité 2

Au contraire le droit est un commandement qui vient de l’extérieur, donc est hétéronome. Constitue un commandement extérieur. - Les sanctions : la sanction de la morale est intérieure alors que la sanction du droit est extérieure (sanction étatique). . L’inspiration morale du droit. Il y a certains auteurs Josserand qui dans un ouvrage de 1927 a nié la disparition entre le droit et la morale « De l’esprit des lois et de la relativité ». Il s’appuyait sur la notion d’abus de droit. C’est

besoins de chacun, et gérés par la population travailleuse elle-même. Ainsi, les « gaspillages » dus à la concurrence et au « contrôle d'une minorité sur la production » disparaîtraient. Sans division en classes sociales et sans État (sans force de coercition au service d'une classe). Le communisme admet que tous ne sont pas aussi productifs pour tout, et qu'il doit attendre une production « de chacun selon ses capacités », mais il considère que chacun peut généralement à son gré se livrer aux occupations

supérieurs hiérarchiques. 2- Pouvoir et organisations informelles Conclusion. I- Les sources de pouvoir : Si l’on définit le pouvoir comme une capacité, cette capacité peut avoir plusieurs bases : o Bases de pouvoir : - Coercition : c’est l’exercice de le force, il ne s’agit pas bien sûr de force physique, mais de l’exercice des sanctions plus au moins directes, comme pour le cas des sanctions disciplinaires, ou parfois même ce qu’on appelle « Hire and Fire » c'est-à-dire

interactionniste (exp : faut être 2) ●R.Dahl: deux, robinson et vendredi. Expérience, pvr source de cptm. A exerce sur B pvr. SPECIFICITE du pvr po: s'exerce sur tte la sté, instances spécialisées. L'Etat. Monopole de la violence légitime, de la coercition, Compétition électorale. ●M. Weber: domination légale personnelle (droit). Bourdieu: inégalités représentants-représentés. Acceptation de domination. Croyance: dom extériorisée (donne ordres, abus) et intériorisée (j'accepte car je crois) 2)

"inférieurs" et ceci "par le conseil ou par la stérilisation volontaire ou forcée" . Toute la nouveauté du débat contemporain sur l'eugénisme tient au fait qu'il n'est plus défendu par des idéologies totalitaires et qu'il n'est plus conçu comme un programme étatique et centralisé de création d'un homme nouveau uniforme et universel. L'eugénisme est aujourd'hui ardemment défendu par des libéraux : ils souhaitent que la recherche scientifique et l'innovation technique soient entravées le moins possible et soutiennent

du gouvernement aux institutions qui va déterminer le degré de liberté effectif: ainsi il est inscrit dans la constitution française que le chef de l’État est «le garant des institutions» et son premier défenseur ,ce qui exclut la critique et la coercition. B – Conséquences sur la société Les spécificités de l’État impliquent des rapports particuliers à la société:rapports d'autorité, de droit et de pouvoir qui nécessitent de questionner les rapports de force qu'ils engendrent et leurs conséquences

une organisation d’ou résulte pour le groupe envisagé dans ces rapports avec ces membres une puissance supérieure d’action de commandement et de coercition » exemple de l’assemblée des nations unies. Section 2 §1 l’état unitaire se caractérise pas une seule organisation juridico politique l’état unitaire dispose de la totalité des compétences étatiques qu’il exerce sur l’ensemble du territoire à l’égard de tout la population uniformément. ex : France. Deux distinction a faire l’état unitaire peut