Coercition étatique

l’investissement économique des usa. Il faut conquérir des marchés. La chine a su se mêler à cette course, elle est bien implanter en Afrique par ex. On a dit que si les usa intervenait autant c’était pour avoir des retomber éco. A côté de la dimension étatique, il y a la dimension locale. Tout citoyen pour des raisons historiques et culturelles fait partie d’institutions locales, qui ont la caractéristique de la proximité. Le citoyen qui trouve un état très lien est intéresse par des structures de proximité

Est-ce à dire que nous serions incapables de nous entendre entre nous à plus petite échelle ? Ne sommes-nous pas tous des êtres capables d'entendre raison et de nous organiser de manière autonome sans la tutelle, somme toute oppressante, de la machine étatique ? Après tout, des sociétés sans État sont possibles, ainsi que le montre l'ethnologue Pierre Clastres. Mieux même, il semblerait que ces sociétés dites « primitives » ne soient pas tant des sociétés sans État que des « sociétés contre l'État »,

divergences entre les États ni l’antagonisme viscéral de leurs intérêts de puissance. Mais aucun système ne peut prétendre à l’efficacité s’il ne génère pas aussi un minimum d’intérêts communs suffisamment puissants pour relativiser ces divergences étatiques : ce fut le cas du congrès de Vienne, où la défense d’un ordre monarchique contre les 201 1. Voir Kissinger (1996), p. 18. RAMSES 2000 libertés nationales servit de ciment pacificateur entre des ennemis pourtant séculaires ; ce fut surtout

souhaitées par l'interresser. Il exerce un pouv de prévision. Il maintient et perpétue la nation sur son territoire et au sein de la scène internationale. => Entretenir une force armée permanente. L'Etat dispose de la souveraineté et du pouv de coercition. (La coercition est exercée contre quelqu'un pour le forcer à agir ou l'amener à s'en abstenir. Elle existe par la violence, ou sa menace, physique et/ou psychique. L'autorité légitime, dont l'État est le sommet dans les sociétés modernes, est en principe

de politique publique internationale en matière financière et monétaire. Elle ne limite pas sa problématique aux questions d’efficience d’un régime de change. Elle s’ouvre à des questionnements sur le pouvoir monétaire et les moyens d’user de coercition monétaire dans les relations économiques internationales, sur les enjeux d’autonomie des politiques publiques compte tenu de la libéralisation des mouvements internationaux de capitaux qui constitue avec la fin de la guerre froide la transformation

cette règle. Car elle apparaît et se structure à un moment particulier de l’Histoire humaine et de l’Histoire politique, entre la seconde moitié du XIXème siècle et la seconde moitié du XXème siècle. Le fait que nous soyons en présence de structures étatiques quasi homogènes, cela signifie qu’une évolution particulière doit être envisagée. Puis, il y a une professionnalisation de la politique, le rapport à la politique change. Un critère peut être retenu : celui de la chronologie d’apparition des disciplines

la coercition, « c’est à dire dans la contrainte à laquelle elle soumet les hommes à peine de sanction » (Mathias). Le juriste Ihering a dit qu’une règle sans contrainte ne sert à rien. La Règle est faite pour être respectée, elle est donc obligatoire. Même si la loi offre un choix, les coupables ne peuvent pas choisir quelle partie de la règle s’appliquerait à leur cas ou non. Le propre du droit, lui, est dans l’intervention de l’Etat. Les règles juridiques prévoient des sanctions étatiques, et

dotée de traits caractéristiques. b) Les traits caractéristiques de l'Etat moderne de type weberien Les armées régulières(rétribution des militaires par l'Etat) Le contrôle du monopole de la violence physique légitime La production étatique de l'ordre juridique( unification juridique du Territoire) Pouvoir de faire les lois, d'appliquer les décisions publique, d'exercer la justice nuance.(ex: Personnel religieux en Alsace payé par l'Etat en contradiction avec la Loi sur la laïcité

le Livre blanc de 2008 et inscrit dans la loi du 29 juillet 2009, a répondu à cette évolution. Visant un objectif plus large que la simple protection du territoire et de la population contre des agressions extérieures imputables à des acteurs étatiques, il traduit la nécessité, pour la France, de gérer les risques et les menaces, directs ou indirects, susceptibles 10 LIVRE BLANC DÉFENSE ET SÉCURITÉ NATIONALE - 2013 d’affecter la vie de la Nation. Par menaces, on entend toutes les situations

opposée aux régimes parlementaires et au soi-disant démocraties politiques. C'est avec raison qu'on a parlé du nazisme comme d'une attaque contre la civilisation. On pourrait dire la même chose de toutes les formes de dictature, d'oppression et de coercition. Car qu'est-ce que la civilisation ? Tout progrès a été essentiellement marqué par l'extension des libertés de l'individu au dépens de l'autorité extérieure tant en ce qui concerne son existence physique que politique ou économique. Dans le monde