Comique Faire Réflechir Réflexion

ambitieux que celui d’une simple comédie populaire. Nous constaterons donc la présence d’un scénario amusant, permettant un comique abordable par tous grâce à la mise en scène de personnages humoristiques. Nous observerons ensuite que l’auteur se sert de son œuvre dans un but précis, et fait évoluer les personnages au cours de l’œuvre de façon à donner une leçon au spectateur. Le comique de l’Ecole des femmes réside, tout d’abord, en son scénario. Il se constitue de plusieurs éléments. Nous observons que

la présence de la souffrance dans une comédie est importante. Et nous verrons qu'un minimum de souffrance est primordial dans une comédie pour respecter la règle de la vraisemblance, et que la comédie nous touche et nous plaît car le rire et la réflexion passent par la présence de cette souffrance qui, d'ailleurs, crée un point commun avec la tragédie bien que le dénouement de la comédie diffère de celui du genre tragique. En premier lieu, la souffrance tient une place importante dans une

effets de styles complémentaires afin de faire découvrir au spectateur l'Univers particulier de cette œuvre. En quoi les « jeux » autour du berceau dans ce tableau d'exposition donnent-ils un aperçu de l'intégralité de l’œuvre ? I- « jeux de rôles » Vercors s'amuse ici, dans le tableau d'exposition, à disperser des indices comportementaux de ses personnages à travers son écriture → jeux de caractères, en effet Vercors transmet un certain comique dès les premiers instants grâce aux traits

s'essaie à toutes les formes. La représentation théâtrale reste la forme initiale et la plus populaire de nos jours, son but restant intemporel et traversant toutes les générations : le théâtre pour se divertir mais aussi pour former une société et réfléchir. "Nous n'allons pas au théâtre en inspecteurs, en contrôleurs. Nous allons au théâtre pour penser, une heure ou deux, à autre chose. Pour nous distraire, nous émouvoir. Pour entendre et voir de belles choses, des choses justes aussi, et bien dites"

pour but de faire rire. Mais alors, en quoi consiste ce divertissement? Est-ce la seule fonction d’une comédie? Dans un premier temps, nous verrons comment la comédie nous divertit en nous faisant rire. Puis, nous nous intéresserons au « plaisir théâtral » procuré par la comédie. Enfin, nous porterons notre étude sur la réflexion que celle-ci peut faire naître chez le spectateur. Tout d’abord, la comédie nous divertit par le rire. En effet, on y trouve différents types de comique. Par exemple

Les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-ils qu’à faire rire ? Les gens vont voir une comédie pour se détendre, se divertir et oublier les soucis quotidiens de la vie. Le théâtre est alors le lieu par excellence où l’imagination et la folie règnent en maîtres. Il ne faut pas juste regarder et écouter une pièce de théâtre mais il faut réfléchir à un sens plus profond des répliques et de la pièce. Tout ceci est nuancé, les aspects comiques ne servent-ils qu’à faire rire, à réjouir

l’amour, en 1956, au TNP qualifiait ainsi l’auteur des acteurs de bonne foi : « Marivaux-le-cruel ». Pensez- vous que, pour corriger les mœurs, la comédie doive passer par la souffrance des personnages ? Note : Prendre plaisir à voir et faire souffrir, voilà peut-être une définition de la cruauté. A celle-ci ne peut se rapporter que la souffrance qui correspond à la douleur physique ou morale de celle ou de celui qui souffre. Cette souffrance peut parfois s’apparenter aux personnages de

silènes du prologue sous des airs goguenards ou alors comme la métaphore alliant le chien et le lecteur. Cependant, à travers ces scènes l’auteur cache derrière ses rires un tout autre sens de ses mots qui va pousser le lecteur à réfléchir tout au long de l’histoire afin de le faire progresser. C’est ainsi que l’on peut se demander en quoi peut-on dire que Gargantua de François Rabelais prête autant à rire qu’il donne à penser ? Autrement dit, nous nous interrogerons sur comment

changements politiques de son époque grâce à Zadig ou la destinée (1747),Micromégas (1752) et Candide ou l'optimisme (1759) entre autres. Pour voltaire l’utilisation du conte philosophique est très intéressante car ces écrits ont pour but de faire réfléchir en provoquant le rire. Ses œuvres intéressent encore beaucoup aujourd'hui. En effet nous nous demanderons « à quoi tient le plaisir de lire des contes voltairiens ? ». Nous devrons tout d’abord montrer en quoi les contes voltairiens

philosophie des Lumières. * Genre : Roman. Sous-genre : Philosophique / comique Place/rôle de l’extrait dans l’œuvre : L’extrait est l’incipit du roman, son rôle étant de présenter le personnage et l’intrigue mais de manière à surprendre le lecteur puisque ce roman renouvelle les codes du genre romanesque. (+ de dialogues (sous forme théâtrale), plus d’illusion romanesque etc..). * Type de texte : Dialogue Registres : Comique * Composition et construction du texte : Le premier et dernier paragraphes